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Ron Paul nous a prévenus : « Ce n'est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle des banques centrales »
Comme l’a prévenu Lord Acton il y a plus d’un siècle, « le problème qui a balayé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques ». Ce combat est désormais lancé. Cela pourrait être la lutte ultime pour l’émancipation de l’humanité ou pour notre asservissement final. Pour vaincre, nous devons comprendre nos véritables ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales qui soutiennent leur programme.
Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois, les Arabes, les Iraniens, ou quiconque contre lequel la logique du diviser pour régner nous opposerait.
Bref, il ne faut pas se laisser distraire par le drap rouge du torero : les coupables ultimes, la classe des super-prédateurs, sont les banquiers : une poignée de familles et d'individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n'avons pas d'autre choix que de les affronter.
Quelle est la force motrice derrière ce programme ?
J’ai tenté de faire la lumière sur cette question dans un article que j’ai publié en août 2020. Le titre l’indique : « Covid 19 : le cartel bancaire dirige l’agenda », mais permettez-moi de développer ici une version abrégée de cet article.
Pendant de nombreux mois en 2020 et 2021, les médias et les autorités « sanitaires » ont promu sans relâche des récits effrayants sur la prétendue « pandémie » de Covid 19, sensationnalisant l’urgence presque 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, tout en ignorant et en censurant des centaines, voire des milliers d’experts qui divergeaient. à partir des versions officielles de l'actualité. En supposant que nous soyons confrontés à une pandémie « unique en son genre » que personne n’aurait pu prédire (euh…), on pourrait s’attendre à un débat animé entre experts sur la meilleure façon de faire face à la crise. Les journalistes auraient pu faire appel à autant d’experts que possible afin que nous puissions parvenir à une compréhension aussi claire que possible du nouveau défi sanitaire et de la manière d’y faire face. Des traitements efficaces auraient dû être promus, célébrés, criés sur tous les toits. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé.
Les mesures de santé publique – pratiquement identiques dans la plupart des pays – ont été transmises par l’Organisation mondiale de la santé à travers de obscures hiérarchies bureaucratiques qui revendiquaient le monopole de la science et de la vérité. Toute discussion a été découragée tandis que des centaines d’experts ont été agressivement réduits au silence. Plusieurs traitements efficaces comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ont été identifiés, mais les autorités étaient carrément hostiles à toute mention d’eux.
Les médecins et les patients ont été fortement découragés d’utiliser de tels remèdes et, dans certains pays, l’HCQ a été brusquement retirée du marché. En Australie, la prescription de HCQ est même devenue un délit pénal . Au lieu de cela, les autorités ont poussé avec force les vaccins expérimentaux développés à la hâte et non testés, le tout contre une maladie qui n’était mortelle que pour 0,004 % de la population (même selon les statistiques surgonflées du CDC américain).
L'étrange retranchement de l'administration
Quelques mois après la « pandémie », l’incohérence totale des positions officielles est devenue si évidente qu’elles ont perdu toute crédibilité auprès d’une grande partie de la population. Mais plutôt que de changer de cap, les autorités se sont seulement enracinées plus profondément dans leurs propres contradictions, devenant de plus en plus agressives avec des mesures de « santé publique » toujours plus restrictives alors que les médias intensifiaient la propagande de la « peur du projet » jusqu'à atteindre des proportions nauséabondes.
La situation est devenue surréaliste : comment des personnes apparemment intelligentes et érudites peuvent-elles rester si obstinément attachées à un récit qui était aussi manifestement imparfait ? Pourquoi les médias ont-ils continué pendant des mois à attiser sans relâche la peur et l’hystérie à propos d’un léger virus de la grippe ? En plus des médias américains et britanniques, j’avais suivi les reportages des médias en Croatie, en Espagne, en France et en Italie – c’était partout la même chose : tout le Covid, tout le temps, avec des alarmistes incessants et des appels au respect de « mesures » de plus en plus stupides. .» Est-ce que tout le monde est devenu fou partout ? Si ce n’était pas la science et la logique qui guidaient les mesures de santé publique, alors qu’est-ce que c’était ? Et c’est ce qui m'a frappé…
Le cas curieux des prêts du FMI pour la Biélorussie
En juin 2020, j'ai noté que le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait publiquement refusé une ligne de crédit de 940 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il l’a rejeté parce que le FMI a conditionné le prêt à l’imposition par la Biélorussie d’une politique stricte de confinement et d’un couvre-feu. À l'époque, j'ai trouvé très étrange que le FMI offre des prêts à un pays tout en fixant des conditions qui nuiraient gravement à sa capacité de remboursement.
Apparemment, un certain nombre d’autres pays ont reçu des offres similaires de la part du FMI et/ou de la Banque mondiale, mais ce n’est que grâce aux révélations publiques de M. Loukachenko que nous avons eu connaissance des conditions liées au Covid-19 attachées à de telles offres. Il est significatif que Loukachenko ait mentionné à plusieurs reprises que les négociateurs du FMI souhaitaient que la Biélorussie fasse « comme l’Italie ». D’autres nations et gouvernements qui ont accepté l’argent ont peut-être discrètement accepté les conditions qu’ils ont oublié de divulguer au reste d’entre nous.
En avril 2020, 85 pays avaient demandé une aide financière au FMI . Profondément endettés et confrontés à des économies gravement endommagées, la plupart des gouvernements du monde entier avaient besoin de prêts, les rendant ainsi victimes des diktats du pouvoir monétaire. Pour obtenir les fonds nécessaires, ils ont peut-être accepté de fermer leur économie, de restreindre la liberté de mouvement de leur population, de créer des structures de recherche de type Stasi et de fermer les écoles.
Nous devons utiliser de manière agressive la capacité de test et de traçage « que nous avons construite »
Une autre preuve que l'agenda est piloté par les banquiers est un article d'opinion dans le New York Times de Neel Kashkari , président de la Banque de réserve fédérale de Minneapolis, appelant le gouvernement à imposer un confinement strict de 4 à 6 semaines, et de passer des commandes « pour tout le monde sauf pour les travailleurs véritablement essentiels ». Kashkari a préconisé que les confinements soient aussi complets et stricts que possible et soient appliqués de manière agressive, en utilisant « la capacité de test et de traçage que nous avons construite… »
Les empreintes du cartel bancaire peuvent également être trouvées dans le document « Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international », publié par la Fondation Rockefeller en 2010. À la page 18, sous le titre « Lock Step », le document décrit de manière prémonitoire notre réalité actuelle comme « Un monde de contrôle gouvernemental descendant et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une réticence croissante des citoyens . » Le scénario envisage une « pandémie que le monde anticipait depuis des années… » Et puis nous avons eu cette « pandémie », ainsi que « le monde du contrôle gouvernemental descendant et du leadership plus autoritaire ».
Napoléon Bonaparte n’a que trop bien compris que « lorsqu’un gouvernement dépend des banquiers pour obtenir de l’argent, ce sont eux, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation ». Dans chaque pays, il semble que nous soyons confrontés à une certaine opposition de la part de la bureaucratie gouvernementale. Mais alors que ces bureaucraties et les fonctionnaires qui y travaillent deviennent la cible du ressentiment du public, il est essentiel que nous reconnaissions les marionnettistes derrière le programme qui se joue.
Il ne fait aucun doute que notre ennemi commun est le cartel bancaire international dont le siège est à Londres et à Wall Street, ainsi que ses agences comme la Banque des règlements internationaux, le FMI, la Banque mondiale, les banques et institutions d'importance systémique mondiale comme la Banque mondiale, le Forum économique mondial, les grandes sociétés pharmaceutiques, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Bill et Melinda Gates, GAVI et bien d’autres.
Comme l’ a prévenu Lord Acton il y a plus d’un siècle, « le problème qui a balayé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques ». Ce combat est désormais lancé. Cela pourrait être la lutte ultime pour l’émancipation de l’humanité ou pour notre asservissement final. Pour vaincre, nous devons comprendre nos véritables ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales qui soutiennent leur programme.
Planifier des guerres et encore des guerres
Le document de la Fondation Rockefeller révèle en outre qu’ils ont clairement anticipé notre réaction et ont sûrement planifié des détournements pour détourner nos griefs vers les facilitateurs visibles de leur régime autoritaire imposé d’en haut. Les guerres sont l’un des plus grands moyens de diversion [ malheureusement, cette prédiction s’est réalisée entre-temps ]. Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois ou quiconque contre lequel la logique du diviser pour régner nous opposerait.
Lorsque nos gouvernements nous disent que nous sommes confrontés à une grave menace provenant d’un autre pays, que nous envoyons des troupes à ses frontières ou des navires de guerre près de ses côtes, nous devons exiger qu’ils se retirent. Nous devons également nous garder de la diabolisation des autres nations et de leurs dirigeants, car elles conduisent fréquemment à une escalade militaire (pensez à Saddam Hussein , Moammar Kadhafi , Bachar al Assad …). Ron Paul nous a prévenus : « Ce n'est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle des banques centrales . » J'ai expliqué les racines systémiques de la soif de guerre de l'Occident dans cet article : « L'écart déflationniste et la dépendance à la guerre de l'Occident ».
Bref, il ne faut pas se laisser distraire par le drap rouge du torero : les coupables ultimes, la classe des super-prédateurs, sont les banquiers : une poignée de familles et d'individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n'avons pas d'autre choix que de les affronter. Aujourd’hui, nous disposons de vérités et d’informations dont les générations passées n’auraient pu rêver. Aujourd’hui, nous pouvons faire la différence et offrir à nos enfants et à leurs enfants un monde de prospérité et de liberté au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer aujourd’hui. Cette lutte vaut tous les efforts.
Un aparté aléatoire
Aujourd’hui, j’ai appris de source fiable que Tucker était à Moscou (3 février 2024) avec son équipage. Après tout , nous pourrions avoir cette interview du président Poutine – et une foule de rapports intéressants en provenance de Russie !
Par A. Krainer
Source : Substack d'Alex Krainer
https://numidia-liberum.blogspot.com/2024/02/maintenant-cest-le-combat-du-peuple.html