
Décidément, les temps sont durs pour les collabos de gauche, qualifiés ce soir par Philippe de Villiers, sur CNews, de députés algériens. Hier, c’était le camouflet subi sur le vote – à la demande du RN – remettant en cause l’accord de 1968 avec l’Algérie. Catastrophe pour ces vendus à Tebboune, le cordon sanitaire mis en place par Mitterrand pour empêcher Chirac d’arriver au pouvoir a volé en éclats et, pour la première fois, des LR et des Horizons ont voté avec les partis de Marine Le Pen et d’Éric Ciotti.
Après les insultes et les menaces habituelles, ils espéraient se refaire une santé avec leur nouveau joker, la fameuse taxe Zucman qui, selon eux, allait rapporter entre 15 et 20 milliards d’euros. Cet économiste, bobo de gauche payé par Soros, passe sa vie sur les plateaux du service public et est devenu le gourou de toute la gauche, camp auquel il appartient.
Dès les premiers jours de l’arnaque, Sarah Knafo dénonçait l’escroquerie, expliquait qui était vraiment Zucman, en quoi la mise en application d’une telle taxe serait une catastrophe pour l’ensemble de l’économie française et rapporterait bien moins que les sommes annoncées, mais coûterait bien davantage.