Une phrase ironique de Donald résume en forme de clin d’œil le voyage de Manu en Amérique : « Comment va votre magnifique femme ? Vous auriez dû l’amener.» (Pour que Brichel rencontre Candace Owens dans les couloirs de la Maison Blanche ? )
Les courtisans du despote de l’Élysée y ont vu une preuve de sollicitude et d’amitié de Trump. Tandis que nos mainstream serviles claironnaient qu’une entente parfaite régnait entre les deux présidents.
La réalité des images dément ces commentaires complaisants. Les postures, les mimiques, tout le langage corporel de Fripounette prouvent qu’il balisait, a été dominé et humilié. Validant le personnage que d’anciens camarades de classe décrivent comme un pétochard tremblant devant les grands, jusqu’à ce que Jean-Mi devienne son protecteur.
https://www.youtube.com/watch?v=zkrGHAnYEyI
Le bide prévisible de Macronescu n’a pas empêché les forces du mal d’aller tenir conseil à Kiev. Pour consolider l’image de leur « grand président » d’un mètre cinquante, aussi légitime que Pustula et sa grosse commission, afin de lui refiler 3,5 milliards d’euros supplémentaires pour continuer la guerre. Alors qu’il venait juste d’avouer à Trump qu‘il ne savait pas où était passée plus de la moitié des fonds alloués par ses sponsors.
L’Eurocrature souhaite un conflit de longue durée avec la Russie, et s’obstine à essayer de prolonger les hostilités
Les crapules eurotocrates ont tout misé sur la défaite de la Russie. Ils ont confisqué aux Russes leurs entreprises, leurs avoirs, leurs immeubles, leurs avions, leurs navires et ne veulent pas les rendre. Fripounette, comme les Boches et les Rosbifs, clame que la Russie devra finalement être vaincue. Mais il paradait moins devant Trump qui lui a fait signer tout ce qu’il voulait.
Cependant, comme tous les sournois de son espèce, il se croit très rusé et compte avoir Poutine à l’usure. En se disant que le tsar n’est pas éternel. Sans imaginer un instant que ses successeurs seraient peut-être moins accommodants que lui.
La duplicité des bellicistes s’englue dans le brouillard et les mensonges. Ils ne sont pas en guerre mais arment et financent un belligérant. Ils utilisent le rouleau compresseur de leur propagande pour faire croire que Poutine a rompu les accords de Minsk. Alors que ce fut exactement l’inverse. Hollandouille et la madjouba Merkel ont publiquement reconnu qu’ils avaient utilisé ce sursis pour réarmer l’Ukraine.
Et maintenant, le dictateur français s’arc-boute sur une « trêve » pour les mêmes raisons : Laisser au nabot de Kiev le temps de souffler un peu, et de reconstituer ses forces, en recrutant de la chair à canon jusques chez les éclopés, les malades, les infirmes, les lycéens, les retraités et les bagnards.
Bien évidemment, notre ami Vladimir ne veut pas d’une suspension provisoire des hostilités. Ce sera la paix ou rien. Une vraie paix avec des frontières reconnues, tenant compte des résultats militaires. Garanties éventuellement par une force d’interposition. Mais ni mandatée par l’OTAN ni choisie parmi les forces hostiles à la Russie qui ont armé Kiev.
Et pendant ce temps, le nabot de Kiev se cramponne au pouvoir, et allègue de fallacieux prétextes pour s’incruster
Puisque l’état de belligérance l’empêcherait de tenir des élections, l’histrion autocrate fait tout ce qu’il peut, avec la complicité de l’Eurocrature, pour perpétuer une situation de « ni paix – ni guerre », comme entre les deux Corées, ou entre l’Inde et le Pakistan.
Les stratèges parlent de micro-conflit de très basse intensité. De temps en temps, on se défoule en tirant un missile ou quelques obus sur ceux d’en face, mais cette guerre des nerfs permet de maintenir un homme ou un parti, indéfiniment au pouvoir. Kim jong-Un et le grand mufti d’Islamabad sont des exemples inspirants…
Son offre de démission (de quoi ? Puisqu’il n’est plus élu de rien du tout !) est cousue de fil blanc, vu qu’il la conditionne à l’incorporation immédiate de l’Ukraine dans les rangs de l’OTAN, dont les Américains ne veulent pas, et les Russes encore moins.
En outre, son intention affirmée, quoi qu’il advienne, même si la paix était signée, de faire juger Poutine et les généraux russes par une cour internationale à sa botte, est une supercherie de même nature. Évidemment inacceptable. Il sait très bien que l’ours n’attendra pas dans sa tanière qu’on vienne le flinguer, pour en faire des steaks tartares.
Pour aider le Zygomyr à rester au pouvoir, les eurotocrates jettent de l’huile sur le feu. La seule paix qui les intéresse, est celle des cimetières.
L’imposteur Macron, le traître Karmer et l’usurpatrice Pustula prétendent se préoccuper de la sécurité européenne. Reprenant à leur compte les élucubrations du lilliputien néonazi qui a fait du criminel Bandera un héros de l’Ukraine. Et affirme, tandis que des négociations sérieuses ont commencé entre les États-Unis et la Russie, que le Kremlin s’apprêterait à envahir l’Europe.
Les mêmes qui se gaussaient de la lente avancée des Russes, parce que Poutine est un homme raisonnable qui n’a pas voulu entrer dans une logique d’escalade pouvant conduire le monde à la catastrophe, lui attribuent à présent l’ambition et la volonté de s’emparer de tout le continent. Alors que son invasion et sa conquête sont déjà commencées. À la discrétion des djihadistes qui fixent l’ordre et la nature des affrontements, ainsi que le calendrier de soumission des Koufars.
Mais aveugles et sourds aux intentions de nos ennemis héréditaires, et surtout obnubilés par les juteux contrats d’armement et les détournements de fonds sur les cadeaux au Zygomyr, plus rentables que les crapuleries covidesques, les Eurotocrates se vautrent entre cynisme et affabulations, déshonneur et trahisons.
Ainsi, après les insignifiants Danois et Suédois qui voudraient envoyer des troupes sur le terrain, la ministresse finlandaise des Affaires étrangères, a demandé à Trump de ne pas compter sur une réconciliation rapide avec les Russes. On veut d’abord les plumer jusqu’à l’os !
Cette machination préméditée par Fripounette le génie des carpettes, est entérinée par les Boches, les Rosbifs, les Ritals, les Polacks, les Espingouins, les Vikings et les Bataves. Ça ferait peur si on n’avait pas une idée claire du délabrement de leurs économies et des faiblesses structurelles de leurs armées.
Trump qui a vaincu l’État profond aux USA, méprise les caprices des sous-doués européistes
Il a reçu Fripounette avec une condescendance amusée, jouant avec l’ego du paltoquet comme un chat s’amuse avec une souris avant de la croquer. Et l’autre, une fois échappé de la Maison Blanche, a fait son numéro de cabotin. Bouffi dans son arrogance, gonflant les joues et bombant le torse, il clame urbi et orbi qu’il a remporté le match à l’extérieur.
Il n’y a que cet homuncule et ses suiveurs pour refuser de voir que Donald a exprimé, bien avant d’être réélu, son intention de négocier avec Poutine, à des conditions raisonnables, acceptables par les deux Grands. Parce que plus la guerre dure, moins c’est bon pour les affaires.
Pour Jean-Noel Barrot, fils et petit fils de ministres, dont on se demande si son regard halluciné tient à une crétinerie congénitale ou à des substances illicites, « la Russie est une menace existentielle non seulement pour l’Ukraine et l’Europe entière, mais aussi pour l’ensemble de l’alliance transatlantique».
Dick Schoof, l’usurpateur qui a volé sa victoire électorale à Geert Wilders, qualifie les négociations Trump-Poutine de cadeaux pour la Russie. Et il appuie la position irresponsable du Macron qui détalerait au premier coup de feu : « La Russie ne doit pas sortir victorieuse de cette guerre.» Trop tard, mon lascar pour ton zigomar.
Et pendant que les minables s’agitent pour se donner de l’importance, les vrais hommes, à Moscou et à Washington, discutent sérieusement. Les cris des fourmis n’empêchent pas les ours et les éléphants d’aller où ils veulent. Proverbe chinois apocryphe.
Christian Navis