Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Une mort de l’élevage national, planifiée…

Nos paysans martyrisés acculés à la faillite forcée, c’est toute notre indépendance alimentaire qui est en péril. Après les accords du Mercosur et celui signé avec l’Inde, voilà que la macronie par l’intermédiaire de cette UE, qu’aucun parti présent à l’assemblée, ne semble décidé à combattre, s’en prend directement à l’outil de production des éleveurs. Des cas de dermatose nodulaire ont été détectés en Savoie, dans le Jura et dans Pyrénées. Bruxelles a imposé la vaccination du cheptel, mais malgré cela, il suffit d’un cas identifié par test, dont on ne sait pas la réelle fiabilité, pour faire abattre tout un troupeau. Fiabilité du test comme du vaccin d’ailleurs. La DNC n’est pas dangereuse en soi, le taux de mortalité pour le bétail oscille entre 5% et 10%. Pourquoi cet empressement à dépêcher plusieurs cars de CRS pour détruire une exploitation ? On remarquera que les FDO sont bien plus efficaces dans ces conditions que lorsqu’il s’agit des points de deal, et les préfets bien plus ardents à les faire intervenir dans ces cas-là…

Si cette maladie ne provoque pas une hécatombe du cheptel et si la viande n’est pas impropre à la consommation, alors pourquoi cet acharnement ? On ne peut y voir qu’une volonté manifeste de tuer nos éleveurs pour faciliter l’entrée sur notre territoire des viandes étrangères, Mercosur oblige. C’est donc bien un plan concerté de liquidation qui frappe notre souveraineté alimentaire, avec la bénédiction des autorités toujours promptes à obéir. Mais cette maladie est-elle une première ? Eh bien non. Figurez-vous que l’île de la Réunion avait été contaminée en 1970, 4% du cheptel avait succombé. Puis une seconde fois en 1992. Là, après quelques tergiversations, le bétail avait été vacciné, certaines bêtes pouvaient même être menées à l’abattoir pour la consommation humaine, avec une autorisation vétérinaire. Fin avril 1992 l’épidémie était jugulée, 10% des bêtes avaient été touchées, aucun abattage massif, aucun risque pour les humains. Oui mais voilà, c’était en 1992 et l’UE ne sévissait pas encore ! La France était souveraine dans ses décisions et surtout ne se laissait pas influencer par un agenda mondialiste qui veut à tout prix imposer ses normes aux dépens des intérêts vitaux de notre pays et de ceux de nos producteurs.

Autre fait, le vaccin utilisé en 2025 n’est pas efficace, selon l’aveu des agriculteurs eux-mêmes, alors qu’il l’était en 1992. Dans ce cas pourquoi ne pas reprendre celui qui a fait ses preuves ? Des laboratoires feraient-ils pression au détriment de l’efficacité, mais dans ce cas, qu’est ce qui peut motiver les pouvoirs publics à s’obstiner de la sorte avec un produit qui ne fonctionne pas ? S’il est clair qu’en 1992, le souci était de sauver les bêtes, en 2025 les priorités ne sont plus les mêmes. On ne comprend pas pourquoi les mêmes causes n’engendreraient pas les mêmes traitements, si ce n’est ce que nous écrivons, qu’il s’agit d’un sabotage de plus de nos ressources, une mise à mort de notre paysannerie et ici plus particulièrement de l’élevage. Le monde agricole est dans le viseur des autorités de Bruxelles, vous savez, cet endroit où tout le monde rouspète pour voter « oui » à la fin. On attend sérieusement que le RN et les oppositions prennent le sujet à bras le corps et sur l’exemple de ce qui s’est passé en 1992, impose le même protocole. Ce devrait être dans les cordes du chef de file du RN, et simplement en s’appuyant sur l’expérience citée, puisqu’il parait qu’il gagne de nombreuses batailles à Bruxelles ces derniers temps, en voilà une qui lui tend les bras. Nous sommes impatients de le voir défendre les paysans chez qui il a un électorat assuré, alors qu’ils se mobilisent pour faire cesser ce massacre et cette mascarade qui aura pour conséquence dans quelque temps de plonger la France dans une nouvelle dépendance, alimentaire cette fois.

Nous ne produisons plus nos munitions, nos médicaments, nos habits, nos outils et bientôt nous n’arriverons plus à nous nourrir ! Macron aura tout détruit sous l’œil bienveillant d’une classe politique complice de l’avoir laissé faire. Ceci va nous obliger à obéir aux puissances étrangères pour avoir le droit de vivre. Voilà pourquoi au RPF nous disons qu’il faut en finir avec cette UE, qu’il est urgent de retrouver notre souveraineté et de remplacer tous les décideurs qui se seront laissés aller à une simple obéissance en lieu et place de dire non et de résister à ce qui apparaît désormais comme une nouvelle trahison. Celle des élites déconnectées, des politicards corrompus et des syndicats de mèche avec les lobbys de l’agroalimentaire étranger. Cette maladie ne nécessite qu’une chose, une vaccination ou des soins efficaces, mais certainement pas l’abattage massif et la ruine des exploitations. Mais la Macronie aura sans doute à cœur de faire ce qu’elle sait faire de mieux, dire que ce n’est pas grave et substituer du chiffre d’affaires par des aides, des subventions, bref de la dette supplémentaire pour accélérer l’agenda de Davos et la mort de la France. Le passé nous a prouvé que cette maladie n’avait rien d’une calamité et pouvait se juguler avec un peu de bon sens. Laissons les paysans gérer leurs bêtes avec l’aide des vétérinaires et surtout sans la pression de l’État et de Bruxelles. Les agriculteurs ont l’habitude de soigner leurs bêtes et de s’en occuper, sans menacer de tuer tous les animaux aux premiers signes de contamination.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/12/04/une-mort-de-lelevage-national-planifiee/

Écrire un commentaire

Optionnel