Le tabou de l’immigration
L’aveuglement médiatique a longtemps prévalu sur la question des violences faites aux femmes. Ce n’est que depuis peu qu’il est autorisé de faire un lien entre ces exactions et l’immigration. Pour lever le verrou idéologique, il a fallu la publication de quelques statistiques indiscutables. On sait désormais que, s’ils ne représentent que 8 % de la population vivant en France, les étrangers commettent 13 % des violences sexuelles enregistrées par le ministère de l’Intérieur. Leur part bondit dans les zones où ils sont fortement présents, comme en Île-de-France où ils sont les auteurs d’une grosse majorité (63 %) des agressions sexuelles commises dans les transports en commun.
Les violences intrafamiliales, nouveau cheval de bataille des médias
C’est précisément pour relativiser cette surreprésentation que les médias mettent désormais l’accent sur les « féminicides » et autres violences sexuelles commis dans la sphère familiale. En répétant partout que « dans 8 cas sur 10, l'agresseur fait partie de l'entourage », on fait passer l’idée que les sinistres affaires de viols commis par des clandestins sous OQTF ne sont que des faits marginaux. Que le gros des régiments d’agresseurs est composé de gens bien de chez nous.
Sauf que, là encore, le peuple autochtone est loin d’avoir le monopole des violences conjugales, pédophiles ou incestueuses. Loin s’en faut. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les données policières : les étrangers représentent 15 % des mis en cause pour homicides conjugaux. C’est déjà beaucoup, mais la part de l’immigration dans les « féminicides » ne s’arrête pas là. Il faudrait y ajouter encore les meurtres commis par les Français issus de l’immigration. Les statistiques ethniques étant interdites, ce chiffre est impossible à évaluer précisément. Certains indicateurs s’avèrent cependant riches d’enseignements. On peut, par exemple, s’intéresser - comme l’a fait le twittos Marc Vanguard - aux prénoms des auteurs de « féminicides ».
Sur les 63 affaires relatées dans la presse en 2023, on dénombre ainsi près de 30 % de prénoms extra-européens. Pour être plus précis, on y trouve entre 25 et 30 % de prénoms islamiques. La population musulmane étant, par ailleurs, évaluée à moins de 10 % de la population française, on peut donc parler d’une très nette surreprésentation des immigrés et enfants d’immigrés parmi les auteurs de « féminicides ».
Un tabou aussi insensé que coupable
Évidemment, de tels propos sont strictement interdits d’antenne sur le service public. Ce tabou médiatique est d’autant plus insensé que le lien entre immigration extra-européenne et violences sexuelles en tous genres coule de source. Comment s’étonner, en effet, que des hommes élevés dans une culture patriarcale, fondée sur l’inégalité des sexes, soient plus susceptibles de s’en prendre à leurs femmes que des hommes européens dont l’héritage se distingue par son goût pour la galanterie et l’amour courtois ? Ceux qui s’interdisent par idéologie de faire ce constat s’empêchent de lutter efficacement contre les « féminicides ». Alors, il est temps de le dire aux médias myopes ainsi qu’aux associations néo-féministes : vous faites partie du problème.
Jean Kast
https://www.bvoltaire.fr/la-semaine-media-feminicides-et-immigration-le-grand-tabou/