
Un hommage paisible rendu à la mémoire de Lola, fillette de 12 ans assassinée en 2022 par Dahbia Benkired, une ressortissante algérienne sous OQTF, a tourné à la violence ce samedi à Nantes. Des militants antifascistes ont en effet pris d’assaut la cérémonie organisée par La Cocarde Étudiante, semant la panique devant la cathédrale et profanant le portrait de la jeune victime.
Un hommage silencieux après le verdict du procès
Le 25 octobre 2025, la cour d’assises de Paris a condamné Dahbia Benkired à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible pour le meurtre particulièrement sordide de la jeune Lola, retrouvée sans vie dans une malle, en octobre 2022.
Cette condamnation a ravivé une émotion nationale et relancé le débat sur les drames liés à l’immigration illégale, Benkired ayant ignoré plusieurs obligations de quitter le territoire français.
Le lendemain du verdict, la section nantaise de La Cocarde Étudiante, mouvement étudiant patriotique et souverainiste, avait choisi de rendre un hommage symbolique à l’enfant, devant la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes.
Une dizaine de militants ont déposé bougies et portrait de la jeune fille, dans un recueillement silencieux et apolitique.
Une attaque organisée de militants antifas
Mais ce moment de recueillement n’aura duré que quelques minutes.
Selon plusieurs témoins, de nombreux antifas cagoulés ont surgi depuis les rues adjacentes et se sont rués sur les jeunes patriotes, dans une attaque préparée et coordonnée. Les assaillants ont utilisé fumigènes, sprays lacrymogènes et objets divers pour disperser les participants, provoquant plusieurs blessés parmi les membres de La Cocarde.
Malgré leur infériorité numérique, ces derniers sont parvenus à repousser l’agression après plusieurs minutes de confusion, empêchant le pire. Les antifas ont ensuite piétiné et détruit le portrait de Lola avant de s’enfuir dans les ruelles du centre-ville, sans qu’aucune interpellation ne soit signalée à cette heure.
Sur les réseaux sociaux, La Cocarde Étudiante a dénoncé une attaque “lâche et haineuse”, déclarant : « Malgré notre infériorité numérique, nous avons protégé les derniers portraits et les 25 antifas repartirent la tête basse. »
De nombreuses voix de la droite nationale et conservatrice ont exprimé leur soutien.
Plusieurs figures politiques locales ont également souligné le silence médiatique et politique (silence de Johanna Rolland, maire de la commune, entre autres, entourant cette agression, y voyant une illustration du deux poids, deux mesures dans le traitement des violences politiques.
Une violence antifasciste devenue systématique
Ce nouvel épisode s’inscrit dans une série d’attaques antifas récurrentes à Nantes, ville désormais habituée aux violences d’extrême gauche contre tout rassemblement patriote ou conservateur.
Des actions similaires avaient déjà visé des meetings, conférences et dépôts de gerbes commémoratifs. Cette fois, c’est la mémoire d’une enfant assassinée qui a été profanée au nom d’un militantisme idéologique, sans que les autorités locales ne condamnent publiquement les faits.
L’agression de samedi illustre une fois encore la dégradation du climat politique dans plusieurs villes de Bretagne, où la tolérance envers la violence antifasciste semble de mise, y compris lorsqu’elle vise des citoyens rassemblés pacifiquement.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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