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Les dessous du voile dans le sport…

Voilà ces femmes, les sourcils en accent circonflexe, expliquer qu’on les brime, qu’elles ne peuvent pas porter leur voile religieux pendant les épreuves en compétition et les entraînements et qu’ainsi elles sont discriminées, le tout selon un processus toujours identique qui consiste à hurler à la mort, chaque fois que les sociétés occidentales ne plient pas sans broncher devant leur religion, exogène rappelons-le. On a envie de leur dire, comme toujours, que ce soit à l’université, dans le sport ou lors d’un entretien d’embauche : « Puisque ce voile pose problème, vous n’avez qu’à l’enlever ». Non, ce serait trop simple, elles se discriminent elles mêmes et accusent les autres de les discriminer. Il n’est pas rare en Europe, qu’il y ait un « dress-code » en entreprise, on n’occupe pas n’importe quel poste dans n’importe quelle tenue et cela ne choque personne, s’applique à tout le monde, sauf à elles.

Il faudrait accepter cela au nom de la laïcité, selon une interprétation partisane qui consiste à utiliser cette laïcité, pour « en même temps » justifier de la disparition des signes chrétiens et permettre l’apparition des signes musulmans. Allons donc. L’interprétation de la laïcité est pourtant claire, personne n’est censé imposer sa religion aux autres. Et c’est bien de cela qu’il s’agit pour ces militantes dures qui jouent les pauvres misères brimées, selon un processus tellement connu qu’il porte un nom : la takkya. Cela peut consister entre autres, à se victimiser pour mieux faire avancer les signes ostensibles de sa religion et c’est précisément le chemin qui est pris avec cette revendication dans le sport. Il est le même qu’avec l’accompagnement des sorties scolaires par les mères voilées, que l’on doit, rappelons-le à Najat Vallaud-Belkacem. On se fait accepter parmi les accompagnatrices et une fois dans la place, par la pression, on fait fuir les non voilées et les accompagnements de sorties se terminent obligatoirement avec des femmes voilées.

Mais les sorties scolaires ne sont pas très médiatiques et peu lisibles par l’ensemble de la population. Le sport, c’est autre chose. Cela promet les caméras du monde entier, des polémiques et des jeux de pression internationaux, des procès en racisme ou islamophobie à retentissement planétaire… le pied dans la porte. La suite, on la connaît. Et on la connaît d’autant mieux qu’elle est déjà en place, au Qatar par exemple, où les joueuses d’échecs sont obligées de se voiler, musulmanes ou pas, par « respect » de la religion locale. Cette notion de « respect » ne s’entendant que pour l’islam évidemment, parce que quand elles viennent en France, les journalistes qataris, voilées, ne se dévoilent pas à leur arrivée en France, par « respect » de la religion locale.

Les sportives vont donc arriver voilées aux entraînements et en compétition, parce que l’État français se couche en permanence devant les plus durs adeptes de cette religion. Puis, pour faire partie d’une équipe où quelques femmes seront voilées, il va falloir se voiler, par « respect ». Et toute l’équipe sera voilée. Et on passera à la seconde étape : par « respect » pour cette équipe voilée, il faudra se voiler quand on jouera contre elle. Ou alors, elles feront entendre que le voile créée une distorsion de concurrence et que pour rétablir l’égalité des chances, il faut que les autres femmes se voilent aussi. Et quand les compétitions auront lieu dans des pays musulmans, par « respect », et puisque certaines le sont, il faudra que tout le monde le soit. Enfin, dernière étape, puisque tout le monde est voilé quand la compétition a lieu dans un pays musulman, le mieux est que tout le monde soit voilé tout le temps. Et si ça ne plie pas, on fera des procès retentissants auprès des instances internationales et on hurlera à l’islamophobie.

Et pour enfoncer le clou, on met en avant des reportages tournés en banlieue, avec des témoignages qui expliquent que certaines viennent déjà voilées et que « ça ne pose pas de problème ». Non, c’est juste que celui qui oserait déposer une réclamation contre le voile dans ces contrées déjà conquises sera menacé, intimidé et tué… s’il insiste. Et donc, par le poids de la menace et de la violence, personne ne disant rien pour rester en vie, tout se passe sans récrimination… en apparence. Ce sera le processus habituel et il faudrait être extrêmement naïf pour croire que cela pourrait se passer autrement. Et notre Teddy Riner national, qui eut expliqué qu’il n’avait pas souffert du racisme en France, bien évidemment puisqu’il a été entraîné et sélectionné au plus haut niveau malgré sa couleur, de prendre inexplicablement parti pour le voile et contre le pays qui l’a porté là où il est. Si ce n’est pas de la traîtrise, ça y ressemble. « Ferme là, tu ne sais pas de quoi tu parles », lui a répondu sèchement le boxeur, avec raison. Et notre pays de trouver normal ici, ce qu’il combat dans les pays musulman comme l’Iran. Mais l’Iran Chiite déplaît au Qatar Sunnite qui en prime détient une part de la dette française et est client du Rafale, ceci expliquant cela… les intérêts financiers étant bien entendu plus importants que le sacrifice des sportives qui, à terme, devront toutes se voiler si tout le monde baisse sa culotte.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/03/27/les-dessous-du-voile-dans-le-sport/

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