La réalisatrice Agnès Jaoui, nous a offert un beau morceau d’idéologie gauchisante avec une tirade d’anthologie, alors qu’elle répondait à un « journaliste », soucieux comme elle de défendre la nécessité d’une immigration arabo-africaine : « Et puis j’aimerais rappeler à l’ultra-droite que, s’il n’y avait pas l’immigration, nos parents n’auraient personne pour s’occuper d’eux, beaucoup de gens n’auraient plus de femme de ménage, les restaurants ne fonctionneraient plus, tout ce qui est nettoyage ne fonctionnerait plus… Enfin, bref, il y a toute une économie qui vit – mis à part le vivre ensemble, etc., l’idée de l’accueil –, il y a toute une économie qui vit grâce à l’immigration ».
Agnès Jaoui l’avoue, ces « migrants » sont cantonnés à des emplois subalternes, de service et même au service de riches Français, ceux qui ont les moyens d’avoir des employés de maison et d’aller au restaurant. Elle avoue que ces gens deviennent en quelque sorte, des esclaves, en forme de petit personnel indispensable et disponible 24/24. Dupont-Moretti avait dit un truc du même genre. Heureusement que ce n’est pas un type de droite qui a sorti cette belle tirade, il aurait catalogué d’esclavagiste et on lui aurait rappelé avec aplomb que certains deviennent ingénieurs. Mais là, c’est une égérie de la gauche, donc ça passe. Se rend-elle compte de la portée de ses propos, ce n’est même pas sûr ? La sottise s’ignore.
Les crimes perpétrés par les gens sous OQTF et les étrangers n’existent plus, seuls comptent ces petites mains dont la réalisatrice a besoin pour faire son ménage. Il est vrai que tant que ce ne sont pas ses enfants qui se font violer ou égorger, tant que ce n’est pas sa maison qui est squattée, tant que son quartier n’est pas gangrené par le deal de drogue et tant qu’on a les moyens d’embaucher des gens de maison, on peut trouver que cette immigration spécifique est enrichissante.
Une autre réalité, très officielle, témoigne pourtant de la réalité brutale de cette « migration », en forme de traite humaine. Le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a pondu un rapport qui revient sur les multiples exactions commises par les passeurs, les bandes criminelles et même par les compagnons de route des victimes féminines, qui sont quasi systématiquement violentées et violées dans de très grandes proportions, jusqu’à plus de 90 %. Ceci en plus de ce que nous savions déjà, à savoir que certains, chrétiens, mauvais payeurs, par exemple, sont purement et simplement jetés à l’eau lors des traversées. Le rapport concerne la «route centrale méditerranéenne», qui s’étend de l’Afrique de l’Est à l’Afrique de l’Ouest, jusqu’aux côtes du Maghreb. On est donc très loin du discours officiel d’une immigration en forme de richesse. Par la voix de la sottise, on apprend la réalité de ces gens sous-qualifiés et cantonnés à des emplois de service et par le canal officiel, pourtant bien pensant, on apprend que ces gens violent au passage et tuent éventuellement leurs compagnons et compagnes d’infortune. Comment espérer qu’une fois arrivés chez nous, ces gens changent de comportement ?
Il est donc bien question de traite d’esclaves et d’importation massive et organisée de populations, au mépris de la sécurité des autochtones de pays pacifiques, dont l’organisation sociale et technologique échappe totalement aux nouveaux venus. Nous en avions déjà parlé au RPF, alors que nous avions eu vent d’un commerce de bateaux gonflables à usage unique, témoignant bien d’une activité économique à part entière, avec ses fournisseurs de matériels. On ne peut pas imaginer que les fameuses ONG, aux subventions opaques, ignorent le sort des femmes migrantes violées par les leurs. Il s’agit donc bien d’une mafia pour laquelle nos largesses sociales constituent un appel d’air impensable, sans évoquer un « plan » qui serait d’introduire une forme de déstabilisation de l’Europe. Le président argentin Javier Milei a mis fin aux aides sociales gratuites pour les migrants, supprimant l’accès gratuit aux soins de santé pour les étrangers et ordonnant l’expulsion automatique des individus étrangers condamnés pour des crimes… le minimum pour préserver sa propre population. Nous exhortons la France à faire de même.
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.