Les conflits actuels opposent moins les libéraux aux collectivistes,
Que les nationalistes aux mondialistes et les laïcs aux fanatiques.
Outre leurs références au nazisme, les réactions du criminel Zelensky et celles des assassins du Hamas sont étrangement similaires. Dans les deux cas, en mauvaise posture face à un adversaire plus fort qu’eux, ils posent des conditions de paix que leur ennemi victorieux ne peut accepter. Agresseurs sans scrupules, ils pleurnichent, gémissent et se font plaindre. Dénonçant des représailles répondant à leurs saloperies. Pour mendier ensuite sans vergogne la charité de la mondocrature.
Bien évidemment, les merdias du Nouvel Ordre Mondial, propriétés des banksters apatrides, sont de leur côté. Et les présentent sous un jour favorable, effaçant tous les crimes dont ils se sont rendus coupables.
Le choix des mots est révélateur de la perfidie de leurs complices, maîtres de la désinformation planétaire
Les néo-nazis de l’armée d’Azov dont la cruauté envers les civils n’a d’égale que celle des égorgeurs du Hamas sont présentés comme des « libérateurs » ou des « résistants.» Le gauleiter Stepan Bandera comme le criminel Yasser Arafat, neveu du grand mufti copain d’Adolf, et leurs successeurs ont droit au titre de héros. Rien n’arrête la réécriture de l’histoire.
Les massacres de civils dans le Donbass, les fermes brûlées, les femmes violées, les otages liquidés ont été qualifiés d’actes de guerre. De même que pour les assassinats dans les kibboutz et lors du festival de musique de Réïm, les djihadistes prétendaient qu’il s’agissait d’actions militaires. Dont les ripostes sont appelées crimes contre l’humanité par l’islamiste Karim Abdul Ahmed Khan, justicier cosmo-islamo planétaire de la CPI.
Les otages israéliens, femmes, enfants et bébés, quand ils n’ont pas été froidement assassinés, sont labellisés prisonniers de guerre. À échanger à un contre 100 ou 1000 contre des terroristes fanatiques coupables d’exactions abominables. On présente comme de valeureux guerriers des lâches pleurnichards qui s’y entendent à tirer dans le dos, à poignarder par derrière, et à massacrer leurs ennemis à dix contre un, en leur tendant des embuscades, sans faire de prisonniers.
Les « azoviens » et les djihadistes emploient les mêmes méthodes de terreur et de coercition. On jurerait qu’ils ont été formés ensemble dans les mêmes académies du crime. Et ils ne manquent jamais une occasion de s’associer pour perpétrer leurs forfaits.
Même si les merdias français asservis à la doxa mondialiste et aux pétrodollars s’ingénient à le cacher, afin d’effacer les témoignages sur ce sujet, la présence des djihadistes en Ukraine est avérée depuis des années. Cet État-voyou est un de leurs sanctuaires. Et un employeur qui paie bien.
Leur participation aux attentats de Moscou a été prouvée. En contrepartie, des soldats de Kiev vont aider des groupes islamistes au Soudan alors qu’ils prétendent manquer d’hommes et d’armes pour défendre leur propre pays ! Exigeant toujours plus de milliards de Pustula, de Macronescu et du sénile Biden avant qu’il se fasse jeter par ses propres partisans.
Tandis que Zelensky mégote et ruse pour retarder indéfiniment une paix qui lui ferait perdre son pouvoir, le Hamas agit de même afin de conserver son emprise sur les Gazaouis.
Comme si les vaincus étaient en mesure de dicter leurs conditions, le Hamas s’est dit ouvert à la possibilité d’un accord en cas de retrait total des troupes de Tsahal. Tandis que les terroristes n’acceptent en aucun cas de déposer les armes.
Ils feraient même une faveur à Israël en n’égorgeant personne pendant quelque temps, si Netanyahou acceptait une trêve de cinq à sept ans, que les islamistes briseront à le première occasion. Tout le monde le sait. Eux mêmes le reconnaissent mezzo voce. Ils n’ont jamais renoncé à leur projet de jeter tous les Juifs à la mer.
Cette supercherie permettrait la libération d’une vingtaine d’otages israéliens et d’autres nationalités encore vivants, et le retour d’une trentaine de cadavres, morts de faim ou égorgés dans les souterrains de la mort, creusés et entretenus grâce au matériel de génie civil et aux matériaux de construction fournis par l’aide internationale.
En Ukranazia, Zelensky exige un accord de paix à ses conditions inchangées. À savoir le repli aux frontières de 2022 et la récupération de la Crimée, russe depuis le référendum en 2014. Comme s’il était en mesure de poser ses conditions… Quand certains personnages de son entourage font semblant d’être plus raisonnables.
Le rôle du gentil a été dévolu au maire de Kiev, l’ancien champion de boxe Vitali Klitschko qui a dû prendre trop de coups sur la tête. Il a vendu la mèche en révélant la fourberie et le double langage de son patron. En reconnaissant naïvement que son pays accepterait une paix temporaire, avec un abandon provisoire de certains territoires à la Russie.
Cela sous-entend clairement que ce ne serait qu’une trêve, le temps de refaire leurs forces avec l’aide des Boches et de l’UE, avant de reprendre les combats. Comme après les accords de Minsk. Bien entendu, les Russes roulés deux fois ne se laisseront pas arnaquer à nouveau.
Poutine comme Bibi ont toutes les cartes en mains
L’Israélien entend éradiquer le cancer islamiste de Gaza et ses métastases de Galilée et du Golan. Le retrait complet de Tsahal exigé par les djihadistes est aussi impensable que le retour des Russes aux frontières d’avant 2014 et 2022.
Les Israéliens useront sans faiblir de leurs moyens de pression pour éliminer les islamistes de l’enclave putrescente de Gaza. Laisser passer au compte-gouttes la logistique internationale d’aide aux terroristes est un moyen efficace. Appuyé par des opérations militaires, le bombardement des nids djihadistes, et l’éradication des bandes armées avec reprise du contrôle total de la zone. S’ils veulent la paix, qu’ils dégagent !
« Plus jamais ça ! » ont dit les Israéliens après le pogrom du 7 octobre 2023. Comme ils avaient dit en 1945 après la défaite des nazis. Cette fois encore, le Mossad traquera les assassins sans répit, partout dans le monde, où qu’ils se cachent. Jamais le gouvernement de Jérusalem ne leur accordera l’immunité qu’ils réclament. Les fugitifs vivront dans la terreur permanente.
Le Russe entend éradiquer la menace de l’OTAN à ses frontières Ouest. À commencer par l’abandon définitif du projet d’y intégrer les nazis de Kiev. Sinon, les conditions pour la paix n’ont pas changé depuis la fin de l’année dernière. Inutile d’attendre un coup de pouce de Trump. Le nabot arrogant Zelensky l’insupporte autant qu’il méprise le frimeur délirant Macronescu.
La paix passera par le gel des combats sur les positions occupées de part et d’autre au moment du futur cessez-le-feu. L’arrêt de la fourniture d’armes, de munitions, de mercenaires et de renseignements à Kiev par l’Occident ira de pair avec la création d’une zone démilitarisée de 20 à 50 km de profondeur à partir du nouveau trait de frontière. D’accord pour la présence d’observateurs internationaux, à condition qu’ils n’appartiennent à aucun des pays cobelligérants depuis 2022.
Sans oublier la levée des blocus économiques et la restitution des biens et avoirs russes confisqués en Europe. En contrepartie, Vladimir accepterait de laisser aux Ukronazis les terres russophones de la Novorossia toujours occupées et renoncerait à pousser son avantage jusqu’à Odessa.
Sinon les Ukrainiens comme les djihadistes pourront continuer à gémir sous les bombes. Leurs couinements amplifiés par les merdias ne feront pas dévier leurs ennemis d’un millimètre de leurs objectifs.
Christian Navis
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