« Subventionner ces charognards »
Dbrun ne décolère pas, lui non plus, contre la profession : « La plupart des journalistes sont des mélenchonistes à peine déguisés : ainsi de l’indignation à la nomination de Geoffroy Lejeune au JDD, exemple type de procès d’intention. » Si seulement certains de ces journalistes bien-pensants et leurs soutiens ne rêvaient pas tout haut de priver de parole ceux qui ne pensent pas comme eux… Ancolie ajoute encore une couche au ras-le-bol, non sans raisons. « Quand je pense que nous sommes forcés, par nos impôts, de subventionner ces charognards qui osent se prétendre journalistes... Le choix de Famille chrétienne est tout à fait cohérent, un journal bienveillant dans lequel d’ailleurs on retrouve régulièrement la plume alerte de Gabrielle. »
Nos médias de masse sont aussi atteints d’un strabisme préoccupant. Et passablement agaçant. Dans son article, « Darmanin ? Ségolène ? mais Chut : déferlement migratoire à Lampedusa et Menton », notre ami Frédéric Sirgant remarque que « les journaux télévisés sont focalisés sur les universités d'été d'une gauche en miettes qui voit en Médine son nouveau messie alors que l'immigration, la principale raison de leur échec à tous depuis plus de vingt ans, poursuit son déferlement incontrôlé ». Car « un reportage du Figaro indique que la police interpelle, ces jours-ci, plus de 300 migrants par jour à Menton ! » Dans la plus grande discrétion médiatique ! Patrick Sinclair accuse le plan de carrière présidentiel : « Le plan migratoire voulu par l’UE […] se déroule à la perfection en France avec son Président élève appliqué, qui se ménage une sortie à la mesure de son ego, à l’issue de son dernier mandat possible dans son pays. Il ne va pas, comme Giscard en son temps, devenir président d’une région ! »
« En Algérie, l'abaya se porte partout »
Les médias de masse jettent de l’huile sur le feu. Les réseaux sociaux, ces nouveaux médias au public très jeune, vont plus loin encore. Certains influenceurs musulmans y engagent à découvert la bataille de l’abaya. Une offensive décryptée par BV dans « Abayas : comment influenceurs et élèves musulmans organisent la fronde ». « Des jeunes femmes musulmanes, poussées sur les réseaux sociaux par des prédicateurs et influenceurs, s’encouragent à braver l’interdiction », constate Clémence de Longraye, dans son enquête. Notre lecteur Daniel Bazoin pose ouvertement la question qui taraude une bonne partie des Français. Apprécier l’abaya, pourquoi pas, au fond, mais… « Pourquoi ne vont-elles pas dans le pays d’origine de leurs parents ? En Algérie, l’abaya se porte partout… », remarque-t-il. Quant à Super fan, il a une pensée pour… les enseignants ! « Je plains sincèrement les directeurs de collèges et des lycées, après tant d'années d'entrisme et de tergiversation autour de la laïcité et de l'abandon de toute autorité des personnes qui par leurs fonctions en sont investies... » Cette responsabilité nouvelle est le fruit de quarante ans de laisser-aller politique en France, mais de ces responsabilités politiques, les médias de masse n’en ont pas parlé…