
La Cour des comptes s’inquiète de l’impact du système des retraites sur l’économie, à la demande du gouvernement Bayrou. L’enquête de la cour des comptes prévoit un déficit de 6,6 milliards d’euros en 2025, puis une stabilisation jusqu’en 2030 environ, puis une dégradation de 15 milliards à horizon 2035 et 30 milliards en 2045. On se demande si l’étude tient compte de la nouvelle hausse de la mortalité constatée depuis peu, non seulement des retraités, mais aussi chez les plus jeunes, avec une explosion des cancers et des crises cardiaques. Le président de la Cour, Pierre Moscovici, s’intéresse à l’effet du système des retraites sur « les dynamiques d’emploi et de compétitivité ». Sans rire. Le Medef essaie d’obtenir qu’il n’y ait aucune hausse de cotisations et les organisations syndicales, qu’il n’y ait pas de recul de l’âge de la retraite. Le tout en dénonçant le « poids financier considérable » de la juste rémunération de gens qui ont cotisé toute leur vie. 337,6 milliards d’euros de pensions, soit 40,5 % des prestations sociales et 13,5 % du PIB, tout compris. 13,5 %, est-ce vraiment inquiétant : non.
Donc 60 % de prestations sociales qui ne sont pas des retraites et cela par contre, n’inquiète pas Moscovici qui préfère cibler les travailleurs du cru. Les prestations sociales versées aux étrangers, le coût de leur délinquance dans les quartiers sensibles, la fraude aux allocations, la fraude fiscale, le gaspillage d’environ 80 milliards dans des agences d’État, comités Théodule qui ne servent presque à rien, hormis recaser des copains, l’argent versé à des pays étrangers et quelques autres babioles se montent à 300 à 400 milliards par an, soit au moins autant que les retraites à des gens honnêtes et cela, non seulement n’a pas l’air d’inquiéter grand monde, mais a l’air de compter comme une dépense obligatoire, incontournable, avec laquelle on ne peut pas faire autrement, dans un état devenu bien incapable de faire à quelques milliards près les comptes de ce qu’il prélève et de de ce qu’il dépense, sachant qu’il est l’état développé qui prélève le plus au monde, ou presque.
Et donc, par correction politique, mieux vaut s’attaquer aux pensions des retraités nationaux qu’aux sommes versées à des pays étrangers, à des retraités Algériens morts depuis longtemps, à des fraudeurs qui passent leur vie sans travailler, du moins officiellement. Les USA avaient le même genre de problème de panier percé, Musk a commencé à remettre un peu d’ordre. Le montant moyen brut d’une pension tourne autour de 1 626 € par mois, on ne voit pas en quoi cela serait intolérable pour des gens qui ont travaillé 45 ans, quand le même état verse un minimum de 1034,28 € par mois pour une personne seule et 1605,73 € pour un couple, qui parfois n’ont jamais travaillé et arrivent de l’étranger.
Au RPF, nous revendiquons une gestion de « bon père de famille », à savoir, commencer par boucher les trous dans le porte monnaie, réserver ces prestations, sociales, retraites et minimum vieillesse, aux seuls nationaux et quelques autres dispositions qui permettraient d’économiser 300 à 400 milliards par an. Mais l’objectif de Bayrou est bien de rincer encore un peu plus la population laborieuse et surtout honnête pour pouvoir continuer à gaspiller. Nous lui conseillons donc avec insistance la liste des mesures que nous préconisons, en suivant le lien ci-dessous.
Non seulement il doit changer de politique, mais également arrêter de prendre systématiquement pour cible la population native, les entreprises locales, les patrons locaux et les collectivités locales, sommées de verser des RSA à n’en plus finir et d’accueillir de faux mineurs non-accompagnés à n’en plus finir également. L’avenir des comptes de la nation ne passe pas par des impôts supplémentaires ou des retraités passés au régime sec, mais par des économies d’échelle qui se chiffres en centaines de milliards. En conséquence, il faut faire tomber Bayrou et tous les hommes de Macron à suivre qui seraient mandatés pour continuer cette politique délétère.