Il y a 19 ans, c’était le début des émeutes de 2005, parce que deux jeunes imbéciles avaient fui devant des policiers qui ne les poursuivaient même pas.
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Bilan terrible pendant 3 semaines, Sarkozy laissé seul par le gouvernement Villepin, avec la complicité de Chirac. Le gouvernement, terrorisé à l’idée d’un nouveau Malek Oussekine, laisse faire. La gauche de 2024 traite ces faits en faisant des deux jeunes voyous (leur copain, car ils étaient trois, sera arrêté quelques années plus tard pour agressions répétées) pour des martyrs de la police raciste, comme Théo, Adama Traoré et toutes les racailles tuées par la police, et n’a bien sûr pas un mot pour les deux Français battus à mort par des émeutiers, Le Chenadec et Urvoas. On doit traiter ces événements au regard de ceux qui, en 2023, suite à la mort de la racaille Nahel Merzouk, ont duré 6 jours, mais se sont étendus dans un nombre de villes bien plus importantes, conséquence de l’invasion migratoire qui, cantonnée aux grandes villes en 2005, s’est étendue dans les petites villes depuis, préservant les seules campagnes.
Le résumé est clair, et comme le dit si bien Driss Ghali dans son livre « De la diversité au Séparatisme », ces émeutes ont deux objectifs : humilier la France et préparer le terrain pour la conquête.
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