
Il fut un temps où l’Assemblée nationale avait une certaine tenue, même si quelques esprits pouvaient parfois s’échauffer, comme Georges Clemenceau qui, par exemple, s’expliqua en duel avec Paul Deschanel à la demande de ce dernier. Duel que Deschanel perdit face au Père la Victoire. Plus tard, le même Deschanel aurait sa revanche en étant élu Président de la République au nez et à la barbe de Clemenceau. Cependant, compte tenu de ses nerfs fragiles, retrouvé notamment un jour errant dans la campagne après une chute de sa voiture de train, il finirait par démissionner.
Mais Deschanel savait au moins manier la langue française, ce dont on peut aujourd’hui sérieusement douter lorsqu’on voit avec quelle difficulté Sébastien Delogu s’exprime et lit ses notes. Pas mieux du côté d’Ersilia Soudais qui est une injure au bon goût et ferait honte à la poissonnière du village d’Astérix. Ainsi, nous avons peut-être aujourd’hui l’Assemblé que nous méritons, faute d’avoir maintenu un niveau scolaire suffisant et qui pouvait jadis vous faire rencontrer un homme avec le simple certificat d’études mais capable d’écrire une lettre sans une faute et nommer tous les rois de France depuis Clovis. Hélas, puisque selon les pédagogues gauchistes l’élève doit être « acteur de son savoir » – au lieu de la fermer et apprendre –, on obtient des élus acteurs de leur… ignorance.
Et ils sont bruyants, ces ignares arrogants, surtout pour imposer leurs bouffées délirantes verbales à toute une Assemblée, celle du peuple en l’occurrence. En plus d’être bruyants, ils sont des ennemis avérés de la France historique. Car les Delogu, Arnault, Obono, etc., sont les collabos d’hier et leur grand chambardement ne vise qu’à substituer l’islam à la France historique. C’est ainsi que de députés de la République ils sont devenus des ennemis intérieurs. Et ces ennemis intérieurs ont dû saliver de gourmandise en découvrant que des jeunes filles voilées s’étaient incrustées parmi le public autorisé à venir voir les séances de l’Assemblée. Voilées en service commandé et testant une fois de plus nos maigres résistances.
Certes, le règlement de ladite Assemblée n’est pas aussi clair que celui du Sénat, qui prohibe quant à lui le port du voile, mais cela reste un affront à la France, à toute la France. Oui, osons le mot, dans ce Palais-Bourbon où des femmes ont gagné de haute lutte le droit de siéger, voir d’autres femmes, si jeunes qui plus est, porter ce voile de la soumission est insupportable.
Les femmes ne sont pas seules en cause car, au-delà de ce sexisme autorisé et vanté par les néo-féministes, c’est toute note société qui est mise en danger avec cette religion aride et née dans le désert, disait Henri Martin.
Évidemment, cela n’a pas choqué les traîtres intérieurs, au contraire. Heureusement, pour sauver ce qui nous reste d’honneur, quelques voix se sont élevées ailleurs, comme celles de Julien Odoul – qui avait déjà interpellé une voilée au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté en 2019 – ou Eddy Casterman : « Pourquoi ce qui est interdit dans nos écoles, collèges et lycées, est-il autorisé dans le temple de la démocratie ? » Ajoutant à l’attention de la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, qui semble toujours débarquer de la Lune avec son air benêt : « Comment une telle provocation islamiste peut-elle être tolérée ? »
Yaël Braun-Pivet s’est d’ailleurs contentée d’un message laconique sur X : « Au cœur même de l’hémicycle de l’Assemblée nationale, où a en particulier été votée la loi de 2004 sur la laïcité à l’école, il me paraît inacceptable que de jeunes enfants puissent porter des signes religieux ostensibles dans les tribunes. » Au lieu de tourner autour du pot, il fallait les exclure de l’Assemblée.
Et le collabo Éric Coquerel s’est fait le porte-voix de tous les islamo-gauchistes en accusant la présidente de l’Assemblée de « livrer de façon raciste sur les réseaux sociaux des jeunes personnes venues visiter l’Assemblée ». Mention spéciale pour la Tondue, autrement appelée Marine Tondelier, qui voit dans cette histoire de… l’islamophobie. Et ensuite ça cause des violences faites aux femmes !
En effet, comment peut-on accepter que le voile soit normalisé dans l’Hémicycle ? Ce voile qui, s’il avait un jour les pleins pouvoirs, incendierait ce lieu de débats, étant entendu qu’en islam on ne débat pas, on se soumet. Comment, encore, peut-on supporter cette vision d’horreur tandis qu’à des milliers de kilomètres de là, les femmes afghanes sont réduites à l’état d’objets sexuels et reproducteurs, entièrement bâchées et empêchées d’étudier ? Cet affront-là, comme tant d’autres, montre à quel point nos renoncements font les affaires de l’islam. Et personne pour se lever enfin et interdire toute manifestation publique d’une religion qui ne vise qu’un but : renverser la table afin d’y servir la sienne, pour reprendre une fameuse sourate du Coran, Al Ma’îda, où il est dit : « 10. Et ceux qui ont mécru et ont traité Nos Signes de mensonges, ceux-là sont les gens voués à la Fournaise. »
Ces gens voués à la fournaise ce sont ceux du 13 Novembre, dont on va « fêter » les dix ans. Et en dix ans, tout a empiré : les enseignants sont décapités, les appels au meurtre des mécréants, quels qu’ils soient, pullulent dans nos rues, les « déséquilibrés » islamiques laissent dans leur sillage des traînées de sang et le Français se laisse tondre la laine sur le dos avant de finir par offrir son cou, faute d’un courage collectif et d’une mémoire de ce qu’il fut jadis.
Un certain historien – auteur des Rois thaumaturges et surtout de L’étrange défaite dressant implacablement le portrait d’une France qui avait renoncé face à l’ennemi – écrivait déjà en son temps : « Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. Peu importe l’orientation présente de leurs préférences. Leur imperméabilité aux plus beaux jaillissements de l’enthousiasme collectif suffit à les condamner. » Mais le Français, oublieux et devenu inculte, ne vibre plus qu’en consommant et regardant son portable…
Aussi, ces très jeunes filles voilées – qui doivent nous choquer autant, sinon plus, que les poupées sexuelles de Shein – sont un symbole criant de notre décadence tant physique que morale. Une décadence qui sert l’ennemi, lequel est en train de nous cueillir comme un fruit mûr. Il n’est pas trop tard pour réagir, mais il est bien tard tout de même, pour « repousser ce peuple néfaste loin de nos territoires », comme le préconisait le pape Urbain II dans son appel à la croisade en 1095.
Tout accommodement avec l’islam est un accommodement avec notre disparition, il faut se l’imprimer au fer rouge, sauf à vouloir précisément disparaître…