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Giorgia Meloni a commencé à expédier ses migrants en Albanie

Giorgia se reprend après s’être laissée embobiner par Pustula la Hyène dans l’épineux dossier de la gestion des migrants. Façon politiquement correcte de désigner la mafia des délinquants sans frontières. L’autre nom des petits soldats servant les banksters du Nouvel Ordre Mondial.

Transférer des apatrides dans un État mafieux musulman ex stalinien n’est pas condamnable. Provenant de pays comparables, les visiteurs ne seront pas dépaysés. Et quelle que soit la compensation financière versée à l’Albanie, ce sera toujours plus avantageux que de garder ces intrus en Italie.

Une brèche dans les diktats de l’Eurocrature et un exemple à suivre

L’Italie a commencé le lundi 14 octobre à transférer un premier contingent de migrants vers des centres qu’elle gère en Albanie. Une action inédite, pour ne pas dire une grande première pour un pays vassal de l’Eurocrature gangrenée, qui désapprouve cet accord.

Ils ont commencé petit. Juste un test pour voir comment s’organiser. Un patrouilleur de la marine italienne le « Libra » est parti de la colonie mahométane de Lampedusa avec 16 voyageurs à bord, tous des hommes. Le navire doit accoster en Albanie mercredi.

Dix de ces « touristes » sont originaires du Bangladesh et six d’Égypte. Ils ont été interceptés dans les eaux internationales par les autorités italiennes, en provenance de Tripoli, en Libye. Aucun ne parle italien. Ni albanais. Qu’importe, ils apprendront.

Ce transfert expérimental s’effectue en vertu d’un accord controversé signé fin 2023 entre le gouvernement de Giorgia Meloni et celui de Tirana représenté par le Premier ministre albanais Edi Rama. Conclu pour cinq ans, éventuellement renouvelables, le contrat prévoit la création de deux centres d’accueil en Albanie. Coût estimé dans les 160 millions d’euros par an à charge de l’Italie. Une aumône comparée à ce qu’on refile à l’Ukraine.

En cas de réussite, ces centres pourraient accueillir jusqu’à 40.000 migrants par an à partir du printemps 2025. Pas assez pour éponger les flux migratoires qui ne tarissent pas. Mais c’est mieux que rien.

La procédure prévoit un contrôle antiterroriste sur un navire militaire italien, avant le transfert dans un centre du nord de l’Albanie, au port de Shengjin, pour une identification approfondie. Puis l’envoi vers une ancienne base militaire à Gjader. Où les pensionnaires comprendront vite que ce n’est pas le Club Med auquel ils s’attendaient.

Les migrants auxquels on confisque leurs couteaux seront détenus dans des préfabriqués de 12 m2 entourés de hauts murs avec de caméras, et surveillés par la police, dans l’attente du traitement de leur demande d’asile, si un pays de l’UE les accepte. Pustula est folle de rage. Ni la Hongrie, ni l’Autriche, ni la Pologne, ni la Slovaquie, ni les Pays-Bas n’en veulent. Le Danemark et la Suède sont très réservés.

Quand ils sauront que le paradis des Koufars avec tous ses avantages sociaux n’est plus ce qu’il était, ça peut dissuader des candidats au voyage. La police albanaise n’a pas la réputation d’être tendre. Et sa justice n’est pas laxiste avec les délinquants. Cyniquement, on leur demande de faire le job que nous n’osons plus faire dans nos démocratures dégénérées. Et puis il n’est pas interdit de rêver. Peut-être que déçus par cet accueil, certains seront tentés de repartir chez eux. 

Il faut une longue cuillère pour dîner avec le diable

L’Albanie n’a pas les meilleures références. Il faut être bien optimiste ou n’avoir pas d’autre choix pour lui faire confiance. Envahie au XIVe siècle par les Turcs, malgré la résistance héroïque et les victoires de Skanderbeg, le pays s’est effrité morceau par morceau. Les Turcs, avec un cynisme toujours très actuel, lorsqu’ils étaient vaincus et signaient un traité de paix, claironnaient que ce n’était que provisoire, et que ça ne les engageait nullement à renoncer à la conquête des Balkans.

Les raids ottomans précédant la conquête définitive du pays ont ruiné l’agriculture, l’élevage, la sylviculture, l’artisanat, la pêche, et exterminé plus de la moitié de la population. Grand-remplacée par des Turcs. Un islam qu’on dit « éclairé » (comparé aux Talibans) y est ultra majoritaire.

Du fait des brimades, extorsions, spoliations, la panoplie classique de la dhimmitude, les derniers catholiques et orthodoxes furent convertis de force au XVIIe siècle. Les réfractaires partirent aux Amériques.

Par la suite, l’Albanie dite « moderne » apporta un soutien indéfectible aux nazis, rien que par haine des Serbes, ces Slaves qu’ils considèrent comme leurs ennemis héréditaires. En 1944, les partisans de Enver Hoxha profitèrent de la débâcle des Boches pour s’emparer du pouvoir, instaurant une dictature stalinienne fermée au monde extérieur qu’on peut comparer à la Corée du Nord. Paranoïa et délire obsidional inclus.

Le dictateur Hoxha dirigea le pays d’une main de fer jusqu’à sa mort en 1985. Les exécutions non seulement de dissidents, mais aussi de gens soupçonnés de mal penser étaient sa façon de gouverner.

Malgré le marxisme-léninisme, le « kanoun » (droit musulman) continua à s’appliquer, en particulier aux femmes. Selon la doctrine officielle : « Une femme est un sac à foutre, fait pour durer aussi longtemps qu’elle vit dans la maison de son mari ». Elle n’a pas le droit d’hériter de ses parents, son témoignage en justice vaut moins que celui d’un enfant, il lui est interdit de demander le divorce, il est normal de la battre si elle désobéit ou simplement contrarie son mari, et si elle fuit le domicile conjugal, ses parents doivent la rendre à son seigneur et maître.

On peut se demander ce que Edi Rama, 60 ans, élevé dans cette culture islamique, Premier ministre depuis 11 ans grâce à des élections très contestées, a bien pu penser lorsqu’il a dû traiter en égale Meloni.

La question migratoire continue de diviser l’Eurocrature

L’ouverture prévue en Albanie de centres d’accueil des migrants déplaît au Conseil de l’Europe, qui dit redouter des violations des prétendus « droits des réfugiés ». Par l’Italie. Uniquement. Aucun risque en Albanie, ce merveilleux pays qui a financé et entraîné pendant des années les terroristes Kosovars qui allaient poser des bombes et assassiner des gens en Serbie.

L’amour subit de l’Eurocrature pour l’Albanie et son satellite, l’entité islamo-mafieuse du Kosovo, est relativement récent. Le Kosovo a reçu dans les quatre milliards d’euros de l’UE depuis la fin de la guerre de sécession avec la Serbie. Cette manne s’est ajoutée aux expropriations sans compensation des terres et usines serbes, ainsi qu’au trafic de drogues, fausse monnaie et vente d’organes prélevés sur des humains, pas tout à fait morts. Un commerce dans lequel il semblerait que les principaux dirigeants aient été impliqués.

Comme l’Albanie n’est pas membre de l’Union européenne, pas encore, priorité à l’Ukraine, les caciques de l’Eurocrature ne peuvent guère exercer des pressions sur Tirana qui trouve des avantages dans le deal passé avec l’Italie. Mais à défaut de sucrer des subventions, les chacals immigrationnistes glapissent avec la hyène grand-remplaciste.

Pour Dunja Mijatovic, la commissaire aux droits de l’homme (sauf ceux de l’homme européen qui, lui, n’en a aucun) « ce régime d’asile extraterritorial comporte de nombreuses ambiguïtés légales ». Non, mais de quoi elle se mêle, cette Bosniaque qui passe le plus clair de son temps à cenSSurer les médias qui pensent mal !

Selon elle, « ces mesures pourraient aboutir à un traitement différent entre ceux dont les demandes d’asile seront examinées en Albanie et ceux pour qui cela se déroulera en Italie ». Non, mais elle est conne ou elle fait semblant ? Vu que, c’est précisément un des buts de la manip. Alléger un peu le fardeau des Ritals.

L’Italie confrontée à un afflux de migrants sans précédent depuis janvier, 145.000 contre 88.000 pour toute l’année 2023, a fait appel en vain à la solidarité de ses partenaires européens. Niente malgré les promesses de Pustula.

Cette affaire pourrait être un exemple à suivre. Si les canailles au pouvoir avec leurs juges collabos ne sabordent pas cette initiative comme en Angleterre où ils avaient empêché Rishi Sunak d’expédier les indésirables au Rwanda qui était prêt à les recevoir.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/giorgia-meloni-a-commence-a-expedier-ses-migrants-en-albanie.html

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