L’écrivain et journaliste néerlandais Antonin Cee estime qu’on peut compter sur le PVV, le parti vainqueur des élections législatives de novembre dernier, pour faire tout ce qui est en son pouvoir pour que les Pays-Bas redeviennent un pays aussi blanc que possible.
Le PVV entend mettre en œuvre « la politique d’asile la plus stricte au monde ».
Cela fait rêver.
Le PVV (Parti pour la liberté et la démocratie) de Geert Wilders est arrivé en tête des élections. Il a recueilli près de 2,5 millions de voix sur moins de 10,5 millions de votants, soit 23,49 %.
Il compte le plus grand nombre de sièges au sein de la Chambre des représentants (37 sur 150). Il avait 17 sièges dans l’ancienne législature.
C’est un immense succès pour le PVV et Geert Wilders, sachant qu’au Pays-Bas les « allochtones » adeptes d’une religion barbare pullulent et que Wilders est considéré comme une peste aussi bien dans son propre pays que dans les pays environnants.
Les Pays-Bas ont payé un lourd tribut au terrorisme islamiste. On peut citer, en particulier, l’assassinat, en novembre 2004, du réalisateur Theo van Gogh, arrière-petit-fils de Théodore van Gogh, le frère du peintre Vincent van Gogh.
Il avait à peine 47 ans.
Il a été tué par un Marocain nommé Mohamed. Comme la plupart des assassins qui sévissent dans l’Europe mécréante.
Theo Van Gogh a été blessé avec une arme à feu dans un lieu public à Amsterdam. L’assassin marocain l’a achevé avec huit balles avant de l’égorger. Il lui a ensuite planté deux couteaux dans la poitrine, dont l’un porte, sur la garde, une lettre adressée à la militante et écrivaine néerlando-américaine d’origine somalienne, Ayaan Hirsi Ali, pour sa participation au court-métrage « Submission » réalisé par Van Gogh et dénonçant les violences faites aux femmes dans les pays musulmans.
C’est toute une Histoire que le Mohamed marocain a tuée.
Dans l’indifférence totale des Néerlandais.
Qui peut dire ce que le cinéaste assassiné aurait produit, ce qu’il aurait donné à son pays et au monde entier si le Mohamed marocain n’avait pas mis fin à sa vie de la façon la plus horrible ?
Comment les Hollandais peuvent-ils oublier cet événement ?
Ils ne peuvent pas se débarrasser des œillères qu’ils portent depuis des décennies.
Aux Pays-Bas, les œillères, comme les tulipes, sont des spécialités du terroir.
Geert Wilders s’est allié à trois partis de droite et du centre droit pour former une coalition gouvernementale et redonner de la blancheur à son pays : limiter au maximum l’immigration, s’affranchir de certaines règles européennes, dans le domaine environnemental notamment, et appliquer un programme social qui serait financé grâce, entre autres, à des économies massives dans le domaine de l’aide au développement, de l’accueil des demandeurs d’asile et des subventions aux énergies durables.
Le nouveau gouvernement néerlandais est dirigé par l’ancien responsable des services de renseignement, Dick Schoof.
Les quatre partis de la coalition, qui disposent d’une majorité de 88 sièges sur 150 au Parlement, avaient convenu d’opter pour un gouvernement partiellement technocratique (50 % de politiciens et 50 % de personnes extérieures à la politique).
Le parti de Wilders détient cinq portefeuilles dans le gouvernement néerlandais.
Il occupe le poste de vice-Premier ministre, ministre de la Santé, du Bien-être et des Sports, et les portefeuilles ministériels de l’Asile et de la Migration, du Commerce extérieur et de la Coopération au développement, des Infrastructures et des Eaux ainsi que le portefeuille des Affaires économiques.
Au sein des partis patriotes néerlandais, on pense ouvertement à un « Nexit ».
Ce sera cependant difficile à réaliser, les quatre formations de la coalition n’étant pas d’avis convergents sur le sujet.
Il n’en reste pas moins que les Pays-Bas s’imposent d’ores et déjà comme un exemple pour le recouvrement de la souveraineté nationale au sein des pays de l’UE.
Messin’Issa
https://resistancerepublicaine.com/
Les Pays-Bas, un pays qui veut redevenir aussi blanc que possible