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  • Comment animer et faire rayonner une « cellule » d’étude et d’action ?


    J’ai décidé de normaliser le travail de mon équipe mobilisée depuis 2 ans maiscomment animer et développer ce groupe pour qu’il rayonne ?

    Jean Ousset dans son livrel’Action au chapitre III de la cinquième partie, « Notes pour l’action individuelle » (p. 247 à 264), propose 40 notes pour une action efficace à ce niveau d’action personnelle dont nous avons pu mesurer la pertinence ces derniers mois. A relire quand les  vacances nous donnent l’occasion de … préparer la rentrée. Extraits des notes 21 à 26 : 

    Déjà parcourus les semaines précédentes ….. 

    1. Des hommes décidés à agir
    2. L’entente d’un petit nombre d’amis
    3. Parlez de notre travail
    4. Pas de fausse discrétion
    5. Pas de fausse politesse
    6. Cependant, la vérité n’est pas une matraque...
    7. Le courage d’être vrais
    8. Pas de vains scrupules
    9. L’art de convaincre
    10. Parler simplement
    11. Se méfier des cérébraux
    12. Travailler
    13. Noyau mou = pépin
    14. Il faut oser
    15. Diffuser les ouvrages
    16. Ecrivez à vos amis
    17. Faites souscrire
    18. L’animation
    19. Efficacité des groupes, cercles, cellule
    20. La cellule, pépinière de futurs chefs

    21. Règles simples 

    On peut dire que l’essentiel tient en quelques règles simples :

    • Stimuler les passifs par des questions directes.
    • Empêcher les bavards ou les « savants » de gêner toute autre participation que la leur.
    • Contrôler la répercussion des théories avancées ou des situations évoquées sur la sensibilité du groupe.
    • Empêcher que cette sensibilité s’attache plus à l’accessoire qu’à l’essentiel.
    • Contrôler la compréhension de chacun et sa participation.
    • Veiller à la persévérance et à la continuité du travail.

    22. Tenir

    Tels membres qui disparaissent ne doivent pas être portés nécessairement comme ayant « lâché ». Ils peuvent avoir pris du champ, être allés digérer une proposition difficile. On sera surpris de les voir reparaître, définitivement acquis, après un certain temps.

    Si le travail est sérieux, la doctrine sûre, on ne peut douter du résultat. La vérité chemine insensiblement. Elle tenaille l’esprit, même rebelle. Elle prépare les cœurs. En conséquence : ne jamais manquer de revenir auprès de telles personnes rebutées lors des premiers contacts. La persévérance de ces démarches est un facteur important de la propagation des idées.

    Ne pas oublier que le succès attire. Beaucoup ne viendront pas au début, sans objection sérieuse. Tenez six mois, un an. Vous les verrez rejoindre pour cette seule raison : vous avez tenu.

    23. Périodicité des rencontres

    Le plus souvent possible. La difficulté réside dans la juste détermination de ce dernier mot, l’excès pouvant briser le groupe auquel on demande trop.

    Certes, il importe que les membres de la « cellule » se réunissent, se rencontrent régulièrement et assez fréquemment. Se garder de croire, pourtant, qu’il n’y a cellule qu’aux heures de ces réunions ou de ces rencontres. La cellule est essentiellement un noyau d’hommes qui se veulent agissants et rayonnants. Et ce n’est pas forcément au cours de leurs rencontres qu’ils le seront le plus... Leur réunion n’a pour but que de perfectionner leur formation, de renforcer leur union, de favoriser leur concertation, etc.

    Cela dit, l’expérience prouve qu’une bonne fréquence est celle de la rencontre hebdomadaireLes réunions bimensuelles sont un minimum. Au-delà, le travail n’est plus sérieux. A la moindre absence le trou à combler est de deux mois : formation nulle.Nous refusons de croire à l’efficacité des cercles qui ne se réunissent pas au moins tous les quinze jours.

    24. Importance numérique de la cellule

    Un dizaine maximum. A l’extrême limite : une douzaine. Reste que dans un groupe de cinq à huit le travail est plus facile, plus agréable même que dans un cercle trop important ou étriqué. Pas de règle fixe cependant, la recherche formaliste d’un mieux entraînant souvent des catastrophes.

    25. Familiarité

    Chaque cellule a sa psychologie propre. Elle forme un tout vivant. A en déplacer les membres imprudemment, on risque de se trouver sans personne en peu de temps. Respecter le plus possible cette intimité, cette familiarité des cellules. Sans quoi les discussions perdront de leur franchise, de leur liberté. Les plus timides hésiteront à confesser leur ignorance et à demander des explications.

    26. Rayonnement

    Mais cette intimité de la cellule serait un mal si elle l’empêchait par là de rayonnerNormalement une cellule bien vivante attire des « nouveaux ». Psychologiquement, d’ailleurs, il est impossible qu’une cellule puisse continuer longtemps si elle n’est animée d’aucun esprit de conquête.

    Il serait insensé qu’une cellule tourne au cercle fermé où l’on bavarde gentiment et où l’on se congratule réciproquement de professer la vérité.

    Ne jamais oublier le but, dont la cellule n’est que le moyen.

    Ce but est le rayonnement de la vérité ; et le moyen : la formation intensive, systématique d’un certain nombre d’hommes appelés à être les agents de ce rayonnement. 

    A suivre …la semaine prochaine…

    Lire et télécharger dans son intégralité l’Action au chapitre III de la cinquième partie, « Notes pour l’action individuelle » dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre une initiative qui corresponde à vos « talents » contacter le service d’information d’IchtusCe livre l’Action de Jean Ousset est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige

  • Tout se combine au seul détriment du pays !

    Crise politique ! Crise de régime ! Crise économique et financière ! Crise de société ! Crise morale ! Crise identitaire ! Tout cela se combine, au seul détriment du pays.

    Ainsi les événements vont leur cours - rapide ces jours-ci ! - conformément à ce que nous annonçons, analysons et prévoyons depuis plusieurs années. 

    Hilaire de Crémiers, notamment, en a démonté les mécanismes profonds dans Politique magazine, et nous n’avons cessé d’y faire écho, dans lafautearousseau.

    Ce qui nous apparaît très clairement, c’est que nous n’avons pas affaire à une simple crise politique - ni d’ailleurs économique - banale, dont on sort comme d’un accès de fièvre passager. Nous avons affaire à une crise profonde où divers éléments interagissent qui menacent et même remettent en question, nos institutions, notre économie, nos finances, publiques et privées, notre organisation sociale, notre identité nationale et, au delà, notre civilisation elle-même, dont on ne peut se dissimuler qu’elle est déjà gravement atteinte. [...]

    La suite sur La Faute à Rousseau

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tout-se-combine-au-seul-detriment

  • Le lobby LGBT s'affiche au FN

    Lu dans Minute :

    "Mais quelle est donc la ligne du Front national sur le mariage des homosexuels ? D’un côté, Marine Le Pen affirme qu’elle l’abrogera sitôt arrivée au pouvoir. De l’autre, des élus FN célèbrent le mariage… de candidats du Front national avec des « époux » de même sexe ! Exemples tout frais dans le Lot-et-Garonne et en Gironde.

    Aux municipales de mars dernier, Laurent Samuel était en 8e position sur la liste du Rassemblement Bleu Marine conduite, à Tonneins dans le Lot-et-Garonne, par Maryse Aubert, une secrétaire à la retraite. Le scrutin s’est bien déroulé. Le RBM, avec près de 22 % des voix, a obtenu trois élus. Et samedi 9 août, Maryse Aubert a obtenu du maire divers droite au beau nom de Dante Rinaudo l’autorisation de célébrer le mariage de son ancien colistier. Jusque-là, rien d’extraordinaire. Ce qui est un peu moins ordinaire est que Laurent Samuel, 33 ans, VRP, candidat mariniste donc, a épousé Laurent Delage, 42 ans, chef de couvoir (celui qui dirige l’équipe chargée de veiller à la bonne éclosion des oeufs dans une entreprise avicole). [...] Et tant qu’à faire, Maryse Aubert ne s’est pas contentée de faire le service minimum. «Monsieur le Maire a souhaité faire un discours de bienvenue aux mariés – et quel discours ! – avant que je ne fasse le mien. Ensuite, comme il n’était pas censé rester assister au mariage, je l’y ai invité et, ravi, il s’est retiré en arrière me laissant officier ; puis nous sommes allés tous les deux faire des photos avec les mariés. Monsieur le Maire m’a félicitée pour mon courage. » L’élue FN – les listes RBM ont été dé posées en préfecture sous l’étiquette FN – a aussi avancé cette justification totalement hors sujet : « J’ai célébré ce mariage à titre amical à la demande des mariés, je suis républicaine et au FN on respecte les lois »… Et on s’affiche tout sourire, écharpe tricolore en bandoulière, pour la photo souvenir" :

    T

    Et ce n'est pas un cas isolé :

    "Damien Obrador, lui, est le seul élu du Front national à Cabagnac-et-Villagrains, petit bourg d’environ 2 000 habitants en Gironde, au sud de Bordeaux. [...] Le jeune homme – il a tout juste passé la vingtaine – vient de se porter candidat à l’élection au comité central du Front national qui aura lieu lors du prochain congrès, en novembre. Or Obrador vient de faire mieux que Maryse Aubert. Samedi dernier 23 août, ce n’est pas un mais deux colistiers qu’il a mariés ! Il a même assuré la promotion de cet événement dès le dimanche sur les réseaux sociaux : «Heureux d’avoir célébré hier conjointement avec Monsieur le Maire, l’union d’Arnaud et Mathieu, deux ex-colistiers » ! Sur Twitter, le faire-part, accompagné de sa photo en compagnie des deux « époux », voisine avec une Marianne enveloppée dans la flamme tricolore du Front national… [...]

    Obrador [...] avait déjà eu l’honneur de nos colonnes pour s’être prononcé pour le « mariage pour tous » (« Le gouvernement socialiste doit être courageux pour faire passer la loi. Je l’encourage ») et pour avoir défilé dans les rues de Bordeaux avec la Lesbian & Gay Pride locale. [...] Damien Obrador avait persisté : « Beaucoup de jeunes du Front national sont pour le mariage gay, et beaucoup sont gays euxmêmes. A titre personnel, je suis même ouvert à un débat sur la procréation médicalement assistée (PMA) et sur la gestation pour autrui (GPA).»"

    Michel Janva

  • Une idéologue du genre préside aux destinées de l’école française

    Pour Jeanne Smits, on a toujours tort de penser qu’on a touché le fond :

    "[...] Najat Vallaud-Belkacem est non seulement au service de cette pensée unique, elle en est une pasionaria. Notez que cela laisse ouverte la question de savoir si elle est elle-même une « penseuse » de la pensée unique. Seul importe ceci : elle la répand, la promeut, l’impose. Elle a fait de l’« égalité » un absolu, qui écrase tout sur son passage (ce qui est bien dans la nature de l’égalité révolutionnaire).

    A ce titre le poste de ministre des Droits des Femmes lui allait comme un gant. Elle était déjà chargée des droits LGBT au parti socialiste, et s’est engagée en faveur du « mariage » des homosexuels. En quoi elle ne fait qu’exprimer la ligne du parti, pourrait-on dire. Mais ses convictions l’ont menée à inscrire cette lutte dans un ensemble, qui va de la promotion de la parité à la direction d’une mission de lutte contre l’homophobie sous Ayrault ; c’était elle, l’instigatrice des ABCD de l’Egalité.

    Que ce soit elle qui prenne maintenant – et malgré les protestations qui ont abouti au « gel » de l’expérimentation autour de ces parcours dans certaines académies – la direction de la rue de Grenelle, c’est tout un symbole. Un pied de nez à ceux qui ont cru que le gouvernement faisait marche arrière.

    Najat Vallaud-Belkacem a participé à la révision des lois bioéthiques, qui a consacré le droit de recherche sur l’embryon. Elle a soutenu et promu l’avortement : que ce soit à travers son remboursement à 100 % mis en place comme une priorité par le premier gouvernement de François Hollande, par lacréation du site officiel sur l’« IVG » pour assurer une bonne « information » des femmes qui risqueraient de changer d’avis en tombant sur des sites parlant des inconvénients de l’avortement et des possibilités d’obtenir de l’aide pour garder leur enfant, et enfin par la suppression du mot « détresse » de la loi sur l’avortement légal dans la loi sur l’égalité promulguée symboliquement le 4 août dernier. 

    Cette loi sur l’égalité « femmes-hommes » (respectez bien l’ordre, il y a désormais des égalités qui ne sont pas symétriques) a pour but de « changer les mentalités », comme elle l’a elle-même déclaré lors de ses derniers discours en faveur de ce texte qu’elle a porté. Elle a pour objectif de faire peu à peu disparaître les « stéréotypes de genre », que ce soit à la tête des entreprises du CAC 40 ou dans l’intimité des foyers.

    Elle a tué le « bon père de famille » : en chassant ces mots de tous les codes du droit français, la loi a signé l’aboutissement de la lutte contre toute autorité paternelle, sacralisé la haine du père. 

    Retenez bien la dernière phrase de l’exposé des motifs de cette loi qui porte la marque de NVB : la politique pour l’égalité devra comporter « des actions visant à porter à la connaissance du public les recherches françaises et internationales sur la construction sociale des rôles sexués ». Les mots n’y sont pas, mais il s’agit bien de l’idéologie du genre. Oui, c’est une idéologue du genre qui présidera aux destinées de l’école française désormais.

    La nomination de Najat Vallaud-Belkacem au poste de ministre de l’Education nationale (et du décervelage, et de l’endoctrinement) n’est pas un pied de nez, pardonnez la faiblesse de l’expression. C’est un crachat à la figure des familles. Une déclaration d’intention totalitaire."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/08/une-id%C3%A9ologue-du-genre-pr%C3%A9side-aux-destin%C3%A9es-de-l%C3%A9cole-fran%C3%A7aise.html

  • L’État Islamique : d’une fabrication sioniste au Contrôle mental – par Laurent Glauzy

    « Les massacres en Irak provoquent la mort de cinq cents Yézidis ». « Des femmes et des enfants ont été enterrés vivants », « 300 femmes réduites en esclavage sexuel par le calife », « Des dizaines de milliers de Yézidis et de chrétiens un exode », « Les braves peshmerga (tant aimés par Israël) ont ouvert un corridor humanitaire », etc. Les titres de la presse sont composés sur ce même moule. Et, une fois de plus, les envoyés spéciaux nous assurent que ces mensonges sont « aussi vrais que terribles ». Toutes ces tragédies ont au moins un avantage : elles font oublier les atrocités de Gaza, les images de morts et de destructions de la nation sioniste.

    Cette fois, ça tourne mal pour Sion. Dans le monde entier, les goyim s’indignent du génocide contre le pauvre peuple palestinien, seul pays arabe à ne pas être vendu à l’entité sioniste. Pour redevenir les victimes, cette fois, il n’est nul besoin de recourir à l’ancienne mesure propagandiste, à savoir de faux écrits antisémites sur les murs des capitales européennes donnant prétexte à des articles frémissant de civilité sur la retour de la « bête immonde ». On a même organisé une campagne contre un monstre sacré du « droit humanitaire », Amnesty International, affublé d’antisémitisme, parce qu’il menaçait de montrer les atrocités commises à Gaza dans un futur procès au Tribunal international.

     

    Le journal londonien The Times a même refusé un article d’Elie Wiesel expliquant que, à Gaza, le Hamas avait tué des enfants palestiniens : ces victimes innocentes n’ont pas été tuées par des tirs juifs. La voix du « grand survivant » ne pouvait pas être plus haute et plus vibrante : « Les juifs ont refusé la pratique de sacrifier des enfants il y a 3 500 ans. Cette fois-ci, c’est le Hamas. » « Dans ma vie, j’ai vu des enfants juifs jeté dans le feu », écrit Wiesel, sans en expliquer les circonstances, bien que sa mémoire ne cesse de s’enrichir sur les « atrocités des camps ». Il ajoute même : « Et maintenant, je vois des enfants musulmans utilisés comme boucliers humains, dans les deux cas par des adorateurs du culte de la mort, que l’on ne peut distinguer des adorateurs de Moloch. »

    Le Times refuse E. Wiesel

    Alors, que faire, même si le Times n’a pas voulu l’article « torche-balle » de cet Elie Wiesel ?

    Heureusement, le Calife est apparu. Un musulman plus mauvais que les Israéliens, qui accomplit plus d’atrocités que Sion et la « glorieuse » Tsahal. Il enterre des enfants yézidis vivants et tue les chrétiens. « Abou Bakr al-Baghadi a donné l’ordre d’exciser toutes les filles présentes sur le sol irakien. » Il met en péril la chrétienté (dont les médias découvrent la menace existante) et les « acquis des femmes ».

    Bien entendu, Obama ne pouvait qu’ordonner le bombardement des positions de l’État islamique, Islamic State of Irak and Syria (ISIS) : seulement deux bombes furent larguées ! Des armes lourdes sont envoyées aux combattants kurdes du Peshmerga. Ce scénario ressemble à celui déjà produit avec les rebelles syriens qui, ensuite, se sont révélés être des membres de l’ISIS. Les valeurs judéo-chrétiennes sont confiées à leurs mains très civiles, comme Hollywood s’évertue à le montrer dans le film :Peshmerga, avec Angelina Jolie et Johnny Depp.

    Les enfants de Gaza, le sang, les décombres, le génocide sous les yeux de l’Occident, sont à présent oubliés. Ils ont détruit des maisons, des hôpitaux, des écoles, des cimetières, des centrales électriques. Ils ont laissé sur ce mont de décombres 250 000 réfugiés qui n’ont ni nourriture ni eau. Des milliers de blessés, sans médicaments ni hôpitaux, avec des ambulances sur lesquelles les Israéliens tirent. Ne nous en soucions plus. C’est assez, la nouvelle a disparu. Maintenant, il faut apprendre à pleurer sur les Yézidis.

    Ainsi, les activistes de Sion, sur les ordres du Hasbara (hébreu : « propagande »), peuvent poster des slogans pour le moins hasardeux : « Qui est avec le Hamas et contre Israël, soutient le calife. » De son côté, l’ancienne secrétaire d’État, Hillary Clinton, candidate potentielle à la présidentielle de 2016, déclare sans vergogne : « Il y a beaucoup plus de manifestations contre Israël que contre la Russie, alors qu’elle s’est emparée d’une partie de l’Ukraine et a abattu un avion civil ».

    La Russie a abattu un avion civil ! Cette assertion très hasardeuse est tellement peu convaincante que ces sbires des Illuminati risquent de révéler au grand jour le rôle du calife, détournant les regards de l’actualité des massacres de Tsahal.

    Le Mossad derrière l’ISIS

    Tous ces adeptes des loges maçonniques, les valets du Nouvel ordre mondial, ont oublié que les troupes de l’ISIS sont financées et armées par les Saoudiens et qu’elles ont été formées par des instructeurs américains pour détruire le régime d’Assad en Syrie. Elles ont récupéré des Humvees, des chars et de l’artillerie mobile Made in USA ayant servi aux attaques surprises des troupes irakiennes. Subitement, la Maison blanche, qui use de stratèges machiavéliques, a accusé le Premier ministre irakien, Al Maliki, d’être responsable de ces faits.

    Les journalistes ont sciemment oublié les articles où Edward Snowden, ancien analyste de la National Security Agency, le mouchard des louches secrets américains, a expliqué que l’ISIS était l’œuvre des « services secrets américains et britanniques, ainsi que du Mossad, travaillant ensemble à la création de l’ISIS ». Leur objectif est de « créer une organisation capable d’attirer tous les extrémistes du monde ».

    Si, comme aujourd’hui, l’État hébraïque manque d’un réel ennemi, important et menaçant pour justifier le slogan « Israël se défend seul », la création de l’ISIS remplit à présent cette fonction : « L’unique solution pour la protection de l’État hébraïque est de créer un ennemi proche de ses frontières », un islamisme qui « sème la discorde et la violence sectaire » entre les musulmans, et rend l’Islam odieux, alarmant les Occidentaux sur le péril vert et les coalisant pour défendre la civilisation judéo-chrétienne.

    Elliot Shimon alias « Abu Bakr »

    « Abu Bakr », nom du premier calife après Mahomet, est clairement un nom inventé pour influencer l’opinion apeurée. Selon Snowden, et l’intelligence iranienne, son vrai nom est Elliot Shimon, de père et de mère juifs, formé à la guerre psychologique contre les sociétés arabo-islamiques, dans les techniques militaires, est aussi un fin connaisseur de l’Islam. À d’autre périodes de sa vie, ce produit du Mossad s’est appelé Emir Daash, mais aussi Ibrahim ibn Awad ibn Ibrahim Al Badri Arradoui Hoseini. Les Américains lui ont fourni un passé vraisemblable, en le détenant quelque temps (les dates sont incertaines) à Camp Bucca, la plus grande prison que les forces occupantes des États-Unis ont gérée en Irak (fermée en 2009), à côté de la frontière koweitienne.

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    Dans son rapport de 2004, la Croix-Rouge a écrit que 90 % des Irakiens détenus par les Américains à Camp Bucca ont été arrêtés sans motif. Certains anciens détenus de Camp Bucca ont déclaré à la chaîne qatari (dirigée en sous main par la CIA) Al Jazeeraque c’était « une école d’Al-Qaïda », où les Américains radicalisaient les détenus avant de les libérer. Un agent de prison, l’ex-officier de l’US Air Force James Skylar Gerrond, compare ce centre pénitencier à une « cocotte-minute de l’extrémisme ». Si la CIA a officiellement reconnu avoir utilisé des techniques de contrôle mental comme le MK Ultra après la guerre du Vietnam, il est fort possible que Guantanamo et la prison secrète de Stare Kiejkuty en Pologne, aient servi à des opérations de programmation et de lavage de cerveau pour de futurs terroristes[1]. Par ce biais, les États-Unis dirigeraient pleinement la radicalisation de l’Islam à partir de techniques ayant déjà existé, ignorées du grand public. En clair, derrière les terroristes barbus se cacherait la CIA[2].

    Israël et le calife ont les mêmes ennemis.

    Combattre Israël ? Le docte calife cautionne, tout en ajoutant que « lutter contre les apostats voisins est plus important que de combattre les infidèles lointains. (…) Le prophète avait combattu la tribu des Quraysh avant de combattre la tribu juive de Médine des Banu Qurayza »

    De plus, Israël et le calife, avec ses Takfiri[3], ont les mêmes ennemis : les chiites, l’Iran, Assad et le Hezbollah. Voilà une surprenante coïncidence. Assez pour avoir oublié, comme le font les journalistes, des photos de mai 2013, dans lesquelles McCain posait avec des rebelles anti-syriens, dont beaucoup – ô surprise – militent aujourd’hui dans l’ISIS et sont avec le calife Al-Mossad. Le sénateur américain était allé les voir dans leur antre. Ils s’étaient félicités avec lui. Comble de ce spectacle d’hypocrites dénués de la moindre once de morale, aujourd’hui, McCain accuse Obama de mollesse parce qu’il bombarde peu ses amis d’hier.

    Mais les journalistes ne veulent pas se rappeler. Quoi qu’il en soit, personne ne verse plus de larmes sur Gaza. En fait, les journalistes font semblant de verser des larmes sur les pauvres chrétiens d’Irak, contraints d’abandonner leur maison (où ils habitaient en toute sécurité sous Saddam Hussein). L’Occident se mobilise pour eux en les approvisionnant en eau et en nourriture. Mais, sous le raïs, ils avaient aussi de la nourriture, de l’eau et un toit sur la tête. Les envahisseurs américains ont détruit la vie de tous les Irakiens.

    Le calife et ses fanatiques égorgeurs filment les assassinats et les postent sur le net, pour démontrer que leurs victimes, par exemple des Israéliens, sont assassinées par des musulmans.

    Sous cette tempête informative, qui contraste tant avec le trou informatif d’autres tragédies, émane la mauvaise odeur de la désinformation, de la propagande et du « deux poids deux mesures ». Alors, les médias applaudissent à l’intervention humanitaire d’Obama en Irak, pendant que, dans le Dombass, où le régime de Kiev opère un massacre dans le plus grand silence des médias, se déroule une catastrophe humanitaire voulue et favorisée par les Américains. Toute intervention humanitaire est interdite. Dans ce cas, Obama et l’OTAN ont averti qu’ils la considèreraient comme une « invasion de l’Ukraine ».

    Le retour des pseudo-consciences juives

    Alors, sur cet échiquier, les grands menteurs accourent, pour se faire passer pour des victimes. Dans ce jeu, Elie Wiesel est complété par Bernard-Henri Lévy, le « philosophe » de très bas étage, sans talent, sans intelligence, sans érudition et sans classe, qui a poussé à l’intervention française au Liban, l’homme qui a affirmé : « Le printemps arabe est bon pour Israël », et à qui le Corriere della Serra (contrairement au Times) du 22 juillet 2014 a ouvert ses colonnes sur les massacres israéliens :

    « À Paris, prétextant de la défense de la Palestine, des milliers d’hommes et de femmes s’en sont pris de nouveau aux juifs. Ces imbéciles et ces crapules, ou vice-versa, nous rappellent à bon compte que confondre les juifs et les Israéliens dans une même réprobation est le principe même de l’antisémitisme qui, en France, est puni par la loi. (…) Il n’y pas d’agression mais une contre-attaque d’Israël devant la pluie de missiles qui, encore une fois, s’abattent sur ses villes et qu’aucun État au monde n’aurait toléré ainsi longuement. »

    Les sectes évangélistes en remplacement de la tradition chrétienne

    Aujourd’hui, les chrétiens irakiens remportent quelques larmes : une mascarade de bon aloi avec la politique d’épuration d’Israël envers le peuple palestinien. Ce sont ces mêmes larmes qui manquent pour les dizaines de guerres que les États-Unis ont conduites contre l’Irak, ramenant ce pays à l’âge de la pierre, avec une guerre civile permanente ayant provoqué un million de morts. De Bush père à Clinton, de Bush fils à Obama, ces crimes de guerre portent les noms d’Operation Desert Shield, Operation Desert Storm, Operation Provide Comfort I et II, Operation Southern Watch, Operation Desert Strike, Operation Northern Watch, Operation Desert Fox, Operation Southern Focus, Operation Iraki Freedom, Operation New Dawn, jusqu’à l’actuelle Operation « Humanitarian » d’Obama.

    Enfin, il est pertinent d’observer ce qu’aucun média ne mentionne : déjà, en 2010 et 2011, quand les Chrétiens d’Orient de Bagdad faisaient l’objet des attentats les plus sanguinaires, comme dans le cas de l’attaque de Notre-Dame du Perpétuel Secours, le 31 octobre 2010, les États-Unis implantaient des sectes évangélistes, pro-sionistes, ne faisant l’objet d’aucune agression[4]. Il y a fort à parier que cette tendance se poursuivra dans une Mésopotamie incluse, en grande partie, dans les frontières secrètes et étendues du grand Israël. Les sectes évangélistes américaines, dont un de leur soutien est Nick Rockefeller, supplanteraient ainsi le monde de la tradition chrétienne. Cette attitude ressemble fort à celle des parpaillots qui en France incendiaient nos Eglises. Et, il fut des tribunaux d’inquisition (prononçant à de rares exceptions des sentences capitales) pour endiguer la colère des paysans.

    L’histoire se répète donc en Irak, et avec les mêmes commendataires qui agissent en sous-main, en prenant en l’occurrence le masque de l’Islam, et en exploitant très certainement les techniques du Contrôle mental.

    Laurent GLauzy

     Laurent Glauzy est aussi l’auteur de :
    Les géants et l’Atlantide
    Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
    Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
    Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
    Atlas de géopolitique révisée, tome II
    Atlas de géopolitique révisée, tome I
    Chine, l’empire de la barbarie
    Extra-terrestres, les messagers du New-Age

    [1] L. Glauzy, Atlas de géopolitique révisée (chroniques 2003-2010), T. 1, art. Stare Kiejkuty : le « Guantanamo polonais », pp. 163-167.

    [2] Cf. sur les techniques de contrôle mental : L. Glauzy, Illuminati : de l’industrie du rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, 2012.

    [3] Les Takfiri sont des extrémistes islamistes adeptes d’une idéologie violente, considérant les musulmans ne partageant pas leur point de vue comme étant des apostats, cibles légitimes de leurs attaques.

    [4] L. Glauzy, Atlas de géopolitique révisée (chroniques 2010-2012), T. 2, art. : Bagdad : l’attentat de Notre-Dame du Perpétuel Secours, 2012, pp. 214-219.

    http://www.contre-info.com/letat-islamique-dune-fabrication-sioniste-au-controle-mental-par-laurent-glauzy#more-34193

  • Radio Résistance : émission d’actualité d’août 2014

    Un regard nationaliste sur l’actualité. Vu sur radio-resistance.com :

    Animateur : Sylvain Maubranches.
    Invités : Paul Thore, Alexandre, T. de Chassey. Durée : 1 h 9 min.

    Pour télécharger cette émission, cliquer ici.

    http://www.contre-info.com/

  • Remaniement : la provocation Najat


    François Hollande et Manuel Valls, au plus bas dans les sondages, se paient le luxe d’un remaniement alors que le chômage et la délinquance continuent à exploser : 48h de discussions en tous sens pour aboutir à un changement aussi insignifiant que provocateur.

    Emmanuel Macron à l’Economie, Najat Vallaud-Belkacem à l’Education Nationale et Fleur Pellerin à la Culture.

    Voilà les trois grandes nominations du gouvernement Valls II, annoncé en fin de journée par le secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet. Ils prennent respectivement les places des démissionnaires Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti.

    Trois changement seulement mais une provocation de plus avec le poste de Najat Vallaud-Belkacem, sans compter le fait que François Hollande nomme à l’Economie un ancien banquier d’affaires chez Rothschild, deux ans et demi après avoir clamé que la finance était son ennemi…

    En Mars, Hollande avait choisis de reconduire Christiane Taubira quelques jours après qu’elle ait ouvertement menti devant les Français et quelques mois après qu’elle ait donné son nom à une loi inique qui n’aura eu de cesse de diviser le pays.

    Il la garde encore une fois et va plus loin : Najat Vallaud-Belkacem, grand maître de la théorie du genre et des luttes contre l’ordre établi et la loi naturelle au ministère de l’Education Nationale.

    Quelques jours avant la rentrée scolaire ils balaient d’un revers de main les inquiétudes de milliers de parents qui avaient retiré leurs enfants de l’école l’année dernière lors des Journées de Retrait de l’Ecole et font la promesse d’une place toujours plus grande faite à l’idéologie dans les écoles, après avoir terminé l’année scolaire en promettant l’extension des ABCD de l’égalité rebaptisés à toute la France.

    Le message du gouvernement est clair : on garde les mêmes, on garde le cap, mais il est certains sujets sur lesquels on accélère…

    Nous sommes prévenus.

     

    Gouvernement Valls II :

    Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international

    Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie

    Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

    Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice

    Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics

    Emmanuel Macron ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé et du Droit des Femmes

    François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social

    Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense

    Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur

    Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

    Marilyse Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique

    Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

    Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt

    Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

    George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-mer.

    http://www.contre-info.com/remaniement-la-provocation-najat

  • Le Puy-du-Fou en Crimée : un parc sur l’histoire de Byzance

    Nicolas de Villiers, Président de l’Association du Puy du Fou, répond à La Voix de la Russie :

    «Pourquoi est-ce que Le Puy de Fou, un parc qui incarne par excellence l’histoire française, a décidé de s’étendre à la Russie et notamment à sa partie criméenne?

    D’abord parce que la Russie a une histoire très riche et qui nous inspire pour les spectacles vivants qui sont vraiment le cœur de notre métier et le cœur de ce que nous proposons à nos visiteurs. Nous avons fait en France un parc sur l’histoire de France, il nous paraissait donc naturel de faire un parc sur l’histoire de la Russie. Et la Russie nous attire aussi parce que nous avons en commun un socle culturel qui rapproche nos civilisations, nous avons des civilisations proches, il ne faut pas oublier que Dostoïevski écrivait en français et que les proches du Tsar Nicolas II parlaient encore français il y a un siècle. L’amitié franco-russe est donc très ancienne et il y a surtout en commun le socle de la chrétienté qui nous permet de puiser dans l’histoire russe, pour nous Français d’une manière assez naturelle, des thèmes qui sont formidables pour nos spectacles. Voila les raisons qui nous rapprochent de la Russie. Concernant la Crimée : voilà 10 ans qu’on rêvait d’y faire quelque chose parce que cette péninsule est une terre très symbolique de l’histoire du monde et plus particulièrement de l’histoire occidentale depuis des siècles dans la mesure où la Crimée a été traversée par toutes les grandes civilisations. Elle est au carrefour de l’histoire de monde, à travers l’histoire de Rome, l’histoire de Byzance bien sûr mais aussi l’histoire de Moscou puisque la Crimée est russe depuis des siècles. C’est pour cela qu’il nous a paru assez naturel d’aller en Crimée et d’ouvrir un parc à Moscou consacrée à l’histoire russe. Mais pour faire un parc sur l’histoire de Byzance qui a une histoire que nous attire beaucoup et dont on rêve depuis des années d’interpréter en spectacles, et bien c’est en Crimée tout naturellement qu’il nous fallait aller. Ainsi, lorsque Poutine nous a proposé de lancer un projet en Crimée, nous en avons été ravis et nous avons immédiatement considéré que c’était une opportunité formidable.

    [...] Cette opportunité s’est présentée à nous il y a très longtemps, c'est-à-dire bien avant la montée des tensions internationales, bien avant la politique des sanctions. Cela fait des années que nous travaillons sur l’idée de nous implanter en Russie et que nous avions dans l’idée de venir installer un parc près de Moscou ou bien en Crimée. Par conséquent, nous n’avons pas cherché à venir en Russie au moment même où il y a des tensions entre la Russie, l’Amérique, et l’UE qui naturellement fait du suivisme, mais nous avons progressivement cherché à consolider ce partenariat avec nos amis russes. Les choses se sont faites au moment où elles devaient se faire et il se trouve que la Crimée est maintenant pleine de projets puisqu’elle est revenue en Russie. Les choses se sont faites de manière assez naturelle pour nous, nous n’avons pas cherché, encore une fois, à être dans un calendrier de tensions.

    Maintenant, je crois qu’il faut préciser que les dirigeants européens pensent d’une manière, en estimant que la Russie est responsable d’un certain nombre de choses, les peuples européens pensent parfois de manière différente, les entreprises pensent de manières différentes de leurs dirigeants. Et ce n’est pas parce que les dirigeants européens considèrent que la Russie est responsable de telle ou telle situation que les entreprises européennes pensent la même chose, il ne faut pas confondre les dirigeants et les peuples».

    Michel Janva

  • Documentaire – Le crépuscule des Celtes

    Dans le canton de Vaud, en Suisse, le plus grand sanctuaire celte d’Europe vient d’être mis au jour au sommet de la colline du Mormont. Il y a 2 000 ans, les Helvètes ont creusé des centaines de puits dans ce lieu isolé pour déposer des offrandes à leurs dieux. Objets, fragments de corps humains et animaux…

    Ce vaste site devrait permettre aux archéologues de progresser dans la connaissance de pratiques religieuses qui n’ont cessé au cours des siècles d’inspirer des légendes. Même si, depuis une vingtaine d’années, une série de fouilles successives a montré que les peuples celtes avaient développé une civilisation raffinée et complexe.

    http://fortune.fdesouche.com/