Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Le statut "CHAO" par Zenit Belgique

    « Nous devons donc distinguer deux types de chaos : le « chaos» postmoderniste équivalant à une confusion, un genre de post-ordre, et un Chaos grec, comme pré-ordre, quelque chose qui existe avant que ne naisse la réalité ordonnée. Seul le deuxième peut être considéré comme Chaos au sens propre du mot. Ce second sens (en fait, l’original) devrait être examiné avec attention d’un point de vue métaphysique. » Alexandre Douguine, La Métaphysique du Chaos, The Fourth Political Theory

    Poupée russe et cheval de Troie

    La Dissidence, cette aventure prérévolutionnaire, prolétarienne et systémique dans sa réalisation néo-souverainiste et son orientationnéo-patriotique, et, par extension et couplage des concepts de néo-souverainisme et de néo-patriotisme : une direction néo-antifasciste, se révèle, comme étant une pièce du Grand Jeu contre-initiatique du mainstream politico-médiatique. En refusant catégoriquement, dans l’habitude normalisée de son confort réifié, de dépasser le stade primitif de mouvement de convergence, de se radicaliser, et d’œuvrer pour atteindre le stade opératif de mouvement politique.Mouvement de convergence qui avait la vocation métahistorique dethéoriser une identité politique à part entière pour, et avec, laGénération dissidente, une identité complète et propre à définir laréalité de mouvement agissant à l’épanouissement de l’être dans une jouissance non-mercantile, et donc, d’accepter, de relayer toutes initiatives, spontanées et issues du peuple mythifié duquel se revendique les avants-gardes de la Dissidence, de faire avancer, en priorité, la critique positive de ce mouvement de convergence…Mouvement de convergence qui avait la prétention historique depratiquer cette identité politique radicale, cette philosophique intégrale, pour et dans la critique permanente de cette métapolitique totale vers une Révolution primordiale ; conservatricetraditionaliste etimpériale. Mais qui, après dix ans d’aventure, est resté un fourre-tout sans identité, sans doctrine, sans cohérence, sans politique, sans tradition, sans être… Un fourre-tout idéologique dont les avants-gardes fonctionnent comme des lobbys de pressions, d’intronisation et d’exclusion, à l’intérieur de la sphère dissidente : cette effervescence du monde des idées dans ce bouillonnement prérévolutionnaire à qui le post-libéralisme, le tout-argent sans morale, offre tous les débouchés numériques de la nouvelle i-conomie globalisante de la Marchandise liquide et du Spectacle stroboscopique.

    « Tous les lamentables experts syndicalo-politiques du pouvoir de la pourriture marchande appuyée sur toutes les machineries numériques de l’intoxication sont partout réunis en permanents conciliabules pluridisciplinaires de vacuité et d’ineptie pour tenter de trouver les moyens de donner à un ordre moribond une dernière apparence de survie…Mais rien n’y fera… » Francis Cousin, « Cette fracture qui approche…‏ »Scriptoblog

    « Métapolitique » authentiquement dissidente qui aurait pu s’exprimer, par exemple, au sein d’un Ordre secondaire et populaire opératif (Casapound) avec des orientations cohérentes et des avancements radicaux, mais factuellement, la Dissidence, sous influence et haute direction des Dissidences emblématiques, officielles et mainstream, dans l’incapacité de se remettre en question ou de proposer ce travail d’auto-critique, participe, de plus en plus clairement, aux nouvelles oppositions nécessaires au bon fonctionnement du système de croissance exponentielle (Oui, le « système » renouvelle lesoppositions nécessaires à son bon fonctionnement et/ou essaye deretourner les résistances éventuelles à ces oppositions nécessaires, car c’est bien à nos alliés potentiels, à l’intérieur et à l’extérieur de la Nation, qu’il faut mettre la pression. la Dissidence, n’échappe pas à la règle de cette tentative perpétuelle de retournement, et comment en serait-t-il autrement ? Mais ni la Dissidence, les militants du quotidien les avants-gardes, n’ont jamais évoqué cette éventualité et formulé cette critique positive…), ou, à la disputation interne sur la gestion du Libéralisme entre libéraux, et ce, dans la propension des dissidences emblématiques et officielles à assumer, parfois dans un culot monstre, que leurs critères d’adoubement, pour déterminer une dissidence effective, c’est-à-dire pouvant lui servir de marche pied, une Dissidence à usage unique, en dehors du fait qu’elle ne doit pas s’opposer au ronron néo-souverainiste - qui à autant à voir avec leprincipe de souveraineté que le libéralisme avec le principe de liberté- et/ou d’oser produire une critique, même positive, du mouvement, sont des critères marchands et spectalistes d’intérêts commerciaux gagnant/gagnant en terme de revenus, d’audience, de quantité et de publicité réciproque, ET, l’obligation de valider l’orientation néo-souverainiste républicaine et démocrate vers une révolution des masses prolétaro-quenelliennes, un modèle révolutionnaire post-bourgeois à l’image de la réaction de 1789, de Mai 68 ou plus récemment des Printemps arabes ou du Mariage pour tous,phénomènes révolutionnaires que les dissidences réfutent premièrement comme direction mais dont elles valident finalement toutes les subversions qui les générèrent comme méthode pour l’expansion de la Dissidence…

    Lire la suite

  • Pourquoi le vol d’Ariane 5 nous intéresse ?

    "Vos journaux ont parlé de ce vol de la fusée française qui emporte le dernier cargo spatial automatique ravitaillant la Station Spatiale Internationale. Le nom de ce cargo est intéressant : « Georges Lemaître ». Malheureusement, peu de média ont donné la raison de ce nom.

    Qui est cet homme ? Immense scientifique belge du XXème siècle (1894 – 1966), Georges Lemaître est un des découvreurs de la théorie du Big-Bang par sa théorie de l’atome primitif. Il théorise également l’univers en expansion, ce qui sera confirmé expérimentalement plus tard. Assez proche d’Albert Einstein, on dit même qu’il corrigeait ses feuilles de calcul !!! (Afin d'obtenir une bourse de voyage, il rédige en 1922 un mémoire sur La Physique d'Einstein, lui permettant de remporter le prix). Il est considéré comme un des plus grands astrophysiciens de notre temps. C’est la raison pour laquelle son nom a été donné au dernier cargo spatial.

    LEn quoi retient-il notre attention ? Il a une autre particularité : ce grand scientifique est prêtre catholique ! Monseigneur Georges Lemaître a été ordonné prêtre en 1923 ; en 1960, le pape Jean XXIII le nomme président de ce qui est aujourd’hui l’Académie Pontificale des Sciences. Il contribuera au dialogue entre Foi et Science par les distinctions de domaine de chacune : fidèle à la conception thomiste, il distingue la notion de « commencement » de celle de « création », la première étant une entité physique, la seconde un concept philosophique.

    En 1965, Odon Godart annonça à son ancien collègue et mentor alors très malade, la découverte du fond diffus cosmologique par Arno Penzias et Robert Wilson. Cet « écho disparu de la formation des mondes », comme Mgr Lemaître l'avait poétiquement appelé, confirmait le scénario cosmologique dont Lemaître avait été l'un des premiers artisans.

    Michel Janva

  • Bloc-notes de L’AF 2891 : La leçon de Bouvines

    HOLLANDE A PERDU LES FRANÇAIS

    Ce 14 juillet au matin, c’est un silence de mort, entrecoupé de quelques sifflets et huées appelant à sa démission, qui l’ont accueilli, lorsqu’il est apparu, debout dans sa voiture, sur les Champs-Elysées.

    Des sifflets qui ne faisaient que rendre encore plus impressionnant ce silence glacial : pas un applaudissement. Seul résonnaient sur le pavé les sabots des chevaux des gardes républicains. L’homme était immobile, raide, le regard vide. Infiniment seul, en dépit du chef d’état major des armées, présent à ses côtés. Il ne se fait plus aucune illusion, et cela se voit.

    Oui, il a perdu les Français. Enfermé dans un déni permanent de réalité, comme cette annonce d’une reprise fragile, ce même 14 juillet, qu’il est le seul à entrevoir, il cristallise, à juste titre, d’ailleurs, puisque nul ne l’a contraint à exercer ses fonctions, plus encore qu’un mécontentement, une déception généralisée devant ce qu’il incarne : un Etat qui a renoncé.

    DES ÉLITES QUI TRAHISSENT

    Faire des sacrifices, les Français y seraient prêts, quoi qu’en disent les oligarques et leurs porte-parole, profiteurs du régime mais donneurs permanents de leçons, devant le prétendu refus de nos compatriotes de voir remis en cause leurs « acquis ». La France serait « irréformable » ! De là viendraient tous nos maux ! Encore faut-il savoir pour quoi, voire pour qui, accepter des sacrifices. Quand les élites passent leur temps à dénigrer la nation, à désintégrer la société, à diffamer son histoire ou à saper les fondements de sa cohésion, quand elles promettent, le plus rapidement possible, un traité transatlantique qui soumettra les Français aux intérêts américains et à la loi d’airain d’un marché dominé par le dollar, comment croire à leur souci du bien public, comment supporter qu’elles demandent à ceux-là même qui auront le plus à souffrir des conséquences de leurs reniements, de faire les sacrifices nécessaires ?

    LE TROU NOIR DE LA LAÏCITÉ

    Comment croire aussi nos hommes politiques lorsque, droite et gauche confondues, ils appellent à l’interdiction de manifestations sous prétexte de refuser l’importation sur notre sol de conflits étrangers, quand on sait qu’ils ont méthodiquement organisé, depuis plus de quatre décennies, via une immigration galopante, la communautarisation de notre pays, l’effacement de sa culture, le rejet de sa civilisation ? Il faut « faire France », disent les uns, dans le reniement de la langue et de l’histoire nationales, après que les autres ont plaidé que la France « dont nous défendons les couleurs [...] c’est une France à laquelle chaque nouvel arrivant, chaque nouveau Français apporte son histoire, les richesses de son origine, sa contribution » — nous ne rappellerons jamais suffisamment ces mots de l’imposteur Sarkozy.

    Comme le rappelait Marie-Madeleine Martin, dans son admirable et plus que jamais indispensable Histoire de l’unité française, si nos rois « acceptaient d’assimiler le plus promptement possible aux régnicoles [ie : les natifs], les nouveaux venus qui montraient leur accord avec nos coutumes et nos lois, et leur désir de s’intégrer dans la famille française, encore fallait-il le secours du temps, la preuve d’une longue fidélité ou l’éclat de quelque service extraordinaire pour justifier cette adoption. Le père de famille ne perdait jamais de vue l’intérêt premier de ses proches, s’il restait capable de se reconnaître comme membre du genre humain »... Mais à quelles coutumes ou à quelles lois peuvent s’assimiler de nouveaux venus, voire des immigrés de deuxième ou troisième génération à qui on n’a toujours pas appris ce qu’était être Français, lorsque ces coutumes ou ces lois se résument à une laïcité pensée comme la négation même de la France ancestrale, véritable trou noir où s’est désintégré le corps spirituel de notre pays, au profit d’une abstraction aussi indigeste que nihiliste ? Plus simplement, quelle signification peut avoir une nationalité qui est bradée ? Et fait l’objet de soldes permanents ?

    LA LEÇON DE BOUVINES

    La France est à la croisée des chemins. Entre des partis politiques qui étalent sans fard leur putride décomposition, des élites dont les Français n’attendent plus rien, un Etat qui a renoncé publiquement à assumer le bien public, une Europe qui exprime avec cynisme son asservissement, il est vrai originel, à l’empire américain, et un monde qui devient d’autant plus dangereux, que la France n’y fait plus entendre une voix différente, d’équilibre des puissances, mais a rejoint le camp atlantiste, il ne peut être question de nous masquer les raisons de nous inquiéter. Il y a cent ans, l’impérialisme allemand déclarait la guerre la plus dévastatrice de l’histoire européenne, sans que la république française ait su préparer un conflit, pourtant prévisible. Aujourd’hui, l’impérialisme américain souhaite enfermer les Européens dans une logique de blocs où, nous Français, avons tout à perdre car cette logique est la négation même de notre politique millénaire de refus de se soumettre à la loi des empires.

    Au contraire, s’appuyant sur un peuple qui manifestait pour la première fois de manière aussi flagrante son unité, Philippe-Auguste remportait le 27 juillet 1214 la bataille de Bouvines, « [s’occupant] d’en finir avec les alliés que Jean sans Terre avait trouvés en Flandre lorsque l’empereur Othon s’avisa que la France grandissait beaucoup. Une coalition des rancunes et des avidités se forma : le Plantagenêt, l’empereur allemand, les féodaux jaloux de la puissance capétienne, c’était un terrible danger national. Si nous pouvions reconstituer la pensée des Français en l’an 1214, nous trouverions sans doute un état d’esprit assez pareil à celui de nos guerres de libération. L’invasion produisait déjà l’effet électrique qu’on a vu par les volontaires de 1792 et par la mobilisation de 1914. » (Jacques Bainville, Histoire de France)

    En 2014, la situation est plus critique que jamais. Nous n’avons plus de roi, mais une république redevenue acéphale ; les vassaux des impériaux et des féodaux ont soumis l’Etat ; quant aux Français, s’il est criminel de croire qu’ils ont perdu les qualités de leurs ancêtres, la république leur a fait perdre leur unité. Plus que jamais, il est de notre devoir de concourir à l’armement moral de nos concitoyens en ces temps incertains pour le pays. Et de préparer le retour du roi. Car nous avons besoin d’un nouveau Philippe Auguste pour soumettre les ennemis de la France, tant de l’intérieur que de l’extérieur, avant qu’un nouveau saint Louis, petit-fils du précédent, ne redonne à notre pays le vrai visage de son universalité.

    François Marcilhac - L’AF 2891

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Bloc-notes-de-L-AF-2891-La-lecon

  • “Al-Qaïda en France”, le livre choc de Samuel Laurent

    Haletant, le nouveau livre de Samuel Laurent, “Al-Qaïda en France”, se lit comme un roman d’espionnage. Consultant international et homme de terrain, l’auteur s’était tout d’abord lancé dans une enquête sur les djihadistes français partis en Syrie. Mais il va rapidement découvrir l’existence d’un réseau bien plus large qu’il ne l’aurait imaginé, et qui va l’emmener jusqu’en Somalie pour finir dans les cités françaises où règnent en maître les salafistes.

    Profitant de ses contacts au Sahel et en Lybie, il va réussir à s’introduire dans la brigade de Mohammed Fizourou ou auprès de l’émir de Jabhat al-Nosra, au bout de plusieurs mois de négociations. C’est là qu’il va comprendre ce qui se trame…

    Constatant la disparition de certains français du camp où il réside du jour au lendemain, il en vient à découvrir que certains djihadistes français, ceux qui forment l’élite d’Al-Qaïda, après avoir passé un processus de sélection rigoureux sont envoyés en Somalie.

    Ni une ni deux, l’auteur s’envole pour la suite de son enquête à Mogadiscio puis dans les repaires de shebabs. Il découvre alors le point clé de ces réseaux: ceux ayant été identifiés comme les meilleurs français djihadistes sont exfiltrés dans ces camps islamistes afin de préparer leur retour en France où ils seront des agents dormants d’Al-Qaïda, prêt à frapper lorsque l’ordre leur sera transmis. Après des semaines de jeu de piste, il finira par rencontrer en France “l’émir” d’Al-Qaïda en charge de ce groupe terroriste.

    Décrivant dans le détail le fonctionnement de cette structure, ces méthodes, à grand renfort d’interviews exclusives et de témoignages passionnants, l’auteur fait des révélations fracassantes sur ces réseaux de l’ombre présents à l’heure actuelle en France. Glaçant.

    http://fr.novopress.info/173369/al-qaida-en-france-le-livre-choc-de-samuel-laurent/

  • Anglicanisme : conversions nombreuses au catholicisme

    Lu sur Riposte catholique :

    "environ un dixième des prêtres catholiques de l’Église anglaise sont des convertis de l’anglicanisme. Selon elle, les conversions ont commencé en 1994, lorsque les anglicans ont commencé à ordonner des femmes « prêtres », et n’ont cessé d’augmenter, notamment à partir de 2001. 389 prêtres catholiques, dont 87 appartiennent à l’ordinariat de Notre Dame de Walsingham, ont donc fait le choix de quitter une église percluse des maux du modernisme, un exemple très révélateur de l’état de déshérence où se trouve l’église anglicane actuellement, alors que la minorité catholique est de plus en plus dynamique dans le pays."

    Michel Janva

  • « Mgr » Georges Pontier, président des évêques de France : franc-maçon et gauchiste !

    Les évêques français sont généralement, de fait, des militants de gauche, mondialistes et invasionnistes, etc.

    Georges Pontier est l’un des pires.
    Généralement considéré comme franc-maçon (du Grand Orient !), il avait fait parler de lui en appelant au boycott du film de Mel Gibson, La Passion du Christ, car pouvant attiser l’antisémitisme…

    Le numéro actuel de la lettre confidentielle Faits & Documents (disponible ici), d’Emmanuel Ratier, lui consacre un portrait aussi détaillé qu’accablant. En voici l’introduction :

    Président de la Conférence des évêques de France (CEF) depuis avril 2013, Mgr Pontier, a su, en un an, très discrètement, imposer un prêchi-prêcha droit-de-l’hommiste de stricte observance.
    Partisan du sacro-saint « dialogue inter-religieux », immigrationniste radical, antinational rabique, ardent défenseur des Roms, ce « souverain poncif » se pare des atouts de l’« Évangile du Christ » pour se faire l’apôtre de sa vision systématique, tout en arguant que ce n’est pas le rôle de l’Église de faire de la politique.
    Ainsi Georges Pontier, sur son « ton chantant et volubile » (Trombinoscope des évêques, de Golias97), distille-t-il à merveille un discours qui ferait passer l’EHESS ou le parti radical de gauche pour des officines réactionnaires.

    L’élection à la tête de la CEF de cet homme aussi habile que discret fut surtout la traduction d’un rétropédalage de l’épiscopat français par rapport à la Manif pour tous. Une mise au diapason idéologique de l’Église de France sur ce que le PS compte de plus à gauche, alors que les entrées en séminaire ne cessent de baisser (moins de 100 ordinations par an). Mais cela ne semble pas inquiéter outre mesure notre homme, qui déclare, sans rire, « nous vivons une époque où massivement, le christianisme perd de son influence, mais où qualitativement, il devient plus signifiant. »

    http://www.contre-info.com/