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Dictature : en France, c’est grave, en Angleterre c’est pire !

On semble surpris en France de l’ampleur et de la violence des émeutes qui frappent l’Angleterre depuis début août. Il est vrai que l’attentat criminel commis le 29 juillet dans une ville du nord : une fillette de 9 ans décédée, 8 autres enfants blessés, dont cinq dans un état critique, plus deux adultes et encore tout récemment une femme de 34 ans et une jeune fille de 11 ans, toutes deux poignardées en plein cœur de Londres et combien d’autres agressions mortelles ou non qui sont passées sous silence quotidiennement, seraient suffisantes pour justifier un tel mouvement de colère, de révolte.
 

Mais justement, ce ne sont pas ces faits divers aussi dramatiques soient-ils, qui ont motivé de tels émeutes violentes, mais « l’omerta imposée par le gouvernement et les responsables qui interdisent toutes informations sur ces agressions, ces crimes et, surtout, sur l’identité des “monstres” qui les commettent ».

En France on prend la précaution, inutile d’ailleurs, de ne pas signaler l’identité d’un agresseur, d’un criminel. Précaution absurde puisque dès lors que son origine est passée sous silence, le doute n’est plus permis, même quand ce n’est pas le cas.
Mais en Angleterre « c’est plus que pire ». Il est formellement interdit de commenter, d’informer, dans tous les médias, même, et surtout, dans des affaires criminelles abominables et cela dans l’unique objectif « de ne pas stigmatiser certaines communautés musulmanes » responsables de ces assassinats, de ces viols.
Et ce sont ces ordres des plus hautes autorités « qui sont les motifs réels d’un tel embrasement, d’une telle colère, et non pas uniquement, comme on souhaite le faire croire, de groupuscules d’extrême droite, mais d’une grande partie de la population excédée par une telle politique du silence, de l’omerta ».

Et cela ne date pas de ces derniers jours, de ces derniers crimes.

Des drames ont ainsi été dissimulés volontairement notamment à Rochdale, à Rotherham, à Telford mais le plus grave, le plus abominable, et celui qui a été, sur ordre, totalement occulté par les médias, s’est déroulé à Huddersfield, dans la région du Yorkshire, entre 2004 et 2011. 22 viols commis sur 11 adolescentes, les plus jeunes avaient à peine 11 ans. Droguées puis violées par plusieurs membres d’un gang d’origine pakistanaise. Forcées de satisfaire les déviances sexuelles de leurs agresseurs.

Du côté de Telford, près de Birmingham, c’est un millier de jeunes filles, issues de la classe ouvrière blanche, qui ont été les victimes d’un réseau de pédophiles que l’on suppose également originaire du Pakistan. La police alertée aurait refusé à cinq reprises d’ouvrir une enquête « par crainte d’être accusée de racisme », sans doute également sur ordre de la hiérarchie, au risque de mettre en danger d’autres victimes, dans ce pays acquis au multiculturalisme et dans l’objectif de ne pas « stigmatiser telle ou telle communauté ».

Un militant, indiqué d’extrême-droite, avait été condamné à treize mois de prison ferme pour avoir dénoncé le gang d’Huddersfield.
Sommes-nous à l’abri d’une telle situation explosive en France ? Certes pas. Il suffirait que le Nouveau Front Populaire, et plus particulièrement LFI, obtienne ne serait-ce qu’une parcelle de pouvoir pour que soit appliquée une omerta totale sur tous les actes qui pourraient incriminer une certaine communauté.
 
Manuel Gomez

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