
Augmentation de la surtaxe sur les bénéfices, taxe exceptionnelle sur les dividendes, taxe sur le numérique, taxe sur les transports aériens… prévues au budget 2026. Sans compter les normes et les armées de contrôleurs qui passent leur temps à marquer les entrepreneurs à la culotte, les associatifs hystérisés qui viennent contrôler la diversité dans le personnel et les toilettes pour transgenres… entreprendre en France est devenu un luxe, voire une folie et même pour ceux qui existent déjà, les cadavres se comptent par milliers, et pas que des petites PMEs. Aldébaran et ses robots, Casa, Naf-Naf, Jennyfer, CoopBreizh, pourtant installés dans le paysage économique, meurent sans crier gare. Choose France, la dope annuelle du président Macron est incantatoire, si ce n’est surréaliste. Qui choisit vraiment la France aujourd’hui ? Les étrangers sans profession, sans formation et sans intention de travailler, qui viennent pour le confortable matelas d’aides sociales ? Ils ne s’en cachent d’ailleurs même plus tant ils savent que même leur arrogance sera encensée et soutenue.
Plus 5 % de faillites d’entreprises en un an et des niveaux précédemment atteints lors de la crise des subprimes en 2009. Mais il n’y a pas que les conditions taxatoires et confiscatoires qui interviennent pour les entreprises. Tensions communautaires et insécurité sont devenues le lot de pas mal d’entreprises qui déménagent faute de ne pouvoir perpétuellement faire escorter leurs salariés entre leur lieu de travail et les transports en commun. Tout s’imbrique, sur ce volet communautariste pour faire que le travail et en particulier celui des femmes, devienne de plus en plus compliqué. Les féminicides qui font la une en ce moment, avec les déséquilibres financiers au sein des couples, quand madame ne peut plus avoir de carte bleue, par exemple, sont en grande partie liés à la progression d’une contre société dans laquelle la femme est déconsidérée et soumise à l’homme son mari, qui est même parfois le mari de plusieurs femmes, contre les lois pourtant en vigueur. Méfiance aussi des entreprises qui se prémunissent contre le risque de signes communautaires dans les personnels, avec la clé, des risques pour le personnel féminin qui aura à souffrir de la considération moindre de la femme dans cette « culture ».
Taxation, réglementation, manque de formation, diplômes dévalorisés, insécurité dans les transactions et dans l’espace public, s’ajoutent pour générer des coûts insurmontables pour les entreprises, poussant les moins solides à mettre la clé sous la porte et les plus grandes à changer leur siège social de pays. On ne peur pas traiter un par un tous ces paramètres qui s’additionnent. Au RPF, nous proposons de les traiter ensemble en partant de la base, l’école, pour rénover l’enseignement en direction de l’excellence par le travail, de reconnecter le système éducatif aux entreprises. Tout en instaurant la venue des étrangers, quels qu’ils soient, à leurs frais, c’est à dire en coupant toute forme d’aides sociales aux étrangers : ce n’est pas une mesure d’extrême droite, c’est ce que font la quasi totalité des pays de la planète. Egalement, la fin du droit du sol, un moratoire sur les régularisations et les naturalisations, le temps d’un audit et la reprise en main de la sécurité. Cette dernière est devenue taboue puisque pour lutter contre l’insécurité, il va falloir nommer expressément les fauteurs de troubles et donc « stigmatiser », dans le jargon gouvernemental. Or il est évident qu’entre lutter contre la délinquance et ne pas stigmatiser, l’État à choisi de laisser faire pour ne pas stigmatiser.
Sur le volet financier et normatif, les taxes et la complexité doivent cesser. Borloo, dans un éclair de lucidité, a expliqué que nous avions remplacé les ingénieurs et les ouvriers qualifiés par des bureaucrates et des contrôleurs, c’est ce que nous expliquions au RPF. On aurait aimé que le Nordiste s’occupe de cela quand il était aux manettes. Mais il est comme tous les hommes politiques, il a de bonnes idées quand il n’est plus en mesure de les mettre en pratique. Au niveau européen, c’est la même chose, voilà notre Bellamy qui explique qu’il va travailler en direction d’une simplification destinée aux entreprises, lui qui aura voté précédemment la complexification… faire et défaire, voilà le travail des parlementaires, ce qui est censé justifier leurs confortables émoluments. Ils commencent par nous ruiner pour expliquer ensuite qu’ils vont venir à notre secours. Tout cela sous couvert d’un sauvetage hypothétique de la planète alors que l’Europe pèse sept pour cent de la population mondiale et d’une « mixité » heureuse, en forme de soumission graduelle, qui n’a jamais, historiquement, existé avec personne en 1400 ans et qui n’existe actuellement nulle part dans le monde.