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Oumar l’a tuer

 

Il y a tout juste un an, le 4 août, à Cherbourg, Mégane était sauvagement violée par Oumar M., 18 ans, brute multirédiciviste. Aucun regret, aucune excuse. Un mois de coma artificiel pour Megane et une vie pour s’en remettre. Cette affaire atroce pose une fois de plus la question de la nature des « faits divers » tant ils sont devenus aujourd’hui des faits de société.

Elle, c’est Mégane, une petite Blanche de vingt-neuf ans violée en rentrant de soirée, sodomisée par soixante-quinze centimètres de balai, les entrailles déchirées et les côtes fracturées. La vie, pour elle, désormais, c’est l’intermède d’un coma artificiel, l’immensité insondable d’un traumatisme plongée en dormance, des cauchemars sans fin sous sédatifs, des organes en lambeaux et un corps meurtri en proie à une septicémie généralisée. Son hypothétique réveil, c’est la mort en elle que les médecins ne pourront jamais guérir, un immense cri de terreur venu du fond des âges, des yeux hallucinés sortant de leur orbite pour fuir la conscience d’une âme profanée, physiquement, moralement et psychologiquement à jamais anéantie.

Anomie et hyper-violence

Lui, c’est Oumar N’diaye, le fruit symptomatique de l’union passagère entre une dinde française aux tendances philanthropiques et une bite sénégalaise désespérément vagabonde, la projection d’une semence créolisée et colonisante arrivée à maturité et par là même, du haut de ses dix-huit ans et de son mètre quatre-vingt-quinze, à son degré optimal de chaos. Oumar, c’est le visage ahuri de la post-France que les post-Français ne veulent surtout pas voir, ses cheveux crépus et son petit duvet salace en guise de moustache, ses lèvres bouffies et les yeux somnambuliques du fumeur de pétards détraqué. Oumar, c’est la France d’après la misère, la France de l’iPhone 15 et des dernières Nike à quelques centaines d’euros, la France qui défèque dans sa cage d’escalier tous les matins, qui insulte et tabasse sa mère à l’occasion et n’hésite pas à violer sa petite sœur de temps en temps.

Elle, c’est l’image en chair et en os de la France qui disparaît, petite, blanche et vulnérable. De la France qui refuse délibérément de protéger les siens, la France à jamais capitulante des accords d’Évian, la France qui baisse son froc et s’auto-flagelle sans répit depuis plus d’un demi-siècle. C’est la France de l’éternel barrage à l’extrême droite, la France très fière du regroupement familial et de l’abolition de la peine de mort, la France qui aimerait bien pouvoir encore un peu s’amuser dans le monde cauchemardesque qu’elle a créé. C’est la France du gauchisme sans cesse triomphant, la France-passoir des ONG sans-frontiéristes et du Syndicat collaborationniste de la magistrature ; une France saccagée de l’intérieur, moralement exsangue et livrée à l’anomie la plus totale, une France au système immunitaire défaillant, percée partout dans ses frontières et en proie elle aussi, dans sa chair, à la septicémie du virus migratoire.

Ce n’est pas une cagnotte Leetchi qui nous sauvera

Lui, c’est la post-France, la France glorieuse et créolisée des razzieurs subventionnés. La France des faits divers systématiques, du rap et des cités bestialisées. La France du haschich à volonté et des neurones égalitairement azimutés. La France de l’AME, du RSA et du trafic de drogue banalisé. La France de la kalachnikov et des mortiers, la France de l’hyper-violence qui pourlèche d’avance ses grosses babines devant l’imminence du carnage qu’elle s’apprête à consommer. C’est la France Orange mécanique qui vient finir sa décolonisation dans le sperme et dans le sang ; la nouvelle France qui filmera un jour, en direct sur TikTok, le corps sanguinolent du dernier babtou agonisant.

Et nous, dans tout ça, qui sommes-nous ? Sinon le pays des sans-couilles et des lâches, la grande nation des impuissants congénitaux ; la masse léthargique qui erre lamentablement sur son propre sol, en regardant ses chaussures et son smartphone ; un flot de morts-vivants porteurs de bougies, spécialisés dans l’organisation de marches blanches ; de pauvres indigènes acceptant docilement de financer leur propre extinction ; la République des mâles démissionnaires qui se rendent sans livrer bataille ; l’arène prodromatique des femmes violées sous le regard stupéfié de leurs compagnons émasculés ; le pays où ne se passe plus rien de réel que l’accélération du désastre en cours ; le pays où même l’explosion de ce réel ne parvient plus à réveiller ses vieux habitants ; le pays de la cagnotte Leetchi comme ultime réponse à la barbarie qui l’achève…

© Photo : Des identitaires avaient manifesté le 9 septembre au pied d’un immeuble où vivait Oumar N’diaye. @Argos_france

éléments 209
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