On a présenté ici Marjorie Taylor Green, députée de Géorgie, la terreur des Démotricheurs, et Anna Paulina Luna la flingueuse des menteurs, députée de Floride. Loin des féministes pleurnichardes, ces femmes dynamiques, belles et intelligentes, ont su s’imposer en politique, sans en appeler à des quotas de genre. La journée des Femmes pourrait leur être dédiée. Avec Valentina.
Moins connue pour le moment, elle n’a que 26 ans, Valentina Gómez Noriega mérite de figurer au palmarès des guerrières de Trump.
Née à Medellin en Colombie en mai 1999, arrivée avec ses parents dans le New Jersey à l’âge de 10 ans, Valentina est la preuve vivante que l’intégration et l’ascenseur social fonctionnent toujours en Amérique. Où l’on peut réussir sa vie tout en restant dans la légalité.
Titulaire d’un MBA en gestion, cette chef d’entreprise a réussi à se faire un nom et une petite pelote de 5 millions USD dans l’immobilier avant ses 25 ans. Puis décidant alors de se consacrer à la politique.
Candidate malheureuse dans le Missouri l’an dernier, elle a déménagé au Texas en prévision des élections de 2026 au Congrès. Le temps de s’y faire connaître. Avec deux atouts de première force : le concours local du représentant (député) républicain Dan Crenshaw, un authentique baroudeur, ancien officier des Navy Seals, et l’appui de Donald Trump qui ne tarit pas d’éloges sur Valentina.
Le politiquement correct et les injonctions comminatoires des médias qui paralysent tant de politiciens n’ont aucune prise sur elle. D’autant que ces gauchistes abrutis (pléonasme) ignorant son parcours, ont voulu lui accoler l’étiquette infamante de « haineuse contre les étrangers ».
Comme tous les Républicains qui soutiennent Trump depuis les élections volées de 2020, elle ne tient pas sa langue dans sa poche, et s’exprime dans des « happenings » corrosifs.
Elle a réinventé les mises en scène plus ou moins improvisées des scénettes de rues, naguère apanage des gauchistes et des écologistes, pour en faire des tribunes en forme de mini-spectacles édifiants.
Profiter de la liberté d’expression restaurée par Elon Musk ne lui suffisait pas. Elle a organisé des exécutions extra-judiciaires symboliques de criminels avérés, incendié des dizaines de livres et de vidéos faisant l’apologie de la pédophilie et du changement de sexe chez les enfants, et remis vertement à leur place des journaleux progressistes donneurs de leçons, dans des émissions de télé où le public l’applaudissait chaleureusement.
« Ces bouquins proviennent d’une bibliothèque publique. Quand je serai en fonction, je les brûlerai tous ! » a-t-elle promis à ses futurs électeurs. Engrangeant des voix chez les conservateurs conquis par la fougue de cette belle Latina.
Forte de la médiatisation engrangée par ses polémiques, elle est devenue en un temps record une des femmes les plus craintes des Démocrates, et les plus appréciées des Républicains. Une nouvelle figure rafraîchissante dans la politique américaine, à qui on peut prédire un bel avenir.
Bien évidemment, comme tous ceux qui piétinent les diktats de la bien-pensance, elle a été cenSSurée sur des réseaux asociaux. Une grosse erreur de gens qui l’ont mésestimée.
Prenant modèle sur Trump qui a commencé à régler leur compte aux traîtres, aux wokes et aux pourris dès son retour à la Maison Blanche, elle a promis de se venger de ceux qui ont voulu la bâillonner, dès qu’elle sera en mesure de le faire. Gageons qu’elle tiendra parole.
En Amérique, le Premier amendement permet des libertés supprimées en France depuis belle lurette. Nul n’est obligé de s’extasier de l’esprit génial et du talent fabuleux des gays dans tous les domaines, sous peine d’être taxé d’homophobie, et horresco referens, on a le droit de dire qu’on n’est pas d’accord avec le prosélytisme des plus militants.
Qu’entre adultes consentants ils vivent comme ils l’entendent, ça ne gêne personne. Mais que certains recrutent des jeunes enfants, jusque dans les écoles primaires, pour les convertir à leurs pratiques, c’est très mal vu. En France on tolère cela et en plus, des politiciens dépravés l’encouragent. Aux USA, on en a une perception très différente.
En avril dernier, elle a publié sur Instagram, filiale de META aka Facebook, une séquence où, armée d’un lance-flammes, elle a brûlé des livres et des vidéos banalisant la sexualité enfantine avec des adultes, et faisant l’apologie des « trannies ». Avec, posé au premier plan sur une table dans son jardin, le best seller progressiste : « Queer : The Ultimate LGBTQ Guide for Teens » une somme de conseils pratiques destinés aux adolescents queers, en français ceux qui ont une identité de genre hésitante, différente de celle que la nature leur a attribué.
Cet autodafé lui a valu un bannissement des RS. Dont on peut s’attendre à ce que les valeureux cenSSeurs reviennent implorer son pardon à quatre pattes, comme le matamore Zuckerberg quand il a compris qu’il valait mieux ramper devant Donald plutôt que de continuer à l’asticoter.
Interrogée par des médias de gauche sur l’influence négative que pourraient avoir éventuellement ses actions sur ses résultats électoraux, elle a répondu : « Je ne regrette rien et je maintiens mes propos. Les enfants devraient apprendre les mathématiques, les sciences, la littérature et l’histoire de leur pays. Pas apprendre à se faire couper des parties du corps pour changer de sexe. »
Un cran au-dessus : la simulation de l’exécution d’un migrant criminel
En décembre dernier, sur son compte X, Valentina grande admiratrice du président du Salvador Nayib Bukélé, s’est mise en scène, fusil à répétition à la main, devant un mannequin ficelé sur une chaise. Cet épouvantail figurait « un migrant ayant commis un crime très grave ». Au bout de quelques secondes, elle a explosé la tête du mannequin.
« Les personnes sans papiers qui commettent des crimes violents méritent d’être éliminées » précise-t-elle. L’effet de choc a bousculé et rebattu les cartes aux USA, où des Démocrates lassés de la criminalité des gangs ethniques l’approuvent. Tandis que des Républicains tendance bobo s’émeuvent de tant de violence. La sienne. Pas celle des voyous.
La vidéo a atterri sur le bureau de Gustavo Petro Urrego, le Président colombien. Pas content, l’ancien guérillero castriste a protesté par la voie diplomatique. Sans trop insister. Donald venait d’être triomphalement réélu et, en Colombie, peut-être mieux qu’ailleurs, on sait jauger les rapports de force.
Un cartel de narcotrafiquants de sa ville natale menace Valentina de lui faire la peau. Elle répond crânement : « Je ne crains que Dieu. Pas les terroristes, les meurtriers et les violeurs comme Gustavo Petro ». Ce sera comme dans les westerns. Avec la puissance de feu dont elle dispose, le vainqueur sera celui qui tire vite et juste en premier.
Pour se venger, les ordures de l’État profond ont exercé des représailles sur sa famille et son entourage.
Son ancienne maison a été nuitamment incendiée. Heureusement que ces salopards ignoraient qu’elle avait déménagé. Ils avaient bloqué les portes et les fenêtres pour la faire griller vive. À présent, elle a un permis de port d’armes, dispose d’un garde du corps, et peut compter sur la sollicitude de la police sur ordre du Président.
Par ailleurs, le maire démocrate de Jersey City, Steven Fulop, s’est vengé sur son frère Jonathan Gómez, en le licenciant de son emploi à la mairie, après que de bonnes âmes ont révélé qu’il avait fait un don pour la campagne électorale de sa sœur. Avec cette explication glaireuse, bien dans le ton des pourris de chez Biden, Deep state and Co : « Son frère ne travaille plus ici parce qu’il ne reflète pas les valeurs de ma ville. »
Ces avanies, loin de la dompter, l’ont rendue encore plus virulente. Mais tout ce qui concerne sa famille (adresses, travail) a été retiré des infos publiques. Et on comprend qu’elle soit très discrète sur sa vie privée. Elle ne voudrait pas que son boyfriend serve de cible à sa place.
Christian Navis