À peine le procès de Cédric Jubillar s’achevait-il que commençait celui de Dahbia Benkired, l’assassin algérienne de Lola. Le fil de la première journée permet de mieux connaître des détails sordides qui n’avaient pas été révélés au public, il y a trois ans.
Dans sa vidéo du jour, notre fondateur, Pierre Cassen, a expliqué à ses abonnés comment les jurés populaires ont peu à peu été évincés des cours d’assises, au profit de juges professionnels, les transformant en figurants. Cela a été le cas lors du procès Jubillar, ce sera également le cas pour ce procès Benkired.
Par le plus grand des hasards, ce procès s’ouvre quelques jours après que Macron ait décidé que Badinter, ce grand bourgeois socialiste des beaux quartiers, méritait de finir au Panthéon. Son titre de gloire : il a décidé, contre l’avis de la majorité du peuple français, d’abolir la peine de mort et de transformer la justice en une gigantesque culture de l’excuse, au service des coupables contre la réparation due aux victimes.
L’abolition de la peine de mort et l’éviction des jurés populaires de la plupart des procès qui se tiennent en cour d’assises vont toutes dans le même sens : évincer le peuple français des décisions de justice qui sont prises en son nom, en les remplaçant par des juges professionnels trop souvent porteurs de l’idéologie du Syndicat de la Magistrature.
Nul doute que si le peuple français était toujours souverain, jamais la peine de mort n’aurait été abolie, et une Dahbia Benkired aurait eu le sort qu’elle méritait : exécution capitale, que ce soit par la guillotine, la chaise électrique ou la pendaison. Ce genre de saloperie ne mérite pas de vivre.
Mais si Lola a été assassinée de manière barbare par cette musulmane, un vrai jury populaire approfondirait l’enquête. Il chercherait à comprendre les raisons pour lesquelles Dahbia Benkired a pu arriver en France, les causes pour lesquelles elle n’a pas été expulsée et les rouages qui ont amené à la mort de Lola.
Et là, ce ne serait pas seulement cette criminelle musulmane qui serait passée par les armes, ce sont tous les politicards immigrationnistes, ceux qui viennent de sauver la peau de Macron par Lecornu interposé, qui seraient condamnés à la peine capitale pour haute trahison et mise en danger délibérée du peuple français et d’innocent enfants comme Lola.
Certes, parfois les réseaux sociaux sont féroces et excessifs, mais l’illustration ci-dessous résume la colère du peuple de France contre ses dirigeants, même si bien sûr les termes utilisés pourraient être moins vulgaires et grossiers. « Salopards » aurait été plus adapté…
Mais un vrai jury populaire ne se contenterait pas de s’intéresser à la responsabilité des politiques, il enquêterait aussi sur tous les collabos que le magazine Frontières a épinglé dans son avant-dernier trimestriel, intitulé « Les coupables », ce qui d’ailleurs lui vaut quelques procès.
Ainsi, le journal Libération a osé publier un article provocateur intitulé « Merci Badinter », pour se féliciter que grâce à cette crapule, Dahbia Benkired soit certaine de ne jamais subir la peine capitale, contrairement à Lola. Bien évidemment que les journaleux collabos seraient également dans l’œil du viseur d’un jury populaire, car ils sont sur les mains le sang de milliers de victimes françaises…
https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-proces-lola-liberation-remercie-robert-badinter/
Félicitons, dans ce contexte où Reconquête avait subi un véritable lynchage politico-médiatique de la part de tous les collabos responsables de la mort de Lola, que de jeunes militants des Natifs et de Némésis aient su, dans les rues de Paris, rendre hommage à Lola en demandant des comptes aux autorités.
Conclusion : il faudra sortir Badinter du Panthéon, sortir les juges des jurys de cours d’assises, redonner la souveraineté au peuple, lui faire rendre la justice et punir les assassins et les principaux collabos comme ils le méritent, c’est-à-dire la peine de mort qu’ils ont infligée à Lola et à trop de Français victimes d’assassins africains souvent musulmans.