Chronique de Paysan Savoyard (n° 319 – Mai 2024)
Lorsque leurs victimes sont des Blancs, les meurtres commis par des immigrés revêtent pour le Système immigrationniste et ses gouvernements une importance particulière. Si, du fait de la répétition de ces meurtres, le Français moyen de souche qui vote Macron ou qui s’abstient commence à se sentir personnellement en danger, le risque existe qu’il finisse par sortir de son attitude traditionnelle fondée sur l’égoïsme et le « après moi le déluge » et qu’il se mette à envisager de voter pour l’extrême droite. C’est pourquoi le Système développe toutes les ressources de sa propagande afin de limiter l’impact de ces crimes et éviter à tout prix que le cœur de son électorat ne soit gagné par la peur (apportons, avant de poursuivre, ces précisions de vocabulaire : juridiquement, les « crimes » comprennent les homicides volontaires, mais également d’autres infractions graves, tels que par exemple les vols à main armée ; un « homicide » peut être involontaire ; un « meurtre » est un homicide volontaire ; un « assassinat » est un meurtre prémédité).
Les meurtres ou assassinats de Blancs innocents par des immigrés sont, au rythme actuel, une dizaine par an au bas mot, si l’on s’en tient aux affaires pour lesquelles l’identité ou le profil des protagonistes, victimes et coupables, ont été portées à la connaissance du public. Les plus récents sont ceux de Thomas Perotto, Philippe Coopman et Matisse Marchais. On peut recenser dix techniques principales utilisées par le Système, ses politiciens, ses fonctionnaires, ses juges, ses journalistes, pour minimiser l’effet de ces meurtres sur l’opinion, techniques qui, bien entendu, peuvent s’additionner et se combiner.
- Technique n°1 : occulter le crime
La première ressource du Système est d’occulter purement et simplement l’homicide d’un Blanc, lorsqu’il peut passer pour « involontaire ». C’est le cas tout spécialement des homicides routiers, que le Système et ses médias parviennent le plus souvent à passer sous silence. Un petit article dans un ou deux journaux de la PQR et on n’en parle plus…
Pourtant, l’accident dont a été victime telle personne âgée, telle femme ou tel enfant, a le plus souvent été provoqué par un comportement hautement délictueux. Le conducteur qui a provoqué l’accident mortel n’avait souvent pas le permis, ni même l’âge de conduire. Il circulait souvent à toute allure en ville, à contresens et en grillant les feux. Il était souvent sous l’emprise du cannabis ou de l’alcool. Il se livrait à un rodéo à moto. Il cherchait à échapper à la police au volant d’une voiture volée. Il s’est souvent enfui après l’accident. Aucun écho national pourtant. Aucune polémique. Et on ne sait généralement rien du « profil » des protagonistes, puisque qu’aucun nom n’est donné, ni après l’accident, ni même au moment du procès. Il nous semble probable que la plupart des victimes de ces homicides routiers sont des Blancs et la plupart des coupables des immigrés, mais il s’agit là d’une pure conjecture malveillante de notre part : rien, reconnaissons-le, ne nous permet de l’affirmer de façon certaine.
En un mot, ces homicides routiers provoqués par des comportements criminels sont absents du débat public et n’ont aucune existence médiatique : c’est comme s’ils n’avaient pas lieu. Or ils sont loin d’être rares. Rien que pour ces premiers mois de 2024, citons cet accident mortel, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci (la liste n’étant probablement pas exhaustive). Quant à celui-ci, il en a été question quelques heures, avant que les affaires agricoles ne viennent rapidement l’étouffer.
C’est là, donc, la première technique utilisée par le Système. Lorsqu’un Blanc, mettons, est victime d’un homicide routier « involontaire », et que le coupable, par hypothèse, est un immigré, la chose est purement simplement occultée. C’est la technique la plus simple et la plus efficace. Le « crime parfait », en quelque sorte, pour le Système.
- Technique n°2 : dissimuler l’identité des coupables
La deuxième technique, bien connue, est de s’efforcer de dissimuler le fait que les criminels sont issus de l’immigration en ne diffusant pas leurs noms, prénoms et photos. Il ne s’agit plus cette fois seulement des homicides routiers « involontaires » mais des homicides purs et simples. Pour dissimuler l’identité des coupables, le Système utilise, le plus souvent, deux prétextes. Il prétend d’abord que les présumés coupables sont mineurs et qu’ils ont droit de ce fait à une protection particulière. Si tout ou partie des mis en cause sont majeurs, le Système dégaine alors deux autres prétextes : il ne dévoile pas les noms parce que « le rôle et les responsabilités des uns et des autres doivent d’abord être établies par l’enquête ». Et parce que « chacun des protagonistes est à ce stade présumé innocent ».
Bien évidemment ces prétextes sont bidons. La législation pénale protégeant les mineurs a été établie dans les années cinquante, à une époque qui n’avait rien à voir avec la situation actuelle, où les mineurs délinquants sont très nombreux et hyper-violents (et immigrés). Concernant les « besoins de l’enquête » et « la présomption d’innocence », l’argument pourrait paraître mieux fondé. Sauf que le Système, lui, ne se gêne nullement, avant que l’enquête ait pu aboutir à quoi que ce soit, pour jeter en pâture l’identité des présumés coupables lorsque ceux-ci sont Blancs (qu’il s’agisse de délinquants sexuels présumés, comme Depardieu, ou d’assassins présumés, comme Jubilar).
On vient d’avoir l’illustration de cette technique de dissimulation de l’identité des coupables dans les dernières affaires. Concernant le meurtre de Philippe à Grande-Synthe, on n’a ni noms, ni prénoms, ni photos concernant les coupables. Idem dans celui de Thomas à Crépol, où aucun de ces éléments n’a été communiqué officiellement. Si l’on sait que les agresseurs sont Maghrébins c’est parce que Damien Rieu a communiqué les noms. Le Système a d’ailleurs dénoncé son initiative. On se doute qu’il s’est en outre immédiatement mobilisé en coulisses pour tenter de débusquer l’auteur de la fuite policière. Dans le cas de Matisse, comme le criminel a agi seul (ou avec sa mère) et qu’il est l’auteur indéniable des coups de couteau face à la victime sans armes, les prétextes des « responsabilités à définir » et de la « présomption d’innocence » pouvaient difficilement être utilisés. Le Système a dû lâcher cette information : il est Afghan.
- Technique n°3 : mettre en avant le fait que le coupable est « Français »
La troisième technique consiste à mettre en avant le fait que le coupable présumé est Français. L’argument est censé couper l’herbe sous le pied de tous ceux qui veulent mettre en évidence le lien entre l’immigration et la délinquance de masse. Ses papiers français ne changent rien, pourtant, au fait qu’il est issu de l’immigration : mais un certain nombre de gens se laissent prendre à l’argument, même si le coupable est binational, qu’il est pourvu d’une longue barbe et se rend à la mosquée tous les vendredis.
L’autre intérêt de l’argument est psychologique. En accolant le mot « crime » et le mot « Français », on suggère de façon subliminale que les Français de souche eux aussi peuvent être criminels. La technique n°4 permettra, à toutes fins utiles, de renforcer l’effet produit.
- Technique n°4 : porter régulièrement sur le devant de la scène des criminels bien de chez nous
Une autre technique bien utile pour contrebalancer l’effet déplorable des meurtres de Blancs consiste à mettre en avant et à revenir sans cesse sur les crimes commis cette fois par des Français de souche. L’objectif est bien entendu de relativiser les crimes d’immigrés et de conduire le Français moyen à conclure que les auteurs de crimes « peuvent être aussi bien des Blancs que des immigrés ».
C’est pourquoi le Système recourt jusqu’à plus soif aux Fourniret, Le Landais et autres Ligonnès. Même si leurs crimes datent de nombreuses années, les médias prennent soin de les exhumer de façon régulière, en prenant prétexte d’une date anniversaire ou de la survenance d’un acte de procédure nouveau. Et là, bien sûr, le criminel Blanc fait l’objet d’un reportage de plusieurs minutes, avec toutes les photos voulues.
Le cas de Ligonès est particulièrement utilisé car il permet au Système de poursuivre des objectifs collatéraux. Non seulement ici le criminel est Blanc, mais il est catholique et porte un nom aristocratique. Coup triple ! Strike !
Bien entendu cette utilisation des crimes de Blancs, le plus souvent des tueurs en série, est particulièrement malhonnête. Les faits sont pour la plupart anciens. Les victimes sont presque toujours Blanches, tandis que les meurtres d’immigrés par des Blancs sont rares. Surtout ces crimes de Blancs ne démontrent qu’une chose : nous avons parmi nous des monstres, raison de plus pour ne pas en importer d’autres.
- Technique n°5 : minimiser la responsabilité du coupable
Une autre technique consiste à s’efforcer de minimiser la responsabilité du coupable. Les médias et les juges expliqueront qu’il est « déséquilibré » ou « suivi sur le plan psychiatrique ». Ils préciseront qu’il est « issu d’un quartier défavorisé » et/ou « qu’il a été élevé seule par sa mère ». Ils vont insister complaisamment sur le fait qu’il est « originaire d’un pays en guerre » et qu’il n’a « jamais connu que la violence ».
Non seulement ces arguments ont pour objectif d’atténuer la responsabilité du coupable, mais ils permettent aussi de faire dévier le débat sur un aspect sans rapport avec le crime lui-même. Les médias vont en profiter pour s’appesantir, par exemple, sur l’état déplorable de la psychiatrie en France, sur l’ampleur du chômage dans les quartiers ou sur la situation de l’Afghanistan depuis l’arrivée au pouvoir des talibans. Les différents reportages sur ces sujets connexes permettront aux médias de paraître traiter longuement de l’affaire, alors qu’il s’agit pour eux au contraire de noyer le poisson.
Il va sans dire que ces arguments visant à atténuer la responsabilité du coupable sont généralement de mauvaise foi. Le mauvais état de la psychiatrie, par exemple, touche toute la population et n’excuse donc en rien la sur-délinquance des immigrés. Au surplus, les services de psychiatrie sont débordés… par l’immigration elle-même, qui représente l’essentiel de sa clientèle. S’agissant du taux de chômage, l’argument est évidemment tout aussi fallacieux. Les chômeurs des quartiers sont évidemment des chômeurs volontaires, les emplois disponibles étant légion. La vérité est que les revenus que les « quartiers » en question tirent du trafic sont sans commune mesure avec ceux que pourraient procurer les emplois salariés, si « les jeunes » concernés faisaient le choix de les occuper. Quant à l’argument selon lequel l’état de guerre des pays d’où sont issus les criminels immigrés est à l’origine de leur dangerosité, il est sans doute pour partie exact : mais cette dangerosité particulière des immigrés issus de pays en guerre est précisément l’une des raisons pour lesquelles leur accueil en France est délirant et criminel.
- Technique n°6 : s’efforcer de dédouaner les pouvoirs publics
Elément suivant de la propagande développée en matière de meurtres de Blancs ou d’attentats : le Système va chercher à dégager sa responsabilité. Il va mettre en avant le fait que l’immigré concerné est en « situation régulière » et « inconnu de la justice » : il était donc tout à fait normal qu’il ait été en liberté. S’il s’agit d’un délinquant endurci ou déjà identifié comme islamiste, ce qui est le plus souvent le cas, la propagande va alors mettre en avant le fait que les autorités le suivaient étroitement. Suivra la liste des gardes à vue, interpellations, mises en examens, contrôles judiciaires et autres fichages S dont l’intéressé faisait l’objet. Cette énumération, destinée à démontrer que les pouvoirs publics agissent et font de leur mieux, permet à n’en pas douter d’abuser une partie de l’électorat. Mais les pouvoirs publics disposent encore d’un autre argument, destiné à clore le débat : « Il faut apprendre à vivre avec les crimes et les attentats : le risque zéro n’existe pas ». Et cette conclusion fataliste suffit à mettre un terme aux doutes que pouvaient éprouver certains électeurs du Système.
Cette propagande destinée à dédouaner les pouvoirs publics est évidemment malhonnête et mensongère. D’abord parce qu’elle passe sous silence le lien étroit qui existe entre l’insécurité et l’immigration massive voulue ou acceptée par la classe dirigeante. Il faut ici rappeler cette évidence : si les gouvernements depuis soixante ans n’avaient pas laissé entrer des millions d’immigrés, il n’y aurait aucun attentat, aucune émeute et aucun meurtre de Blanc par un immigré…
La malhonnêteté du Système découle de cette autre constatation essentielle, dissimulée par le fatras d’informations aussi techniques qu’accessoires : le coupable, pourtant souvent islamiste identifié, souvent en situation irrégulière, souvent délinquant récidiviste, ce coupable avait été laissé libre d’aller et venir, par les pouvoirs publics, par les forces de l’ordre, comme par la justice. Et ces différents services n’ont pas su empêcher le « passage à l’acte »…
- Technique n°7 : accuser l’extrême droite
L’autre technique est utilisée presque systématiquement à l’occasion du meurtre d’un Blanc par un immigré. Non seulement les autorités vont tenter de se dédouaner mais elles vont s’efforcer de mettre en cause l’extrême droite. Il s’agit de lui faire porter une partie de la responsabilité. Et de créer une polémique, qui permettra de détourner l’attention du crime lui-même.
Le Système accuse ainsi à toute occasion l’extrême droite de « récupérer » le crime, de « l’instrumentaliser », « de souffler sur les braises », « d’attiser la haine », alors qu’il en appelle, lui, à l’apaisement, à la fin des tensions, au respect de la douleur de la famille. Cet argumentaire fait mouche auprès de cette partie de l’électorat, avide de paix civile et de tranquillité, qui ne souhaite qu’une chose : penser au plus vite à autre chose et continuer de cultiver son jardin.
Lorsqu’il le pourra, le Système ne se contentera pas de dénoncer médiatiquement l’extrême droite. Il essaiera de l’attaquer sur le plan judiciaire. Ainsi lorsque le RN avait diffusé la photo de Lola, le Système avait envisagé de le poursuivre judiciairement. Dans le cas du meurtre à Crépol, certains des jeunes « d’extrême droite » qui ont manifesté à Romans ont été arrêtés et poursuivis judiciairement pour « manifestation interdite, incitation à la haine et violences sur la police », et ils ont été emprisonnés. De même le gouvernement a profité des dernières émeutes ou des derniers meurtres de Blancs pour interdire plusieurs organisations d’extrême droite, suggérant ainsi que l’extrême droite, par son « racisme », par ses « prises de positions et manifestations visant à attiser la tension », porte une responsabilité dans le crime commis.
Les accusations de récupération portées contre l’extrême droite sont évidemment malhonnêtes. D’abord parce que la récupération politique d’un fait ou d’une situation quelconque est tout à fait légitime dès lors qu’ils comportent une dimension politique. C’est ainsi que l’extrême droite souligne depuis des décennies le lien entre immigration et insécurité : le fait qu’elle s’appuie sur des crimes, des attentats ou des émeutes pour illustrer le bien-fondé de ses analyses est évidemment légitime, sauf à considérer que l’opposition ne dispose plus du droit de critiquer le pouvoir. Il ne vient à personne l’idée de critiquer les écolos lorsqu’ils « récupèrent » tel ou tel incendie de forêt ou événement climatique désastreux à l’appui de leurs thèses sur le réchauffement. Pourtant, dans ces événements également, il y a des enquêtes en cours, des personnes affligées, parfois des morts. L’argument de la « récupération » systématiquement utilisé par le Système est d’autant plus malhonnête que lui-même ne se gêne pas pour récupérer ce qui l’arrange : on se rappelle par exemple qu’il avait largement diffusé et utilisé, dans le but de justifier sa politique d’accueil des « demandeurs d’asile », la photo du cadavre du petit immigrant Aylan, sans s’embarrasser dans cette affaire du respect des familles et des victimes.
Quant aux manifestations d’extrême droite, le Système les dénonce parce qu’elles ont eu lieu sans avoir été autorisées : et pour cause puisque les pouvoirs publics les interdisent presque systématiquement. Ces manifestations, pourtant, ne sont jamais violentes (on aimerait d’ailleurs en savoir plus sur les policiers « blessés » par les manifestants d’extrême droite à Romans, dont a parlé la presse…). Dans le même temps le Système laisse agir depuis des décennies des milices antifas ultraviolentes, sans conséquences judiciaires.
Les attaques du Système contre l’extrême droite, accusée de récupérer les meurtres de Blancs ou de manifester pour les dénoncer, évoquent cet aphorisme de Chamfort : « En France on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin »…
- Technique n°8 : entretenir le flou sur les faits et les circonstances du crime
La technique suivante est de la même eau que les précédentes : en cas de meurtre d’un Blanc, les pouvoirs publics et les médias à leur service vont s’efforcer de camoufler les circonstances exactes du crime, d’entretenir le flou, de multiplier les rideaux de fumée, afin que finalement personne ne sache plus à quoi s’en tenir. Là encore, comme pour les noms et prénoms, le Système va utiliser des prétextes. Il s’agit, nous dira-t-on, de « respecter le deuil de la famille ». Et de « laisser l’enquête se dérouler de façon sereine, protégée de l’émotion et de la pression de la foule ».
Finalement on ne saura rien de précis. C’est le cas pour l’affaire de Crépol. Quel est le déroulement précis des faits ? Qui sont les protagonistes ? Quels sont les nombres en cause ? Qui a déclenché la rixe ? Les assaillants avaient-ils été au préalable refoulés à l’entrée de la salle des fêtes ? La soirée était-elle ou non sur invitation ? Combien y avait-il de vigiles ? On ne sait rien finalement, ce qui interdit de se faire des faits une opinion exacte.
Il en est de même pour le meurtre de Philippe. Se rendait-il à un rendez-vous avec ceux qui allaient être ses assassins ou passait-il là par hasard ? De même s’agissant de Matisse. Y a-t-il eu ou non rixe préalable ? Quel est le rôle de la mère ?
Bien sûr, on comprend que l’enquête ne puisse aboutir en quelques jours ou quelques semaines et il est sans doute légitime que les pouvoirs publics ne s’expriment pas sur son évolution. Mais rien n’empêcherait la presse de se livrer, elle, à une enquête détaillée, puisqu’elle n’est en rien tenue par l’obligation de secret qui pèse sur les juges et les policiers chargés de l’instruction. Or tel n’est pas le cas : les médias se taisent et se contentent de se défausser sur l’enquête.
Il faut ici souligner que les choses ont été à l’inverse dans le cas de la mort du voyou Nahel. Tout a été immédiatement décrypté, reconstitué, pour mettre en cause le policier, vidéos, schémas et reconstitution en 3D à l’appui, dans tous les journaux. Dès le lendemain de la mort du voyou, le 28 juin, alors que les émeutes démarrent, E. Macron déclare : « Nous avons un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable, inexcusable… Rien, rien, ne justifie la mort d’un jeune ». Le premier Ministre, E. Borne déclare de son côté, le même jour : « Les images choquantes diffusées hier montrent une intervention qui ne semble manifestement pas conforme aux règles d’engagement de nos forces de l’ordre ». Macron et Borne ont ainsi d’emblée pris publiquement parti en considérant que le policier était fautif, alors que l’enquête n’avait pu évidemment à ce moment déterminer les circonstances exactes, ni trancher le point de savoir si l’intervention du policier était ou non légitime. Ce que l’on a su en revanche dans les premières heures qui ont suivi le décès du dénommé Nahel, c’est que celui-ci était un voyou. Cela n’a pas empêché E. Macron de lancer : « Je veux dire à sa famille toute notre solidarité et l’émotion de la nation toute entière ».
Tandis que dans les affaires de meurtres de Blancs, les autorités refusent de divulguer les informations concernant les circonstances au nom de « la nécessité d’attendre les résultats de l’enquête », dans le cas de la mort de l’immigré Nahel les plus hautes autorités de l’Etat ont immédiatement pris parti en faveur de la victime et en défaveur du policier, sans se soucier une seconde de l’enquête qui commençait. Ce deux-poids-deux-mesures spectaculaire le démontre si besoin était : dans le cas des meurtres de Blancs, la dissimulation des faits et des circonstances est délibérée et malhonnête.
- Technique n°9 : faire pression sur la famille de la victime
Pour essayer d’atténuer l’impact du meurtre d’un Blanc, le Système emploie encore cette autre technique : faire pression sur la famille de la victime. Il s’agit de faire en sorte qu’elle adopte et diffuse le discours souhaité : « pas de haine, pas de récupération, appel à l’apaisement ». C’est ce qui s’est produit avec la mort de Lola. La famille a demandé que « cesse instamment » toute utilisation « du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques ». De même la famille a voulu qu’au cours de la marche blanche « celles et ceux qui viendront apporter leur soutien le fasse à titre personnel, sans écharpe officielle ni signe d’appartenance à un organisme politique quel qu’il soit ». Dans le cas de la mort de Matisse Marchais, le maire de Châteauroux a rapidement déclaré : « Les parents de Matisse ne souhaitent pas qu’on parle d’immigration ni de la nationalité ». Le père de Matisse a déclaré de son côté : « Ne mélangeons pas tout. Faites attention à tous les bords de droite ou d’ailleurs qui s’approprient ce genre de chose. »
Ces déclarations d’apaisement résultent-elles véritablement du choix des familles concernées ? Il est permis d’en douter. On peut ainsi imaginer que, dans les jours qui suivent le crime et lors des inévitables marches blanche, la famille se voie prescrire force tranquillisants et euphorisants. On peut imaginer que, dès après le crime, différents bon samaritains se présentent auprès de la famille, psychologues, médecins, représentants de l’Etat, tous téléguidés par le préfet, et chargés de contrôler la communication de la famille et de la manipuler. On peut imaginer que ce soit un conseiller discret ou un avocat soigneusement choisi qui tienne la plume pour rédiger le communiqué de la famille. On peut même imaginer des promesses de différentes natures, voire, à l’inverse, l’utilisation de différentes menaces si la famille se montre récalcitrante. Nous ne savons rien de tout cela, bien entendu, puisque les médias, aux ordres du pouvoir et chargés de relayer le message officiel, n’enquêteront jamais sur ces pratiques, qui ne relèvent peut-être que de notre imagination complotiste.
On se souvient en tout cas que le mari d’une des victimes du Bataclan, le journaliste Antoine Leiris, a été largement invité pour faire la promotion de son livre « Vous n’aurez pas ma haine », livre qui sera suivi ensuite d’un film. A l’inverse Pascal Jardin, père d’une des victimes, a courageusement exprimé toute la haine qu’il éprouvait pour les terroristes et a apporté son soutien à Zemmour.
- Technique n°10 : salir la victime
Le Système emploie une dernière technique, la plus odieuse : tenter de minimiser l’impact du crime en s’efforçant de salir la victime. Le but de la technique est clair : donner à penser que la victime porte une part de responsabilité, qu’il n’est pas « tout blanc » dans l’affaire, c’est le cas de le dire, qu’il n’y pas d’un côté le gentil Blanc et de l’autre le méchant immigré. Et la technique fonctionne à merveille auprès d’un certain nombre de gens, ceux qui prennent pour argent comptant les explications des médias officiels et ne vont pas chercher plus loin.
Dans l’affaire de Crépol, la technique a été utilisée de façon intensive. Les médias et certains commentateurs sur les chaînes TV et radios, ont mis en avant d’emblée le fait qu’il y avait eu « rixe », impliquant « des rugbymans » (autrement dit, était-on prié de comprendre, des personnes violentes par nature). Les médias et commentateurs ont ensuite laissé entendre que les jeunes des cités de Romans avaient pu se sentir victimes de discriminations, puisqu’ils « avaient été tenus à l’écart de cette soirée » où ne se retrouvaient que des Français de souche. Les mêmes médias ont également affirmé que des injures racistes, préalables à la bagarre, avaient été proférés par les jeunes rugbymans. Puisqu’on ne sait rien de l’enquête, il est impossible de dire si ces « informations » destinées à mettre en cause la responsabilité des victimes correspondent ou non, à la vérité, au moins partiellement, ou si elles ont été intégralement fabriquées ou déformées par les médias. Même si ces informations sont véridiques, ce qui nous paraît douteux, les faits en question ne pèsent rien en regard de ce qui paraît incontestable : les jeunes des quartiers sont venus en nombre ; ils portaient des couteaux ; ils s’en sont servis ; ils ont tué. Mais le but du Système est quoi qu’il en soit atteint : les informations, insinuations, hypothèses et sous-entendus relayés par les médias concernant le « racisme » dont auraient fait preuve les jeunes rugbymans de souche ont atteint leur objectif : une partie des auditeurs des JT ont conclu que les jeunes Blancs de Crépol ont porté dans les événements une part de responsabilité.
Dans le cas de Philippe, différents médias ont affirmé que la victime se rendait à un rendez-vous homosexuel avec des mineurs. Le Français moyen est prié de comprendre que ce Philippe est certes une victime mais qu’il était peut-être pédophile et avait en tout cas de mauvaises fréquentations. Au passage, on notera que l’homosexualité attribuée à Philippe est présentée dans cette affaire comme une source de mauvais comportements alors qu’elle est généralement portée aux nues. C’est que le Système a cette fois d’autres priorités : il s’agit de sauvegarder la vache la plus sacrée, celle de l’immigration. Selon d’autres informations, ce n’était pas Philippe qui avait rendez-vous et lui serait passé là par hasard. Que l’information initiale soit vraie ou pas, l’effet voulu est atteint : une partie des gens auront retenu que ce Philippe était tout de même un peu louche.
Même technique dans le cas de Matisse. Les médias ont indiqué tout de suite qu’il avait été l’auteur « d’insultes racistes » préalables à la rixe. C’est ce qu’a affirmé par exemple le JT de TF1, le lundi, jour du crime, puis de nouveau le mardi, en précisant même que cette information était « de source policière ». D’autres informations venues par la suite donnent à penser que les « injures racistes » de la part de la victime sont peu probables (selon cette deuxième salve « d’informations », la victime avait des copains immigrés ; il n’y aurait pas eu injures racistes mais moqueries à la suite d’une « battle de danse hip hop »…). Mais il importe peu que les injures racistes soient ou non confirmées le moment venu. L’effet souhaité s’est produit dans l’esprit d’une partie des spectateurs de JT et autres auditeurs de radios : « Matisse a sans doute eu une part de responsabilité »… « Et de toute façon cette affaire est bien embrouillée : il est difficile de se faire une opinion »…
Dans toutes ces affaires, les « informations » destinées à salir la victime seront peut-être finalement démenties par l’enquête. Cela n’aura aucune importance. Elles se seront imprimées dans l’esprit de celui dont l’information repose pour une part sur le JT : le retraité, un peu niais ou au contraire cynique et calculateur, qui est le cœur de l’électorat macronien. Dans ces différentes affaires, rapidement étouffées, l’émotion retombe vite et laisse rapidement la place à l’oubli, chaque nouvelle affaire ayant pour intérêt de faire oublier la précédente.
Soulignons pour terminer que les journalistes qui, le cas échéant, auront été à l’origine de fausses informations concernant la victime ou les auront relayées et diffusées, ces journalistes, bien entendu, ne feront jamais l’objet de poursuites pour « diffamation » ou « diffusion de fausses nouvelles ». Sûrs de leur impunité, ils pourront donc recommencer à l’occasion de l’affaire suivante.
Dans les meurtres de Blancs, grâce à ces différentes techniques, le Système cherche à créer la confusion sur les différentes dimensions de l’affaire, les faits et les circonstances exacts, les responsabilités des uns et des autres. Le but, atteint à tout coup, est de désamorcer l’indignation et de faire en sorte que le Français moyen, aboutisse à cette conclusion : « Finalement on ne sait plus quoi penser ». Le procès, le moment venu, permettra peut-être de faire le clair. Mais il se déroulera parfois à huis-clos et de toute façon trois ou quatre ans plus tard, lorsque tout le monde aura oublié. Pour couronner le tout, on sait d’avance que le procès en question débouchera sur des jugements scandaleusement laxistes. Ce sera le cas en particulier dans les agressions en groupe, s’il s’est révélé impossible d’identifier avec certitude celui qui a porté le coup fatal : le juge considèrera alors que le doute interdit de délivrer des peines lourdes.
Les différentes techniques que nous venons de recenser apparaissent comme des déclinaisons des méthodes utilisées chaque jour par le Système progressiste, sans-frontiériste et immigrationniste au pouvoir : propagande incessante, arbitraire, usage systématique du deux-poids-deux-mesures, harcèlement des opposants, dissimulation, mensonges et intoxication de l’opinion. La façon dont sont traitées les affaires dans lesquelles des Blancs innocents sont tués par des immigrés révèle de la façon la plus nette la nature totalitaire du Système.
Le traitement de ces affaires met en évidence une autre des caractéristiques du Système, la principale. En France, comme en Europe, la classe dirigeante, ses gouvernements, ses hauts fonctionnaires, ses juges et ses journalistes portent aux peuples de souche une détestation et un mépris sans limite et accordent une préférence de principe aux immigrés qui nous envahissent. Ceux qui nous gouvernent, autrement dit, ne sont pas seulement des traîtres : ils veulent nous éradiquer.
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