J’ai construit un contre-budget d’urgence pour sortir de l’impasse : un mode d’emploi clé en main à destination des Parlementaires qui entrent dans la discussion budgétaire. Source twitter
Le programme est séduisant mais impossible si on reste dans l’UE. Elle ne peut pas ne pas le savoir… Alors ?
Le programme est séduisant mais impossible si on reste dans l’UE. Elle ne peut pas ne pas le savoir… Alors ?
Réserver les prestations sociales non contributives aux Français. Retoqué et par le Conseil d’État et par la CEDH. Non respect du principe d’égalité dans la Constitution.
Supprimer l’aide publique au développement. Oui, mille fois oui, il faut stopper le versement des l’argent des Français aux autres pays sous prétexte de les aider à se développer. Un mien ami qui parle cru dirait « la gueule des Français d’abord et après on verra ». Un autre dirait plus élégamment « charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Supprimer l’ARS, l’ARCOM, etc. Mille fois oui. On n’y gagne rien, on subventionne des organismes et des gauchos qui ne pensent qu’à détruire ce qu’est la France historique.
Supprimer les aides publiques aux énergies renouvelables. Mille fois oui. On paye moins cher et on crève de froid. Et il faut néanmoins acheter la peau des fesses le gaz et le pétrole indispensables quand il n’y a pas de vent pour les éoliennes ni de soleil pour les panneaux solaires.
Etc. Je suis entièrement d’accord avec les propositions de Sarah, cohérentes et efficaces pour sortir de la mouise. Pourquoi devrions-nous financer les associations politisées, pour la plupart ennemies et de la France et des Français ? Qu’elles vivent des cotisations de leurs adhérents, ce n’est pas à nous de travailler pour aider ceux qui veulent la fin de la France ! Pareil pour les subventions à la presse… subventions destinées en priorité et pour les plus grosses sommes à la presse gauchiste-collabo… Nous payons pour notre mort. C’est pervers, non ?
Non, on n’a plus les moyens d’accueillir le monde entier, de nourrir et former des étudiants étrangers qui prennent la place des nôtres dans les filières recherchées, qui ne peuvent pas toujours manger au resto U (1,50 € le repas pour les boursiers mais il y a tellement plus de monde que de place que les nôtres qui ne veulent pas manquer les cours filent acheter un sandwich à 4 € à la boulangerie pour ne pas arriver en retard en cours).
Enfin il est évident que l’aide juridictionnelle doit être réservée aux Français ; celui qui n’est pas Français n’a pas à venir chez nous et à nous faire supporter les frais d’avocat dus à ses sottises, fautes, irresponsabilités…
Christine Tasin