par Vincent Gouysse
Si Pluton ambitionne de conquérir le rôle de chef de meute des roquets atlantistes en aboyant sa logorrhée belliciste plus fort que ses congénères, afin d’éviter une défaite militaire humiliante à leur sinistre clown bandériste, il ne doit pas oublier qu’il n’est qu’un exécutant et que le musher se trouve à Washington (pas la marionnette sénile mais le Capital financier qui l’anime).
Alors que Moscou a prévenu l’Occident que la présence de troupes régulières de l’OTAN sur le sol ukrainien provoquerait l’entrée en guerre de la Russie contre l’alliance, Stoltenberg et d’autres dirigeants du bloc atlantiste assurent aujourd’hui ne pas envisager l’envoi de troupes régulières en Ukraine. Si Washington veut éviter l’embrasement (un conflit frontal dont il sait pertinemment ne pas pouvoir sortir vainqueur, qu’il soit conventionnel ou nucléaire), il ferait bien de mieux tenir en laisse son chien fou enragé parisien.
Puisque les psycho-sociopathes les plus zélés désignés par le lobby atlantiste (pour régner sur leurs peuples indigènes amorphes en cours de déclassement) semblent vouloir nous conduire joyeusement vers une guerre ouverte avec la Russie, et donc déclencher une potentielle apocalypse nucléaire, allons-y gaiement, en musique !…