Il y a comme une forme de panique, le jour même de l’investiture de Trump, les gens de pouvoir en Europe se rendant compte qu’ils commencent à être honnis de leurs nations respectives et que les voix s’élèvent un peu partout contre la guerre en Ukraine, la politique écologique en forme d’escroquerie et la dictature européenne dont l’action, tout le monde l’a bien compris, ne va pas du tout en direction du bien-être des peuples. D’ailleurs, Zélensky, malgré ses demandes, n’a pas été invité à l’investiture. La France n’échappe pas à la règle et les chutes successives de Biden, de Trudeau, les difficultés persistantes de Macron, Scholz, Starmer, mettent à mal la doxa ambiante à Paris, où l’ambiance de fin de règne est devenue palpable, bien qu’elle ait cours depuis plusieurs mois déjà, en fait, depuis la dissolution. Même Kholer, le Dark-Vador de l’Elysée serait prêt à jeter l’éponge…
Il faut continuer le macronisme à toute force, mais plus personne n’en veut et tous les clones de Macron sont grillés. Attal, qui pourtant veille à prendre ses distances, ne tient pas la corde, trop jeune et le couplet sur son homosexualité à l’assemblée, où il n’avait rien à y faire, l’a rendu ridicule. Edouard Philippe : grillé lui aussi, embringué dans sa gestion calamiteuse du Havre, devenu une plaque tournante des drogues et une ville insécure et endettée. Hollande : grillé. Sarkozy : délinquant. Plus un seul des clones identifiés, de près ou de loin, de Macron, n’est en course. Voilà donc De-Villepin, présentée par la presse subventionnée, qui teste ainsi la popularité de l’homme, son aspect altier, son cheveu bien blanc et ses bonnes manières, censés rassurer, avec un parlé plein d’emphase, façon présidentiable. Il n’aurait pas trop de casseroles et sa distance d’avec le macronisme apparaît comme évidente, sauf justement qu’elle ne l’est pas. Villepin est bien dans la fibre macroniste, woke, gauchiste bon teint tout juste voilé et malgré sa silhouette avantageuse d’homme d’état, est bien lui aussi un clone du système actuel, dont il ne faudra rien attendre en dehors de la continuation de cet Etat obèse, immigrationniste, islamophile, vaccinolâtre et otanien. Villepin en fausse bonne idée d’un changement de politique, fait figure d’homme providentiel… enfin, les médias à la peine pour trouver un successeur garantissant leur avenir, nous le présentent comme tel.
En réalité, il n’y a plus de gauche et de droite. Nous sommes coincés entre les mondialistes, dont l’unique combat se résume en une hypothétique imposition d’une forme de dictature 2.0, avec pour seuls arguments, le taux de carbone et le climat de la planète dans 50 ans : grotesque. On n’est même pas sûr que le RN incarne une vraie rupture, tant il s’applique à brouiller les pistes en soutenant Zélenski et en adhérant mollement aux narratifs climat, vaccins, ZFE… Et les forces de gauche, dont le seul combat dorénavant identifié, est la promotion de l’islam. Restent les souverainistes mous, surtout désunis, dont la méthode est de jouer individuellement les cavaliers blancs sur leurs chaînes Youtube sans être capables de faire converger leurs discours, leurs pensées, leurs aspirations et surtout incapables de se trouver une figure de proue, une nouvelle, parce que tous autant qu’ils sont, les Asselineau, Philippot, Dupont-Aignan… ils sont tous grillés et s’ils avaient dû percer, ce serait déjà fait. Entre les mondialistes hors-sol et les ultra-gauchistes idiots utiles de l’islam radical, il y aurait un vrai boulevard, qui correspond à peu près en Europe, au créneau de Trump aux Etats-Unis, ou à celui de Javier Milei en Argentine. Comme quoi c’est possible…
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