Système de Ponzi, vente pyramidale, affaire Madoff ou Stravinsky, qui n’a entendu ces mots, termes, expressions ou vu un film sur ce thème.
Pourtant, sans le savoir, tous les citoyens-contribuables français pourraient bien être des acteurs essentiels d’un tel système mis en place par leur classe politique.
Essentiels, car ils auraient repris sans le savoir dans ce théâtre de boulevard le beau rôle du pigeon à qui l’on tond la laine sur le dos pour s’en faire de l’alpaga pour politicards, leur famille et ceux de leur Caste.
Prenons l’exemple donné par un site d’alerte d’investisseurs qui montre le mécanisme en cause :
« La pyramide de Ponzi par l’exemple
Une société financière vous promet un rendement de 50 % par an. Vous y investissez 1 000 euros, vous espérez donc obtenir 500 euros d’intérêts au bout d’un an.
12 mois plus tard, elle vous donne effectivement 500 €. Grâce à ces belles performances, la société prend une belle rémunération, disons 200 €. Ce que vous ne savez pas, c’est que vos 1 000 € n’ont jamais été investis, et que tout l’argent distribué vient de ce montant.
Il ne reste donc plus que 300 € dans les caisses de la société… Cependant l’année suivante, vous vous attendez à recevoir à nouveau 500 €. Ainsi pour tenir son engagement de rendement alléchant, la société a besoin de trouver de nouveaux investisseurs pour renflouer ses caisses et vous payer vos intérêts… Sans oublier qu’elle devra ensuite également payer leurs intérêts.
Si un nouvel entrant met à nouveau 1 000 €, elle pourra se servir des 1 300 € en banque pour vous verser vos 500 € d’intérêts et payer sa rémunération de 200 €. Il restera donc 600 € en caisse pour l’année suivante. Mais elle devra alors verser 500 € à ses deux investisseurs, sans oublier sa propre rémunération. Il lui faudra donc trouver d’autres investisseurs pour obtenir de l’argent frais. Et ainsi de suite.
D’année en année, le schéma se reproduit, et la société doit toujours trouver plus d’investisseurs pour payer les intérêts des premiers. Qu’à cela ne tienne, les excellents rendements qu’elle a l’habitude de servir lui donnent une très bonne réputation, qui attire de nouveaux investisseurs.
Le système dure tant que le nombre d’investisseurs croît. Mais lorsque les nouveaux entrants deviennent moins nombreux, ou lorsque beaucoup d’investisseurs demandent à récupérer leur mise en une seule fois comme ce fut le cas dans l’affaire Madoff, la chaîne se brise et la pyramide s’effondre. Chacun se rend alors compte qu’il a perdu tout le capital investi ».
https://www.ideal-investisseur.fr/economie/comprendre-la-pyramide-de-ponzi-systeme-utilise-par-bernard-madoff-7561.html#:~:text=D%27apr%C3%A8s%20l%27article%20313-1%20du%20Code%20p%C3%A9nal%2C%20une%20personne,%C3%A9videmment%20%C3%A0%20leur%20rembourser%20les%20sommes%20per%C3%A7ues%20ind%C3%BBment.
Bien, vous avez en tête comment l’escroc procède pour la tonte en toutes saisons de la bestiole qu’il a ferrée, vous remplacez le terme « investisseur » par le terme « contribuable » et le mot « investissement » que vous interchangez avec « prélèvements obligatoires » sachant que le prélèvement obligatoire s’analyse in fine bien comme un investissement puisque l’État est censé vous assurer des services comme l’hôpital, l’école des futurs citoyens, la sécurité de tous, le développement agricole et économique dont les infrastructures et recherches pour les industries et services d’avenir qui feront la richesse du pays de votre descendance.
Ces translations de mots faite, auscultez la situation économico-budgétaire française du dernier demi-siècle écoulé : toujours plus d’impôts et de prélèvements obligatoires, toujours moins de services rendus par les administrations en quantité et en qualité, désindustrialisation, perte de souveraineté alimentaire par disparition du monde agricole, énergétique par démembrement du nucléaire et pratique d’un calcul du prix de l’énergie délégué à d’autres à Bruxelles, toujours plus d’emprunts et toujours plus de charges d’intérêts et toujours moins de sécurité corrélée à une submersion migratoire et une islamisation du pays avec créations de véritables enclaves étrangères qui signalent désormais une immense perte de souveraineté sur l’espace géographique de l’hexagone en voie de dépeçage par plusieurs puissances étrangères dont la Oumma qui en prennent possession sans même qu’un gradé militaire de l’état-major s’en émeuve et mette en forteresse la classe politique pour menées antinationales par la livraison de portions complètes de territoire auxdites forces étrangères.
Le compte n’y est pas pour le prélevé-obligé autrement dénommé l’investisseur français de souche qui s’imagine cotiser pour améliorer son niveau de vie sur ses terres ancestrales : pour ce il paie moult impôts, taxes et cotisations, comme résultat on lui vole son pays : l’escroquerie est ici démasquée par la simple juxtaposition de deux faits réels qui se télescopent irréconciliables qui ne peuvent s’assimiler comme disent les tenants de l’immigration forcenée de la Caste.
Autre volet-cœur du système d’escroquerie mis en place par la classe politique française niché dans les nouveaux emprunts toujours plus élevés qui ne servent qu’à rembourser les premiers empruntés dont la mise est venue à échéance et couvrir le nouveau déficit que les prélèvements obligatoires de l’exercice budgétaire des citoyens ne bâchent pas, tandis que lesdits politiques se versent salaires et avantages en nature mirobolants et exorbitants et préparent probablement à milliards leur départ à l’étranger quand le pays sera livré aux Grands remplaçants haineux : c’est le propre du fraudeur à la Ponzi, d’avoir préparé sa fuite pour qu’au moment où il sent que son mécanisme va s’effondrer il soit ailleurs hors de portée des cordes pour le prendre.
Ces nouveaux emprunts qui augmentent en boule de neige d’année en année sont portés au passif de la Maison France qui doivent être renommés selon le principe Camusien de la bonne désignation en « impôts et prélèvements obligatoires différés reposant sur la tête du tondu vouz’émoi dit le pékin-quidam » *.
* NB : vous pouvez chercher dans les lignes du budget national, aucune ne porte cette appellation, preuve ici apportée que l’on vous cache les choses.
Mais comme le précise le site qui explique la mécanique de l’escroquerie, « le système dure tant que le nombre d’investisseurs croît ».
La décroissance du nombre d’investisseurs dans les emprunts d’État, c’est ce qu’a connu brutalement la Grèce il y a dix ans.
C’est ce que va inévitablement connaitre la France dans un temps qu’il n’est pas possible de définir précisément mais qui va coïncider avec la perte de confiance compte tenu d’une situation qui ne fait qu’empirer avec la classe politique française dont quasi tous les membres sortent avec leurs conseillers du même moule à lisier.
Et ce jour-là, pour reprendre la formule finale du site supra, « chacun se rend alors compte qu’il a perdu tout le capital investi ».
C’est-à-dire que toute l’épargne, tous les prélèvements obligatoires depuis 50 ans, tout l’immobilier et les terres du pays changent de mains de la Nation ou des citoyens du Peuple Premier pour devenir propriété de créanciers pendant que les politiciens français vivront tranquilles à Dubaï avec les milliards détournés qu’ils y auront logés sur des comptes de sociétés offshore gérées par des prête-noms, tranquilles comme Job.
Car le système pyramidal mis en place par les politiciens français est une variante particulièrement alambiquée et agressive qui dépasse le mécanisme classique de Ponzi, l’escroquerie ne porte pas seulement sur les prélèvements obligatoires du pigeon autochtone juif, chrétien ou athée, mais également sur toutes les terres du Peuple Premier : par la submersion migratoire du plan du Grand remplacement et l’islamisation complète de l’hexagone, ce sont 550 000 km² de terres qui ont été ou sont en passe d’être cédées en sous-mains avec l’argent même du prélevé-obligé, le vous-z-émoi en qualité de double tondu si c’est seulement, Sainte Vierge, possible de l’être doublement. Ici tondu, et non doublement vierge.
Pour vous éclairer par l’exemple, voici une définition du montage :
Ce système est appelé pyramide, car il nécessite d’augmenter chaque année le nombre d’investisseurs pour pouvoir verser leurs intérêts aux premiers. Ainsi l’argent n’est jamais investi : le capital est dilapidé sous forme de faux intérêts. Au moindre grain de sable, la chute du système est inéluctable.
Vous reprenez la situation économico-budgétaire du pays du dernier demi-siècle supra résumée ici pour vérifier si vos prélèvements obligés ont bien été investis pour le développement profitable de la Nation : toujours moins de services rendus par les administrations en quantité et en qualité dont faillite de l’école et de l’hôpital, désindustrialisation, perte de souveraineté alimentaire-agricole, énergétique, perte complète de sécurité sur tous les points du territoire, submersion migratoire, islamisation généralisée, création d’enclaves étrangères entraînant dépeçage du pays notamment par la Oumma.
Si vous en concluez que depuis un demi-siècle une bonne partie des sommes des prélevés-obligés du Peuple Premier, qui au surplus ont été endettés à l’insu de leur plein gré pour plus du demi-siècle qui vient et dont tous les biens propres servent indirectement, avant de servir directement, de gages par les hypothèque mises dessus, ont bien dû servir à autre chose qu’à l’investissement pour le futur et le développement de leur pays, alors vous pouvez avancer qu’il y a quelque part « escroquerie ».
Et si c’est pas du Ponzi ou apparenté, je me fais moine.
Jean d’Acre