Driss Ghali, dans son dernier ouvrage « De la diversité au séparatisme », écrivait, sur le viol des Européennes par des musulmans, ces quelques mots : « A chaque Français agressé, c’est la France entière qui est déshonorée. A chaque femme violée dans les transports, c’est la virilité de chaque homme qui est mutilée. La femme est un butin dans l’inconscient collectif. On s’en empare, on la profane, on la détruit, pour démoraliser l’ennemi, et le marquer du sceau de sa défaite. Il s’agit d’un universel valide dans toutes les cultures. Seuls, les progressistes français, dont quelques juges et politiciens, refusent de l’admettre ».
Une journaliste italienne, Francesca Totolo, a fait une enquête dont le contenu paraît explosif. Elle révèle qu’en 5 ans, 11.141 Italiennes auraient été violées par des étrangers. En Italie, en effet, les statistiques ethniques ne sont pas interdites, et on peut évoquer librement ce qu’il est interdit de faire en France. Ainsi, la courageuse Marguerite Stern, déjà menacée de mort par les gauchistes LGBT, se retrouve-t-elle au tribunal, poursuivie par SOS Racisme pour avoir simplement donné les chiffres du ministère de l’Intérieur, qui admet une grosse surreprésentation des immigrés africains dans les violences faites aux femmes.
Si elle était française, Francesca Toloto subirait sans doute un sort semblable, mais elle a la chance de vivre dans un pays où ne sévissent pas les lois liberticides, ni les prétendus antiracistes.
Nous apprenons donc, dans cet entretien passionnant de l’auteur du livre « La vie des femmes compte » – plagiat de « Black Lives Matter » – qu’une femme italienne par jour a été violée par un étranger, la plupart du temps africain, dont un tiers étaient en situation irrégulière.
Le chiffre paraît énorme, mais il s’étale sur cinq années. On frémit sur la réalité de la France, quand on a quelques données précises. Si on fait confiance aux statistiques données par le collectif féministe « Nous Toutes », il y aurait en France un viol toutes les six minutes. Laurent Obertone donnait déjà des chiffres plus inquiétants il y a onze ans dans son livre « France Orange Mécanique », mais prenons en compte les chiffres des féministes, données par la militante Jessica Suzes.
Un viol toutes les six minutes, cela fait donc dix viols par heure, et donc 240 viols par jour. Soit à la louche le chiffre effrayant de 80.000 viols par an, donc 400.000 femmes violées en cinq ans.
D’autre part, si on reprend les chiffres donnés par le ministère de l’Intérieur, à l’époque du très laxiste Gérald Darmanin, on apprend que 63 % des agressions sexuelles dans les transports franciliens sont le fait d’étrangers.
Bien que la bien-pensance conteste ces chiffres, la journaliste Félicia Sidéris, traqueuse de fake-news, devait admettre que 32 % des agressions sexuelles étaient le fait de non-Français, ce qui s’appelle donc des étrangers.
Moralité, les chiffres français sont bien plus épouvantables que les chiffres italiens. Rappelons que les féministes de Nous-Toutes évoquent un viol toutes les six minutes, ce qui ferait, sur les cinq dernières années 400.000 femmes violées.
Si on accepte les chiffres de la journaliste de TF1, cela représente donc 130.000 femmes violées par des étrangers en 5 ans, soit 25.000 ans par an, soit 2.000 par mois, soit 60 par jour.
Si ces chiffres sont trop élevés, cela veut dire que les féministes ont chargé la barque. S’ils ne sont pas assez élevés, cela veut dire que la journaliste a minimisé le nombre d’agressions commis par des étrangers.
S’ils sont exacts, ils sont épouvantables, même si des féministes gauchistes sont capables de dire que 130.000 femmes, cela ne représente même pas 1 % des femmes françaises…
Lucette Jeanpierre