L’histoire s’effondre enfin, car les médias de masse se rendent compte qu’ils ne peuvent pas cacher la vérité indéfiniment.
Mais le véritable scandale ne se limite pas au fait que les personnes jeunes et en bonne santé, qui ne couraient qu’un risque minime à cause du Covid, n’auraient jamais dû être incitées à se faire vacciner – le véritable scandale, c’est que tout médecin qui a exprimé cette opinion a été censuré et menacé par des malfaiteurs criminels au sein des bureaucraties gouvernementales.
Et quiconque citait des preuves et des données montrant que les jeunes et les personnes en bonne santé couraient un risque minime et que les vaccins ne parvenaient pas à prévenir l’infection et la transmission a été publiquement vilipendé, maltraité et censuré.
La seule façon de détecter et de corriger les erreurs est de permettre à l’opposant de s’exprimer librement et de débattre de l’opinion divergente – et non de la censurer.
Mais le Covid et la manie des vaccins ont mis fin à la liberté d’expression, de sorte que l’erreur – une erreur qui a causé d’innombrables décès chez des personnes jeunes et en bonne santé qui ont subi une intervention médicale inutile – a pu se répandre bien plus longtemps qu’elle n’aurait dû, coûtant ainsi encore plus de vies.
Au lieu de tirer les leçons du fait que la censure tue, les bureaucrates du gouvernement, qui se sont trompés sur presque tous les points pendant le Covid, veulent maintenant créer un « ministère de la Vérité » doté de pouvoirs de censure dignes d’un roman d’Orwell. »
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