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Anna Paulina Luna, une guerrière de plus dans les rangs de Trump

Donald a toujours eu la main heureuse pour dénicher des personnalités atypiques qui ridiculisent ses détracteurs quand ceux-ci le qualifient de raciste, de xénophobe et de misogyne. Après avoir désigné à la tête du FBI un Américain d’origine indienne Kash Patel, il a nommé une Américano-mexicaine patronne du « groupe de déclassification des secrets fédéraux ». Une innovation destinée à restaurer la confiance des citoyens dans la probité et la transparence des administrations.

Un programme chargé

Travaillant sous le contrôle de la Chambre des représentants, Anna Paulina elle même députée de Floride, a annoncé son programme lors d’une conférence de presse, le 11 février. « Nous avons passé des années à chercher des informations sur les assassinats du président Kennedy, du sénateur Kennedy, du révérend King et d’autres secrets gouvernementaux sans succès », a-t-elle déclaré à Fox News .

Le champ d’investigations ouvert est vaste, puisque Anna Paulina Luna a aussi pour mission de réexaminer l’affaire Jeffrey Epstein, les dossiers annexes relatifs au 11 septembre 2001, ceux traitant des origines et de la gestion du Covid-19, et le black out sur les ovnis. « Nous travaillerons aux côtés du président Trump et des membres de son cabinet pour faire connaître la vérité au peuple américain. Nous rétablirons la confiance grâce à la transparence ».

Vétérane des aérodromes de l’US Air Force à la base aérienne de Whiteman Missouri, entre 2009 et 2014, membre de la Garde côtière et titulaire de la médaille d’honneur de l’armée de l’air, elle a affirmé en janvier 2024 que les ovnis ne sont pas une création humaine. Désormais à la tête du bureau chargé d’étudier les dossiers classés par les services fédéraux, elle entend lever le voile sur les mystères qui entourent les phénomènes aérospatiaux non identifiés.

« Le principal problème que nous avons rencontré avec les UFO est l’obstruction excessive, le cloisonnement de l’information, et des manipulations du public américain pour qu’il doute de ce qu’il a vu », a-t-elle affirmé lors de sa conférence de presse.

Mais pour le moment, les ET n’ont pas trop de soucis à se faire puisque la brune pimpante s’est déjà attaquée à un sujet plus sérieux. « La première audience de mon groupe de travail se concentrera sur l’assassinat de JFK », a-t-elle déclaré. « J’ai l’intention d’inviter plusieurs personnalités, y compris des membres de l’Assassination Records Review Board ».

Cette agence rattachée aux Archives Nationales est libre de réexaminer les dossiers des crimes de sang que les agences fédérales considéraient comme « trop sensibles » pour être rendus publics. Ainsi sous Biden évitait-on de traumatiser les gentils djihadistes en dénonçant ouvertement leurs méfaits.

Comme Anna n’a pas sa langue dans sa poche, elle accuse des membres du deep state de lui mettre des bâtons dans les roues, et les menace d’enquêtes fédérales s’ils s’obstinent dans l’obstruction et l’omerta. Elle bénéficie de l’appui sans réserve de Trump pour faire le ménage.

Une brune qui ne compte pas pour des prunes

Sa mission présente des risques car elle va s’attaquer à des intérêts capitalisés sur des secrets enfouis, mais elle ne manque pas de courage. Déjà, au moment où une partie de l’establishment républicain prenait ses distances avec Trump « pestiféré médiatique », elle a toujours soutenu que le Président avait remporté l’élection de 2020 et avait été écarté du pouvoir par une monumentale fraude électorale.

À l’époque, elle faisait campagne en Floride contre le candidat démocrate Charlie CristUne élection finalement perdue. Où l’on doit noter que ses soutiens Républicains avaient été bien timorés. En Amérique aussi, les médias de l’État profond savent diaboliser les hérétiques et terroriser les pleutres.

Dans les médias, elle affiche un soutien indéfectible à Donald Trump. En 2022 il fallait du cran à une débutante, quand elle se représente à la 13ᵉ circonscription de Floride au Congrès. Avec toute la clique des progressistes qui la harcèle et la calomnie. Cette campagne électorale va être particulièrement violente pour la jeune femme, qui reçoit des menaces à mort de la part de ses adversaires politiques, dont un certain William Braddock. Un Républicain anti-Trump qui a fui aux Philippines pour ne pas avoir à rendre compte de ses crimes.

Cet énergumène a été enregistré alors qu’il la menaçait de lui « envoyer un commando d’Ukrainiens pour la faire disparaître. » Dans un contexte tendu de rixes, d’intimidations, d’incendies et de bagarres, elle ne se laisse pas impressionner, et remporte le siège au Congrès en 2022, devenant la première Mexico-Américaine élue en Floride. On comprend qu’une personne aussi coriace ait été appréciée par le Président.

À peine nommée, les médias du Nouvel Ordre Mondial, recherchent tout ce qui pourrait l’embarrasser. Et par ricochet, nuire à Trump, leur cible principale.

Ainsi les cure-merde de l’État profond US ont déniché (avec quelles complicités chez les Boches ?) que le grand-père paternel d’Anna, Heinrich Mayerhoffer, avait été soldat dans la Wehrmacht. Simple troufion. Pas officier. Et encore moins SS. Or elle affirme que son papy était juif non pratiquant. Hurlements de fureur chez les désinformateurs professionnels du Deep State. « C’est impossible ! »

Si ces microcéphales avaient lu Virgil Georghiu (1916-1992) « la vingt cinquième heure » ou « la seconde chance », ils sauraient que le cas de Mayerhoffer n’avait rien d’exceptionnel. Les romans de l’écrivain roumain, fortement inspirés par des faits réels, évoquent ce genre de personnage. Aryen un jour, Juif le lendemain, nazi puis communiste, maton puis taulard, au gré des avances et des reculs des armées, des ruses des survivants et des inepties des commissaires politiques.

Georghiu prêtre orthodoxe avait quitté la Roumanie fasciste d’Antonescu pour occuper un poste d’attaché culturel en Serbie. Prisonnier des « libérateurs » communistes en 1944, il s’échappe pour demander asile aux « libérateurs » américains qui l’enferment à leur tour. Lors de ses incarcérations, il rencontre des personnages ballottés comme lui dans la confusion générale. Auxquels des fonctionnaires obtus veulent absolument coller une étiquette.

Anna Paulina est un archétype de la femme moderne, active, indépendante, qui déplaît aux féministes gauchistes pleurnicheuses. Car elle ne bêle pas avec le troupeau des brebis galeuses.

Elle est née le 6 mai 1989 à Santa Ana en Californie dans une famille d’origine mexicaine. Les cure-merdes de l’État profond vont y chercher des scandales et des mystères. Après le « Juif Boche nazi », son grand père maternel, Chicano celui-là, aurait été un toxico et un repris de justice. C’est curieux comme les progressistes nous serinent qu’on n’est responsable que de ses propres actes, pour absoudre l’oumma des pires complicités… Mais accusent de culpabilité collective leurs ennemis.

Adolescente, elle était plutôt progressiste et aurait soutenu Hussein Mabrouk Obwana. Et après ? Il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis. Elle s’est rattrapée en 2018 en comparant Hillary Clinton à un herpès ou un chancre. Ce qui lui valut d’être ostracisée sur Fox News.

Mais ce n’est pas tout. Comme beaucoup d’étudiants issus de milieux défavorisés, elle a financé ses études en étant serveuse de bar, mannequin et occasionnellement strip-teaseuse. Les crapules qui ont nié les promotions canapé de Kamalette, n’hésitent pas à accuser Anna de prostitution.

Acharnés à lui nuire, ses détracteurs surfent sur des ragots prétendant que sa famille avait du pognon. Grâce à quels trafics ? Pas de réponse. L’important est de semer le doute sur sa moralité et ses revenus. Les « progressistes » n’ont toujours pas digéré la raclée de l’an dernier, la mise au placard de leur bécasse, le renvoi des traîtres, et ils vont dégurgiter leur vomissures acides jusqu’en 2028, 2032, 2036 et au delà…

Aujourd’hui Anna Paulina est mariée à un officier des forces spéciales (une femme pareille ne saurait s’accommoder d’un avorton !) et elle a un fils d’un an et demi. Bref, c’est une femme normale.

Pour l’anecdote, elle a été cover girl en bikini pour des magazines masculins en 2013 et 2014. Des revues qu’elle a retrouvé en 2024, pour en faire la couverture, cette fois en tant que congress woman sexy. C’est aussi ça l’Amérique. Imagine-t-on en France la Borne dans sa jeunesse, en bunny et porte-jarretelles, illustrer Lui ou Play boy ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/anna-paulina-luna-une-guerriere-de-plus-dans-les-rangs-de-trump.html

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