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Omerta dans la presse de gauche autour de la condamnation du journaliste Jean-Philippe Desbordes (Libé, Radio France, Envoyé Spécial…) à 20 ans de prison pour 700 viols et des actes de torture et de barbarie

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Selon La Dépêche, le procès de Jean-Philippe Desbordes, accusé de viols avec torture et actes de barbarie sur les filles de son ex-compagne, s’est conclu le 22 novembre. L’ancien journaliste a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle avec obligation de soins, tandis que son ex-compagne, Sylvie B., jugée pour complicité, a écopé de 5 ans de prison.

Entre 2018 et 2020, les crimes se sont déroulés entre le dojo de Desbordes et le domicile familial près de Bélesta. L’accusé a nié les faits, incluant près de 700 viols dénoncés par l’une des victimes. Sylvie B., d’abord dans le déni, a admis progressivement son impuissance, expliquant son silence par l’emprise de son compagnon.

Lors des réquisitions, l’avocat général a insisté sur la responsabilité de Sylvie B., qui, malgré son travail et accès à des moyens de communication, n’a pas dénoncé les faits. Il a requis 8 ans de prison pour elle et une peine de 20 ans pour Desbordes. La défense a présenté Sylvie B. comme une victime elle-même, manipulée par un homme décrit comme pervers narcissique. L’avocat de Desbordes, quant à lui, a tenté d’atténuer les accusations, évoquant un amour destructeur plutôt qu’une prédation.

Après une semaine de débats et 3 heures de délibération, le verdict est tombé : deux condamnations qui marquent la fin d’un procès glaçant.

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