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Les crimes racistes contre les Blancs sont autant d’avertissements lancés aux Français

Quand un Turc tue un Noir en France parce qu’il est noir, ce n’est pas du racisme alors qu’il est le produit d’une culture raciste et suprémaciste depuis la création du califat ottoman.
Quand les attaques antisémites, anti-françaises et anti-chrétiennes explosent en France, on cherche  à invisibiliser leurs auteurs, à tout faire pour ne pas livrer leurs origines ethniques à l’opinion publique sous couvert de la loi Gayssot. Une véritable loi du silence, une omerta s’installe autour de ces affaires qui sont parfois tragiques et surtout le prélude des lendemains inquiétants pour la France. On botte en touche sur leur vraie signification politique et sociétale. Les assaillants ne font rien au hasard, c’est un avertissement lancé aux Français : voilà un avant-goût de ce qui vous attend demain quand on sera les maîtres de votre pays.
Quand un Noir africain tue une Juive parce qu’elle est juive, toujours en France, ce n’est pas un crime antisémite, c’est impensable et inconcevable qu’un Noir, victime lui-même de racisme, puisse commettre l’irréparable ; il souffre forcément de troubles psychiatriques et ne peut pas être responsable de ses actes. Il devient un patient qu’il faut soigner et non plus un meurtrier. Il n’est pas pénalement responsable en vertu de l’article 122-1 du Code pénal. Ses facultés de discernement étaient incapables de contrôler ses actes au moment des faits. Pourtant il avait bien ciblé sa victime et elle n’était pas le fruit du hasard d’une rencontre On ne cherche pas à connaître ses véritables motivations et les influences extérieures qu’il avait dû subir, tel que l’endoctrinement religieux. Un Noir ne peut pas faire ça, disent-ils. On ne regarde pas ce qui se passe ailleurs comme aux États-Unis où les Anglo-Saxons sont les premières victimes des attaques racistes des Noirs. Faisant fi ainsi des leaders noirs américains antisémites et des mouvements noirs suprémacistes. Et toutes les guerres inter-tribales en Afrique, elles sont mues par quoi, au juste ? La haine ancestrale entre Africains, comme l’implication voilée des Noirs dans la traite négrière. On ne peut pas troubler l’image idyllique du Noir victime. Depuis la fin de la colonisation, il n’y a eu jamais autant de morts en Afrique, victimes des guerres entre  Noirs.
Salem Benammar

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