
Partis dans une sordide fuite en avant, mais prêts à tout pour détruire tous ceux qui leur résistent par tous les moyens, la mouvance gauchiste multiplie les provocations et les agressions, certains qu’ils sont de bénéficier de l’impunité complice de l’appareil d’État, ravi d’avoir des miliciens qui accomplissent ses basses œuvres contre les vrais opposants au mondialisme, la mouvance patriote.
Personne n’a oublié le fameux « Mur des Cons », découvert par Clément Weill-Raynal, journaliste au Figaro, où figuraient, outre des personnalités jugées mal-pensantes parce que de droite, deux pères de victimes d’horribles assassinats, qui avaient eu le toupet d’interpeller la justice sur la remise en liberté du meurtrier de leur enfant. Cela avait suffi, surtout que l’un était général, pour les classer comme « cons ». Et la présidente de ce syndicat pourri qu’il faudrait dissoudre, Françoise Martres, n’avait été condamnée qu’à 500 euros d’amende, 6 ans plus tard.

Personne n’a oublié la minute de silence, organisée par la député UDR Hanane Mansouri, à Vienne, pour rendre hommage à Philippine, assassinée par un OQTF musulman dans le bois de Boulogne. Des salopards de gauche et d’extrême gauche ont osé perturber et siffler ce recueillement. Riposte Laïque a donné les noms des meneurs, donc celui du nazillon LFI Allan Brunon, qui sera tête de liste de son parti pour les prochaines municipales de Grenoble. Une pourriture qui a osé insulter un jeune militant du RN décédé à 20 ans des suites d’une longue maladie.
Figuraient également dans ce commando des enseignants qui ne subiront aucune sanction de la part de l’Éducation nationale. Leurs noms : Julia Merlin, Quentin Dogon, Myriam Thieulent.
Personne n’a oublié, ce qui ne s’était jamais fait encore en France, la grande fête des bobos parisiens avec leurs bouteilles de champagne à 50 euros pour célébrer la mort de Jean-Marie Le Pen, qui verra quelques jours plus tard sa tombe vandalisée à La Trinité. Rappelons que Jean-Marie avait dit, à la mort de Chirac, cette phrase pleine de dignité : « Mort, même l’ennemi a droit au respect ».
Et puis, ce dimanche, à Nantes, ce sont une dizaine de jeunes militants de La Cocarde, venus rendre hommage à Lola, au lendemain du verdict du procès de son assassin, qui se sont fait attaquer par vingt-cinq antifas qui s’en sont pris aux portraits de la jeune fille et à ceux qui les portaient, essayant d’en brûler plusieurs avec leurs fumigènes.
Et nous apprenons que celui que nous appelons le nazillon Raphaël Arnault, député du Vaucluse, sur une provocation de Jean-Luc Mélenchon, soutenu par toute la gauche, LR et les macronistes, vient d’oser s’en prendre à notre ami Patrick Jardin.
Mais le nervi d’extrême gauche ne s’arrête pas là, et, révélant sa vraie nature, il menace carrément de mort ceux qu’il appelle, visant le RN, Reconquête et notre ami Patrick Jardin, des suprémacistes religieux ou nationalistes.

Jusqu’à ce jour, seule une enseignante dégénérée, Sophie Djigo – par ailleurs militante de LFI, comme Raphaël Arnault – qui voulait emmener sa classe visiter la jungle de Calais, avait osé s’en prendre à Patrick en le traînant, ainsi que notre président Guy Sebag, devant les tribunaux. À présent, voici donc cette petite frappe qui ose qualifier, presque dix après la mort de sa fille Nathalie, notre ami Patrick de « fasciste ». À la rigueur, dans le vocabulaire limités des gauchistes, est fasciste quiconque ose aimer la France, et même ceux qui, à gauche, osent ne pas soutenir Mélenchon. Mais en outre, il ose renvoyer dos à dos Patrick, qu’il qualifie de raciste, islamophobe – comme si l’islam était une race – et les assassins de sa fille. Il est vrai que d’autres, comme Bourdin, s’étaient lancés dans cette comparaison crapuleuse, comparant le RN de Marine aux djihadistes de Daech. Et bouquet final, il menace de mort toute la mouvance patriote, dont notre ami Patrick, leur annonçant qu’il va les « dézinguer », rien de moins, sans doute avec ses méthodes, à vingt contre deux, comme on l’a vu à Rennes, sur la faculté de droit. C’est cela, la nouvelle France de Mélenchon et de ses sbires, Raphaël Arnault en tête.
Ces collabos ne pardonnent pas à Patrick de ne pas se comporter comme une lavette, à l’image de ceux qui glapissaient, au soir de la mort d’un être aimé « Vous n’aurez pas ma haine ». Patrick, et c’est un sentiment normal, naturel et rassurant, assume le fait de haïr les assassins qui l’ont définitivement privé de sa fille, et la religion qui les encouragés à commettre cet acte. Homme d’honneur et d’action, il ne pouvait que finir chez Éric Zemmour, à Reconquête.
Raphaël Arnault est un salaud prêt à tout, on le savait, mais avec Patrick Jardin, un vrai combattant gaulois, il ne va pas tomber sur un ingrat…
La conclusion de ces cinq épisodes ne doit tromper personne. Les flics du système, qu’ils s’appellent « Syndicat de la Magistrature », antifas, Insoumis ou crétins bobos-gauchos qui les suivent aveuglément, sont prêts à toutes les saloperies pour empêcher les Français qui refusent la soumission à l’islamisation de leur pays de redresser la tête.
Mais les miliciens d’un régime haï ne finissent pas toujours bien, quand le peuple se réveille…