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MOSCOU, 19 septembre — RIA Novosti. Un bataillon de mercenaires étrangers des forces armées ukrainiennes a subi de lourdes pertes près de Iourtchenkovo , dans la région de Kharkiv, ont indiqué les forces de sécurité russes à RIA Novosti.
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Le problème des pauvres ce n’est pas les riches, c’est votre facture d’électricité !
Mes amis ne vous trompez pas « d’ennemi » et celui que la paresse de gauche aime à vous désigner c’est le riche de la même manière que l’on vous désigne l’immigré… Mais si le riche est riche c’est parce que le système a créé les conditions pour qu’il le devienne. L’ennemi ici n’est pas le riche mais les conditions économiques impliquées par l’européisme et le mondialisme. Le problème de l’immigré qui est là ce n’est pas lui en soi, ce sont les conditions qui ont créée cette immigration incontrôlée et l’ennemi n’est pas l’immigré mais comme pour les riches les conditions migratoires impliquées par l’européisme et le mondialisme !
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La Commission européenne admet que les vaccins contre le coronavirus ont été autorisés sans données de sécurité «complètes»
par Franz Becchi
La Commission européenne admet que les vaccins contre le coronavirus ont été autorisés sans données complètes sur leur innocuité. Quelles sont les implications de cette décision en termes de responsabilité et de risques pour la population ?
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Cette gauche qui n’a plus que le mot « facho » à la bouche…
Quand l’argument, « extrême droite », est l’ultime parade pour ternir la réputation d’honnêtes personnes, ou disqualifier une idée, c’est que le combat idéologique est sur le point de basculer dans le sectarisme. Il n’y a plus alors que l’intolérance vis-à-vis de ceux qui refusent de disparaître en temps que personne, avec une histoire et un passé qui peut être mis en avant. Des drapeaux qui sont brandis, une volonté de protéger sa patrie contre une submersion migratoire, il n’en faut pas plus pour être catalogué d’extrême droite. Le terme est choisi à desseins, pour faire peur et réclamer le rejet sans concession d’une pensée qui ramène « aux années noires de la guerre ». L’extrême est par définition dévitalisé de raison, du bons sens, de la mesure qui prévaut dans une situation, puisqu’il s’appuie sur la stigmatisation d’une population, d’une ethnie. Agiter un drapeau, comme c’est le cas au Royaume-Uni en ce moment, est donc un acte fasciste ! C’est d’ailleurs quasiment ainsi que les journalistes décrivent les manifestants. On se pince, mais c’est là le raccourci que la gauche n’hésite pas à employer pour dénigrer un mouvement patriotique et dénier au commun des mortels le droit d’aimer un pays, le sien, qu’il désire seulement le protéger d’une entrée illégale et massive d’étrangers.