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Le service public de propagande audiovisuelle doit disparaître !

Le service public de l’audiovisuel – ou « sévices publics », selon le bon mot de Gilles-William Goldnadel – a en ce moment des bouffées de chaleur incontrôlées depuis qu’un journaliste de L’Incorrect a filmé secrètement un entretien dans un café parisien entre deux de ses vampires – qui sucent l’argent du contribuable à volonté – et des porte-flingues du Parti socialiste venus s’assurer de l’allégeance dudit service public à leur candidat à la Mairie de Paris, le benêt Raphaël Glucksmann dont la profondeur d’esprit ne risque pas de le noyer. Et Thomas Legrand de promettre, en son nom et celui de son visqueux collègue, l’odieux Patrick Cohen assis à ses côtés, qu’ils faisaient le travail pour saper les chances de l’autre candidate de poids : Rachida Dati.

Depuis cette révélation, la nébuleuse du service public se gonfle d’une colère visant à égaler sa connerie en grosseur, telle la grenouille qui se voulait aussi grosse qu’un bœuf dans la célèbre fable de La Fontaine. Et les membres de cette mafia journalistique d’exprimer bruyamment leur courroux que des copains aient été surpris en flagrant délit idéologique, tout en étant grassement payés avec l’argent des contribuables qu’ils méprisent à longueur d’antenne, télé et radio comprises. Tout le monde y est passé, depuis la tenancière de France Télévisions Delphine Ernotte jusqu’au « fils de pute » François Morel, dont le talent se trouve en dessous du talon de Louis Jouvet ou encore celui de Maurice Ronet. Vu sa tronche rébarbative, ce serait de toute façon difficile de supporter la comparaison avec l’acteur flamboyant de Plein Soleil, de René Clément.

Les inversions accusatoires de ces servants de la gauche ont donc fusé de toute part, dont celle, édifiante, de Vincent Meslet, directeur éditorial de Radio France, qui, dans un entretien accordé au moribond Parisien – lequel pourrait et devrait être racheté par le groupe Bolloré, ce qui serait une bonne chose ! –, a déclaré de ne voir aucun manquement de ses journalistes dans cette affaire de collusion politique pourtant manifeste. Il a bien entendu accusé CNews puis Europe1 d’avoir « créé de toutes pièces un récit pour mieux nous attaquer » et d’avoir consacré leurs temps d’antenne quasi-exclusivement à ce petit écueil déontologique. Ce qui est faux et aisément vérifiable parmi nos lecteurs de Riposte laïque qui regardent plus assidûment CNews ou écoutent plus volontiers Europe1 que le service public, lequel en fait, de son côté, des tonnes, lorsqu’il s’agit de pleurer des têtes de cochons devant des mosquées ou de bramer à la gloire du martyr diversitaire Nahel Merzouk. Passons.

Le même Vincent Meslet s’est cependant trahi en répondant à une question du Parisien par ces mots : « Ce qu’on peut simplement regretter concernant Thomas Legrand, c’est qu’il ait involontairement fait un cadeau à nos pires adversaires. » Donc, les regrets du service public ce sont ceux d’avoir été pris la main dans le sac. Puis Meslet de nous offrir une occasion de franche rigolade en affirmant : « Contrairement à ce que certains disent, nous sommes sans doute l’un des médias les plus pluralistes de France. » Tant il est vrai que le souci de « pluralité » obsède le service public, chacun peut le constater ! Imitons vite Figaro et pressons-nous d’en rire de peur d’avoir à en pleurer.

https://www.fdesouche.com/2025/09/13/vincent-meslet-directeur-editorial-france-inter-nous-ne-laisserons-pas-cnews-nous-destabiliser-ils-ont-profite-du-fait-que-nous-ne-repliquons-pas-mais-cela-va-changer/

De son côté, L’Incorrect, vilipendé par la horde des médias publics enragés pour avoir exhumé l’affaire, a tenu à répondre au déferlement d’invectives malhonnêtes subies dans un article bien senti et étayé, où l’on peut lire entre autres ces propos frappés du bon sens : « Comme une grande partie des Français n’est pas surprise de cette connivence entre des journalistes du service public et des élus du Parti socialiste (ils ont juste eu le son, l’image et le plan des grands stratèges), nous-mêmes ne sommes pas surpris de cette pathétique tentative de riposte : ils vont se défendre, laborieusement, en accusant la forme pour éviter d’assumer le fond. Les images parlent d’elles-mêmes. »

https://lincorrect.org/affaire-legrand-cohen-reponse-aux-accusations/

S’il n’y avait qu’à reprocher à l’audiovisuel de sévices sadiques la petite sauterie collabo-gauchiste entre deux journaleux minables et deux sicaires du Parti socialiste, ça passerait. Mais il y a le reste, aussi lourd que le poids de la Terre sur les épaules du Titan Atlas : une kyrielle d’émissions consacrées à « l’extrême droite » où l’on fourre tout ce qui n’est pas assez progressiste ; des heures d’antenne dévolues au vivre-ensemble et jamais aux calamités, souvent meurtrières, qu’il génère ; un discrédit jeté sur les crimes racistes anti-Blancs ou les chrétiens persécutés chez eux en France, particulièrement les catholiques ; un déni des dangers de l’islam au contraire encensé comme une bénédiction ; une propagande et des fictions wokistes indigestes et mal jouées, etc.

Tout ceci n’amène qu’une conclusion : le service audiovisuel public de propagande doit disparaître. Il restera le Journal officiel pour diffuser la « bonne parole » d’État. À charge pour eux de se créer un site Internet adéquat. Mais de supporter les anathèmes politiques et culturels d’une bande de « fils de pute » malfaisants et pas très intéressants, il faut le dire, ça suffit !

Il y a plus de quatre milliards d’euros d’économies à la clé avec la suppression de ce fléau, alors faisons-les, tout le monde s’en portera mieux…

Cyrano

https://ripostelaique.com/le-service-public-de-propagande-audiovisuelle-doit-disparaitre.html

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