Ce jeudi 3 octobre, Thomas Joly, Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon, Alexandre Hinger et Thomas Petit étaient convoqués dans plusieurs gendarmeries suite à une enquête, diligentée par le Parquet de Nancy, en rapport avec l'affiche du Parti de la France « Donnons un avenir aux enfants blancs ».
La garde à vue a duré pas moins de 9 heures alors que les 5 auditionnés ont usé de leur droit à garder le silence et qu'ils ont chacun remis une déclaration libre sur papier réfutant tout caractère illégal de l'affiche incriminée et démontrant l'interprétation malveillante qui en a été faite par des adversaires politiques.
Ces persécutions politico-judiciaires resteront sans effet sur la volonté des cadres du Parti de la France de dire la vérité et de défendre le peuple français envers et contre tout.