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La gauche œuvre en réalité pour la soumission des femmes

Le 8 mars vient de passer et il ressemblait à tous les autres depuis l’invasion néo-féministe.

Le 8 mars, c’est la date anniversaire de la première bataille de cuirassés au monde – lors du combat naval d’Hampton Roads en mars 1862, durant la guerre de Sécession –, est surtout, en France, la célébration de la supercherie la plus couramment admise et, cependant, la plus flagrante : la Journée internationale des droits des femmes. Une journée sous haute surveillance gauchiste et dont sont exclues celles qui n’entrent pas dans les canons idéologiques admissibles, tel l’authentique mouvement féministe Némésis menacé le 8 mars dernier par… des hommes prétendant défendre les femmes !

Ainsi, sur ordre de la gauche progressiste, pendant qu’on brandit la nouvelle icône Gisèle Pélicot, on met sous le tapis les massacres de femmes blanches parce que blanches. Idem, au nom d’un antiracisme paradoxalement raciste – voir les réunions interdites aux Blancs et ce, en toute impunité –, on défend le « droit » des femmes à être soumises aux hommes à travers le voile et plus généralement la loi islamique. Pire, enfin, occupé que l’on est à chasser le patriarcat blanc, on ignore éhontément un fléau relavant de la torture pure et simple : l’excision.

Face à l’ampleur de cette « tradition » sordide qui est nettement plus répandue en France qu’on ne le dit, un « Plan francilien de lutte contre les mutilations sexuelles féminines » vient d’être lancé, avec une efficacité dont peut légitimement douter par avance, étant donné que chez nous, cette pratique abjecte provient essentiellement d’individus originaires d’Afrique. La combattre trop ouvertement confinerait au racisme dans l’esprit détraqué des gauchistes.  Au passage, ce plan concerne la Région parisienne et pas le Limousin ou l’Auvergne, deux régions où l’invasion migratoire africaine n’est pas –  encore – aussi avancée qu’en Île-de-France, ce qui est un aveu.

https://www.cnews.fr/sante/2025-02-06/excision-le-plan-francilien-de-lutte-contre-les-mutilations-sexuelles-feminines

Mais la gauche, dont l’hypocrisie confine au génie et dévorée un peu plus chaque jour par l’ogre woke qu’elle a elle-même enfanté, n’en est pas à un paradoxe près concernant les femmes, elle qui jadis lutta avec acharnement contre le vote de celles-ci, prétextant qu’elles voteraient comme le curé leur dirait de voter !

En effet, la gauche n’aime pas les femmes, ou alors comme des inférieures, voire des objets sexuels. « Quelques » scandales de ces dernières années ont d’ailleurs beaucoup concerné des hommes de gauche : Dominique Strauss-Kahn – et pas seulement au Sofitel de New York, qui ressemblait pour le coup à un piège – ; Denis Baupin, figure majeure écologiste et agresseur de Sandrine Rousseau, entre autres ; Gilbert Cuzou, ancien conseiller régional du PS, etc. Tous les partis et mouvement de gauche sont ainsi touchés par cette prédation sexuelle qui, autrefois, était maquillée en libertés – dont celle d’être pédophiles ! –  par cette même gauche qui n’a pas de mots assez durs concernant les agressions sexuelles au sein de l’Église catholique et un peu moins dans les autres religions, particulièrement l’islam…

Voici à ce propos un inventaire à la Prévert des agressions sexuelles infligées aux femmes dans le marais pestilentiel gauchiste :

https://www.observatoire-violences.fr/articles/la-face-sombre-de-la-gauche-viols-agressions-sexuelles-et-omerta

Aussi, la sincérité de façade de la gauche pour la défense des droits des femmes – ignorant celui de vivre en toute sécurité et ne pas être la proie de violeurs, souvent allogènes dans certains endroits de France –, ne tient pas à l’examen des faits, et le traitement des agressions faites aux femmes, selon qu’on est de gauche ou pas, est de ce point de vue édifiant. On se souviendra par exemple du silence atroce autour du viol et de la torture d’une fillette handicapée par un militant LFI. Fillette dont il avait la charge en sa qualité d’assistant familial. Créateur d’une association LBGTQIA +, son nom, Pierre-Alain Cottineau, est cependant nettement moins connu que celui de Dominique Pelicot, et pourtant, en plus du reste, il faisait partie d’un réseau pédocriminel.

Tout ceci démontre que, contrairement à ce qu’elle prétend, la gauche française n’aime pas les femmes, et ce ne sont pas quelques furies, hystérisées par le wokisme et applaudissant au massacre de femmes juives le 7 octobre 2023, qui feront mentir cette réalité. Cette agitprop n’est vraiment pas propre, qui se fait encore appeler « déconstruction » pour faire joli mais n’est en réalité qu’une méthode d’éradication de la féminité. Raison pour laquelle tant le transgenrisme que l’islam conviennent parfaitement à ces néo-féministes puisque le premier nie la nature biologique de la femme et l’autre la fait disparaître sous une couche de vêtements informes.

Parce que la gauche est une pensée déréglée, apatride et sans amour de rien, elle ne peut s’épanouir que dans la destruction de ce qui lui préexiste. Aussi, elle ne peut que haïr plus ou moins secrètement les femmes, surtout les Occidentales, qui portent en elles l’inspiration de notre civilisation, il suffit de voir notre Art pour s’en rendre compte. Et en voyant les femmes gauchistes de nos jours, on réalise à quel point elles se sont dépouillées de tout ce qui faisait leur singularité, au mépris de cette remarquable phrase de Chateaubriand : « La femme a naturellement l’instinct de mystère. » Et Nietzsche de nous avertir : « Ne dépouillez pas la femme de son mystère. » Hélas, dépouiller pour ne laisser que ruines, c’est le propre de la gauche…

 CYRANO

https://ripostelaique.com/la-gauche-oeuvre-en-realite-pour-la-soumission-des-femmes.html

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