Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Là je peux m’en donner à cœur joie tant l’actualité nous donne des exemples truculents de la bêtise de nos dirigeants qui se sont lancés dans la foire à la saucisse de la taxation du méchant riche.
En effet dans notre pays, personne ne veut être celui qui fera l’effort, donc on va chercher le bouc émissaire du riche que l’on pourra taxer encore et toujours, jusqu’à tout lui prendre pour financer nos délires et comme le disait Margaret Thatcher, et le problème avec le socialisme est que vous finissez un jour par avoir dépensé tout l’argent des autres » et c’est une évidence.
Vous pouvez détester Thatcher et ce qu’elle représente, détester la politique qu’elle a menée, cette réflexion reste parfaitement juste.
On ne peut distribuer que les richesses créées et encore qu’une fraction, car il faut laisser du capital pour pouvoir innover, laisser des réserves pour passer les moments de crise, mettre encore de côté pour pouvoir saisir l’opportunité d’un rachat etc…
Mais revenons-en à notre Eric Coquerel national et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale tout de même le voilà qu’il fait la différence entre les bons riches, et les mauvais riches.
C’est évidemment à chaque fois la même chose.
Le méchant riche ce n’est jamais soi, c’est l’autre.
La taxe Zucman sera donc pour les autres.
Lui, le Éric, il ne voit pas pourquoi à l’assemblée il faudrait faire un effort.
Avec leurs émoluments confortables de députés payés par nos sous, ils ne se sentent pas riches du tout…
Ha… le bon riche et le mauvais riche…
Il faut prendre le temps de l’écouter défendre le coût de nos députés… en finaissant par dire « si vous ocntinuez on va finir par dire que la démocratie coute trop cher »… Et bien oui Moniseur, certains le pensent.
Ce n’est pas mon cas.
Qu’un député de la nation gagne 5 000 euros par mois ne m’empêche pas de trouver le sommeil contrairement au fait que la drogue et la cocaïne circulent à la l’assemblée ce qui me gène nettement plus la conduite d’un pays sous emprise de la drogue devant être aussi interdite que celle d’une voiture.
Qu’un ancien ministre de l’intérieur ou premier ministre dispose d’officiers de sécurité ne me privera pas plus de sommeil et il est important que ces dirigeants puissent être protégés… comme tous les autres Français.
En réalité ce qui doit être dit ce n’est pas comment jeter à la vindicte populaire les « riches » c’est à dire toujours l’autre, celui qui a plus que soi.
L’important c’est comment peut-on augmenter le niveau de prospérité global d’un pays et ici nous parlons du notre.
Penser qu’en France, pays le plus taxé au monde c’est en taxant encore plus que l’on va améliorer notre situation c’est au mieux de l’idéologie et de la démagogie, mais le plus souvent de la bêtise, chez nous c’est de la folie !
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » disait Albert Einstein.
Tous nos gentils de gauche qui n’ont que le mot taxe aux lèvres sont en train de sombrer dans la folie fiscale la plus pure pour notre plus grand malheur à tous.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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