
Éric Zemmour, interrogé ce jour sur Europe 1, a d’abord cité son ami Patrick Jardin pour évoquer la prochaine commémoration des dix ans des attentats du Bataclan, et démontrer que les autorités politiques n’ont rien appris, ni rien changé à leur politique criminelle depuis ce drame qui a endeuillé des familles entières, et brisé à vie des centaines d’autres victimes.
Nous connaissons bien Patrick Jardin depuis maintenant plus de sept ans. Nous l’avons soutenu de toutes nos forces quand il a refusé, bien seul, la scandaleuse provocation de l’islamiste Médine, le chouchou de toute la gauche, qui n’avait rien trouvé de mieux pour narguer encore davantage la France que d’aller chanter au Bataclan pour célébrer le 3e anniversaire de l’attentat de ses coreligionnaires. Nous étions bien peu à le soutenir, mais nous étions là, et nous avons gagné.
Depuis, Patrick, dans son style si personnel, a écrit plus de 650 articles sur Riposte Laïque, et nous sommes fiers d’avoir dans nos rangs un contributeur pareil. Un homme, un vrai, qui ne pardonne pas aux assassins de sa fille, qui appelle un chat un chat, un islamiste un assassin, et un immigrationniste un collabo. Un homme qui n’est pas une pleureuse style Antoine Leiris et son « Vous n’aurez pas ma haine » tant choyé par les médias.
Bien évidemment, Patrick ne sera pas présent aux différents pince-fesses organisés par les autorités, et notamment par la Dingo, n’ayant rien à voir avec les salopards qui ont sur les mains le sang de toutes les victimes du Bataclan, et tant d’autres.
Bien sûr, un tel engagement militant, qui se poursuit fort logiquement dans les rangs de Reconquête, a un prix. Patrick est à présent fiché S, il est surveillé de près par les autorités françaises et régulièrement insulté par les médias collabos comme Le Monde et d’autres. Il y a même une enseignante gauchiste, Sophie Djigo, qui ose sans vergogne traîner devant les tribunaux cet homme, qui sera bien sûr défendu par l’avocat de Riposte Laïque, maître Pichon, et soutenu par la France entière.
Patrick pourrait être le grand-père de Jean-Eudes Gannat – que nous connaissons également, et qui a déjà répondu à plusieurs entretiens de RL – autre résistant objet de l’attention particulière du régime de Macron et des nervis de Mélenchon. Ce jeune homme d’une trentaine d’années, qui ne cache pas son engagement catholique, ses conceptions plus favorables à la Vendée de Charette qu’à la République de Robespierre, ses valeurs culturelles et identitaires, n’hésite pas par ailleurs à occuper la rue, et à soutenir, avec des groupes de jeunes militants, souvent habillés de noir, très combatifs, les combats qu’il juge légitimes. Cela fut le cas à Callac et à Saint-Brevin, et bien sûr le Comité du 9 mai, en mémoire d’un militant nationaliste, Sébastien Deyzieu, tué en 1994, lors d’une charge policière. Nous ne savions pas que la croix celtique et le mot d’ordre « Europe, jeunesse, révolution » étaient la marque de fabrique des fascistes, mais apparemment, il en a été décidé ainsi…
Jean-Eudes est depuis longtemps la cible des gauchistes qui multiplient les demandes d’interdiction contre n’importe laquelle de ses initiatives et essaient de l’agresser, lui et ses amis. Sauf qu’il y a du répondant quand on veut jouer à ce jeu-là. Bien sûr, il a connu la dissolution de son association, l’Alvarium, décidée par Darmanin après avoir dissous Génération Identitaire. Ainsi, lors des émeutes succédant à la mort de la racaille Nahel Merzouk, Jean-Eudes et ses amis avaient-il défendu physiquement leur local, attaqué par une alliance de gauchistes et de racailles, et repoussé victorieusement les assaillants. Bien sûr, certains procureurs, comme le tristement célèbre Éric Bouillard, d’Angers, n’avaient rien trouvé de mieux que de lui imposer une garde à vue (alors que sa femme accouchait) et de demander 4 mois de prison ferme contre lui.

Le même procureur Bouillard s’est encore illustré la semaine dernière, suite à un simple reportage de Jean-Eudes montrant pendant vingt secondes la réalité de Segré et d’une dizaine de migrants afghans, en instruisant un véritable procès en sorcellerie contre lui, demandant, après 48 heures de garde à vue, une comparution immédiate et 4 mois de prison ferme, une obsession chez lui. La mobilisation autour de ce scandale énorme a été telle qu’ils n’ont pas osé aller jusqu’au bout, même s’il doit subir un contrôle judiciaire jusqu’à son procès, en mai prochain, qu’il n’a plus le droit d’aller faire ses courses au Leclerc devant lequel sont les Afghans (quelle mascarade !) et qu’il est privé pour un mois de TikTok et de Twitter.
Chacun à leur façon, Patrick Jardin et Jean-Eudes Gannat sont des résistants respectables qui font honneur à la France et à tous ceux qui refusent de courber l’échine devant la mise à mort de notre pays.
Honneur à eux, et à tous ceux qui les soutiennent et qui mènent le même combat.