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Lâché par Trump, Zelensky commence à manger son chapeau

Quelques heures après la prise de la ville de Siversk dans l’est de l’Ukraine, l’un des derniers verrous qui empêchent les forces russes d’encercler les grandes cités de Kramatorsk et Sloviansk, le Zygomyr a commencé à verser de l’eau dans sa piquette. Paniqué car le front s’écroule, les lignes de ravitaillement se délitent, les désertions se multiplient et la cavalerie promise par l’Eurocrature n’arrive pas. Les arsenaux et les caisses des bellicistes sont vides.

Sont également menacés par l’avancée russe Myrnograd, une cité voisine de Pokrovsk, ainsi que la place forte de Kostiantynivka, et le verrou de Gouliaïpolé, plus au sud. Même si, comme d’habitude, les Ukronazis plastronnent sur des victoires imaginaires, démentent leurs reculs et nient leurs défaites. Ils agissent comme les Japonais dans les îles du Pacifique en 1944-1945. Vaincus, submergés, écrasés. Mais interdiction à leurs troupes de se rendre. On se fait tuer sur place et tant qu’il reste un soldat même estropié, on tient la position.

Donald est le maître du jeu, que cela plaise ou non au quarteron des ringards,  Fripounette, le Rosbif, le Boche et le Zygomyr

« Concessions territoriales », les mot tabous ont été prononcés pour la première fois par un allié inconditionnel de Kiev, le chancelier Adolf Hitmerz. Le Teuton au cerveau lent semble avoir compris que ça ne valait pas le coup de sacrifier la Germanie comme en 1945 pour servir un nabot corrompu et prétentieux. Le Zygomyr a serré les dents et n’a pas hurlé au scandale, ce qui est nouveau.

Le refus catégorique de Trump de participer à de nouvelles parlottes stériles (il a été assez promené comme ça !) ainsi que les bombardements accrus des Russes, visant désormais la capitale de l’Ukraine, ont probablement joué un rôle dans la prise de conscience du pygmée que son règne touchait à sa fin. Même si, dans une nouvelle échappatoire pour gagner du temps, il a accepté d’organiser les élections qu’il refusait depuis deux ans.

Donald lui a répondu qu’il fallait d’abord faire la paix pour que puissent voter les soldats sur le front et les millions d’Ukrainiens réfugiés dans le monde. Et qu’il faudrait abroger les lois scélérates qui permettent à Tyranneau et à ses sbires de contrôler l’information et l’administration.

On va en revenir pour l’essentiel aux protocoles de Minsk signés par Kiev mais jamais respectés. Les terres peuplées de Russes à la Russie. Avec un cessez-le-feu concomitant.

Des centaines de milliers de morts et d’amputés, et des dégâts considérables, pour rien. Pour satisfaire la mégalomanie d’un petit clown grotesque de la télé-réalité. Finalement vaincu tant la disproportion des forces étaient patente. Un roquet peut toujours mordiller les pattes d’un ours, mais à la fin c’est lui qui se fait bouffer.

Les alliés déconfits ont pris acte des propositions des États-Unis. Pas nouvelles mais raisonnables, en faveur d’une forme de neutralisation sous conditions du Donbass après le retrait des soudards ukrainiens. Barricadés dans leurs bunkers et terrés dans leurs caves dont ils ne sortent plus après avoir été étrillés lors de contre-offensives calamiteuses. Rentrer dans leurs casernes leur sauverait la vie. Limiter leur nombre garantirait que les néonazis respecteraient cette fois les accords de paix.

Une solution réaliste pour revitaliser la région dévastée et rétablir le contact entre les ex-belligérants et leurs alliés serait la création d’une zone économique libre démilitarisée.

Ce compromis dispose, si le Kremlin l’accepte, que les forces russes ne pénétreront pas dans ce secteur protégé de la région abandonnée par Kiev. En pareil cas, la nouveauté est que le Zygomyr, après maintes réticences, semble se résoudre à retirer du Donbass les soldats ukrainiens et les mercenaires, pour mettre fin à la guerre.

Même si c’est encore une de ses ruses vaseuses, il y viendra tôt ou tard. Poussé par l’avancée de l’armée russe. En toute hypothèse, s’il ne parvient pas à se planquer au fin fond de l’Amazonie, ou dans quelque vallée perdue de la cordillère des Andes, le bouffon tragique devra être jugé et condamné pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Une bonne idée serait d’envoyer son pote l’islamiste Karim Abdul Ahmed Khan, condamné aux USA, le rejoindre dans son cachot. Et en profiter pour détruire, manu militari s’il le faut, son tribunal fantoche que l’Amérique et les gens civilisés récusent.

Si les Ukronazis dégagent, les Russes peuvent rester sur leur zone. Normal, ils ont gagné la guerre. Donald fait les bons choix stratégiques pour renouer les relations indispensables entre les deux super-grands. On ne le redira jamais assez. Sur l’échiquier mondial, le nain de Kiev est moins qu’une chiure de mouche.

Les États-Unis proposent aussi de laisser les régions du Sud à l’armée russe, à commencer par Zaporijia et sa centrale nucléaire. Une lourde responsabilité mais ils font davantage confiance à la science des Russes qu’aux bricolages des Ukrainiens.

Washington offre également, en contrepartie d’un retrait des troupes russes présentes dans les régions de Soumy, Kharkov et Dnipropetrovsk qu’elles encerclent, leur maintien dans celles de Kherson et Zaporijia. La carte commence à se redessiner de façon réaliste. Conformément aux données historiques et ethno-linguistiques de la région.

Pour gagner du temps, l’homuncule déguisé en Rambo, allergique aux consultations populaires, réclame que sur la question des territoires de l’Est et du Sud, il y ait des élections ou un référendum.

Parmi les exigences du vaincu, il y a la question de savoir qui gouvernerait ce territoire libéré que les Américains appellent déjà zone économique libre ou zone démilitarisée. L’histrion dépité voudrait que ses séides en soient les gouverneurs et y fassent la police. Tu peux toujours t’accrocher aux branches, petit homme !

Cet obstiné, immature comme son grand chéri de Paris, refuse de voir la réalité. Il n’a toujours pas compris que, depuis le début du conflit, ça n’a jamais été lui qui décidait. Le grabataire Robinette, manœuvré par des cupides du complexe militaro-industriel agissait comme si l’URSS existait encore, et qu’il devait porter le fer au cœur du communisme. Même discours délirant que celui de Clinton contre la Serbie, ses faux charniers et ses massacres bidonnés.

Le nabot a fait ce qu’on lui ordonnait… À présent, Donald veut une paix rapide satisfaisante pour les USA et la Russie. Le gnome obéira. Ou il lui arrivera un accident. Plus vite que prévu.

Fripounette, Nick Starmer et Adolf Hitmerz se décarcassent comme Ducros pour sauver le soldat Zygomyr. 

Nonobstant les efforts dérisoires de ces fantoches, le Kremlin a salué les déclarations du POTUS qui a évoqué les causes réelle du conflit, à savoir le martyre enduré par les Russes du Donbass depuis 2014, persécutés, dépouillés et assassinés par des miliciens néonazis encouragés par Kiev. Avec le refus de respecter les accords de Minsk qui, au départ, posaient les bases d’une autonomie régionale pacifique.

Trump a également insisté sur le fait que la Russie avait toujours eu l’avantage militaire sur le front en Ukraine. Les milliards dilapidés n’ont fait que retarder une échéance inéluctable. Il était temps que le Zygomyr et ses alliés cessent de se bercer d’illusions. Les merdias qui avaient fait un héros de BD d’un minus pétochard, capricieux et intellectuellement limité, commencent à décrire ses tergiversations avec moins d’aménité.

Restent les gesticulations dérisoires des trois dirigeants européens qui ont du mal à comprendre que les carottes sont cuites, et se croient indispensables. Alors que Trump les ignore et Poutine les méprise. Ces guignols prétendent organiser une coalition pour assurer la sécurité de l’Ukraine dans le cadre du futur cessez-le-feu ou accord de paix. Ce serait risible. Si ce n’était pas encore une fois, Nicolas qui paye.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/lache-par-trump-zelensky-commence-a-manger-son-chapeau.html

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