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  • Travail au noir : le président PS de l'Isère épinglé

    Ce n'est absolument pas un problème au PS : en 2007, Jérôme Cahuzac avait été condamné pour avoir fait travailler une femme sans papier,

    "une femme de ménage philippine sans papier employée au noir et payée en liquide de juillet 2003 à novembre 2004 pour 40 heures mensuelles à raison de 250 € par mois."

    5 ans plus tard, en 2012, Cahuzac était nommé Ministre du Budget.

    Unknown-15Aujourd'hui nous apprenons que la famille du président PS de l'Isère employait au noir une Roumaine. Pendant près d'un an, Camelia s'est occupée sept jours sur sept de la mère très âgée du président socialiste du conseil général de l'Isère, Alain Cottalorda. Elle explique avoir été recrutée en Roumanie par ce dernier et l'une de ses sœurs, et n'avoir jamais été déclarée malgré ses demandes. L'élu se dégage de toute responsabilité. Camelia espérait une vie meilleure en France, loin de sa Roumanie natale où le Smic est à 190 euros brut. Elle a découvert « la vie d’esclave ». 10 mois durant, d’octobre 2013 à juillet 2014, elle a travaillé dans l’illégalité totale, non déclarée, donc sans les droits de base prévus par le Code du travail français : ni contrat de travail, ni couverture sociale, ni repos compensateurs. Elle a travaillé du lundi au dimanche, 12 heures par jour en moyenne lorsqu’elle n’était pas d’astreinte la nuit, pour une rémunération « au noir » de 1 200 euros.

    L'immigration, cette chance pour la France, et pour le PS.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • [Entretien exclusif] Charles Robin : “Le libéralisme prospère sur les ruines de la ‘common decency’” (1/2)

    Venu de l’extrême gauche – de la LCR exactement – Charles Robin (photo) est l’un des esprits les plus vifs de cette jeune génération qui a transporté sa critique sociale du champ libertaire vers le camp de la résistance anti-libérale enracinée.

    Après plusieurs livres publiés en autoédition, il vient de signer aux éditions Krisis un remarquable ouvrage de synthèse sur la convergence libérale-libertaire qui a pris le contrôle de nos sociétés. Indispensable pour quiconque veut saisir les racines philosophiques de ce grand raz-de-marée qui souhaite gommer toutes les différences, les identités ; rompre toutes les filiations et les solidarités ancestrales, pour installer définitivement le règne du Même au service de la superclasse mondiale.

    Si l’on peut ne pas partager toutes les options de Charles Robin, sur l’importance secondaire des identités ethniques, religieuses et culturelles dans notre société française, on ne saurait se priver d’une telle synthèse, à mettre dans notre bibliothèque aux côtés des récents ouvrages d’Alain de Benoist ou Hervé Juvin.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Vous accomplissez un travail fondamental de retour aux sources philosophiques du libéralisme, pourquoi ? En quoi la critique économique du libéralisme est-elle insuffisante voire inopérante ?

     

    En bon disciple de Hegel, je suis absolument convaincu des vertus philosophiques de ce qu’on appelle la « phénoménologie », terme qui désigne – pour le dire vite – la recherche d’une logique sous-jacente aux phénomènes à l’œuvre (qu’ils soient d’ordres économique, politique, mais aussi culturel, moral ou anthropologique). Produire la phénoménologie du libéralisme, c’est donc tenter de remonter de ses effets quotidiens les plus manifestes (la précarité économique grandissante, la détérioration du lien social, Nabilla, etc.) à ses origines historiques et intellectuelles primordiales, pour espérer pouvoir en extraire – suivant la formule consacrée – la quintessence philosophique. Or, sur ce point, l’étude des auteurs libéraux classiques fournit à l’analyse de solides points d’appui. Ainsi, il est intéressant de noter que, dès le XVIIIème siècle, on trouve déjà formulées – notamment à travers la figure d’un Voltaire – les principales implications politiques et culturelles du projet libéral. Notamment (pour ne prendre que cet exemple) l’idée selon laquelle la libre poursuite par les individus de leurs intérêts et de leurs désirs (fondement pseudo-anthropologique de notre actuelle idéologie « libertaire ») constituerait le gage le plus puissant de la prospérité économique des nations capitalistes. L’exemple le plus emblématique (et aussi le plus caricatural !) étant probablement la fameuse Fables des abeilles (1714) de Bernard Mandeville, censée démontrer, sous une forme allégorique, que « les défauts des hommes, dans l’humanité dépravée, peuvent être utilisés à l’avantage de la société civile, et qu’on peut leur faire tenir la place des vertus morales ». Il s’agit donc, à travers cette image, de promouvoir la libre expression des égoïsmes comme source et condition de la croissance économique. Une allégorie écrite il y a trois siècles, et qui anticipait, de façon quasi prophétique, sur les métamorphoses contemporaines de nos sociétés. Soit – pour le dire d’une manière à la fois pédagogique et synthétique – la complémentarité et l’unité fondamentales du libéralisme économique et du libéralisme culturel, qui trouve son incarnation ultime dans l’actuelle fusion idéologique de la Gauche « internationaliste » et de la Droite « mondialiste ».

    Le refus de toute verticalité est pour vous caractéristique de l’idéologie libérale, qui privilégie l’individu à la communauté, la logique de l’intérêt au sens du sacrifice. Pouvez-vous illustrer cette opposition entre transcendance et immanence ?

    L’hypersensibilité hallucinante de la classe politique sur la question de la laïcité (loi de séparation de l’Église et de l’État adoptée en 1905) suffit à vérifier – de l’opportunisme politique d’une Marine Le Pen à la transe mystique d’un Vincent Peillon, pour lequel (rappelons-le tout de même) : « La laïcité [...], c’est une religion de la liberté, c’est une religion des droits de l’Homme » – l’allergie philosophique des libéraux à toute authentique notion de « transcendance », c’est-à-dire qui ne soit pas celle du fétichisme de la marchandise. Il faut en effet comprendre que, selon l’anthropologie libérale, l’Homme se définit d’abord comme un être sensible, c’est-à-dire capable d’éprouver du plaisir et de la douleur. Dans cette conception (fondement de l’empirisme de Locke, puis de l’utilitarisme de Bentham), c’est donc dans sadimension corporelle et immanente que se situerait l’essence de l’être humain, quand les traditions philosophiques antérieures voyaient davantage dans sa dimension spirituelle et transcendante la qualité spécifique et le lieu d’accomplissement ultime de l’Homme. Par ce renversement dans la hiérarchisation classique des attributs humains (Corps/Esprit), c’est la vision de l’Homme elle-même qui allait se trouver transformée. En refusant d’accorder le moindre crédit philosophique à la notion de « sacré » (hormis à l’occasion de quelques processions sacrificielles telle que la dernière Charlie’s Pride nous en fournit le modèle), la doctrine libérale entérine ainsi, de fait, la réduction de l’être humain à un simple « carrefour de sensations », soumis aux seules lois gravitationnelles de l’intérêt et du désir. Un individu libéral atomisé, amputé de sa partie symbolique (celle qui produit du sens, c’est-à-dire à la fois unesignification et une direction) au profit de l’Ego matérialiste triomphant. La transcendance n’est rien d’autre, sous cet angle de vue, que le surpassement effectif (c’est-à-dire réellement incarné) de la cellule de notre ego, condition constitutive de toute émancipation individuelle et collective. C’est la raison pour laquelle je pense qu’aucun socialisme authentique ne peut se concevoir sans cette assise symbolique primordiale, à défaut de laquelle rien ne viendrait justifier (conformément au mot d’ordre du NPA, auquel je souscris pleinement) que « nos vies valent plus que leurs profits ».

     

    Dès lors, que vaut une société alternative qui ne serait pas portée par des hommes verticaux, c’est-à-dire structurés par une spiritualité forte ? Pour notre vieille Europe, le retour à ses racines ancestrales (un paganisme fécondé par le christianisme) n’est-il pas une condition nécessaire ?

    Dans une perspective politique, la notion de « retour en arrière » n’a, à mes yeux, pas le moindre sens – du seul fait que le temps est un phénomène à sens unique ! En revanche, cela ne signifie pas qu’il faille vouloir refonder en faisant – comme le préconise le chant de l’Internationale – « table rase du passé ». À la suite des Humanistes, je suis profondément convaincu que la sagesse se trouve généralement plus près des enseignements des Anciens que de ceux des Modernes (lesquels n’ont d’ailleurs fait, le plus souvent, que les actualiser en les trafiquant).

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  • 9 mars 2015

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  • Marine Le Pen a "très envie de partir à la bataille" des régionales

    La présidente du FN Marine Le Pen a dit jeudi avoir "très envie de partir à la bataille" des régionales dans la future région Nord-Pas de Calais-Picardie, mais sa décision n'est pas encore prise.

    "Je n'ai pas encore pris cette décision. Elle engage l'ensemble du mouvement. Ces élections régionales interfèrent avec la campagne présidentielle, c'est une décision que le bureau politique du Front national doit prendre", a affirmé Mme Le Pen à Doullens (Somme), lors d'une conférence de presse.

    "J'ai très envie de partir à cette bataille, je suis attachée aux habitants, je vois précisément exactement ce qu'il faut faire pour améliorer la situation, je vois toutes les dérives dans la gestion de ma région du Nord-Pas de Calais", a toutefois relevé celle qui habite en région parisienne mais a fait son fief de la ville FN du Pas-de-Calais, Hénin-Beaumont.

    Marine Le Pen était dans la Somme pour soutenir un binôme de candidats FN aux départementales. Elle a parcouru un marché entourée de nombreux partisans.

    Autre motivation invoquée qui la ferait pencher en faveur d'une candidature: "Je suis une battante, une battante comme moi a toujours envie de partir à la bataille!"

    "Il faut que nous y réfléchissions pour prendre une décision sereine qui ne mette pas en péril la campagne présidentielle", a-t-elle dit.

    "La décision sera prise probablement à la fin du mois d'avril, après les départementales", a ajouté Mme Le Pen, qui réfléchit depuis plusieurs mois à l'opportunité d'être candidate aux régionales. Un "dilemme", affirment certains de ses proches.

    "C'est une terre qui apporte de très bons résultats au FN", a relevé Marine Le Pen, avant de poursuivre sa journée en Picardie dans l'Aisne, où son parti a dépassé les 40% aux européennes, puis dans l'Oise.

    Dans la Somme, "aux régionales 2010, le FN avait fait 11,1%, à la présidentielle 23,77%, aux européennes 37,15%. Des progressions comme ça, on aimerait que ça continue", s'est félicitée l'eurodéputée.

    Dans le canton de Doullens où elle se trouvait, le FN avait atteint 42% aux européennes de mai 2014.

    "Il y a au moins trois ou quatre cantons" où le FN a dépassé les 40% aux européennes dans la Somme, a relevé la candidate Amélie Dutheil de la Rochère, qui s'était présentée pour le FN aux municipales dans le XIIIe arrondissement parisien.

    source : Afp via nouvel obs 

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EukVVyAulFyZKSzvVL.shtml

  • Les électeurs UMPS

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  • Les féministes : "hargneuses, moches, pas féminines pour deux sous"

    Françoise Hardy sort un livre intitulé "Avis non autorisé". Elle y donne son avis sur Cécile Duflot :

    "Ses combats pour l'environnement ont beau être d'une importance incontestable, comment ne pas être choqué par l'arrogance et le sectarisme de cette petite bonne femme, persuadée de détenir la vérité au point de ne pas vouloir entendre ceux qui ne pensent pas tout à fait comme elle ou qui contredisent ses assertions en leur opposant des faits et des chiffres incontournables? Comment ne pas être irrité par sa logorrhée débitée sur un rythme de plus en plus précipité au point qu'on finit par avoir envie sinon de l'étrangler, du moins de la bâillonner pour qu'elle se taise enfin et nous laisse souffler? Elle ne parle pas: elle glapit."

    Les féministes :

    "Je les trouve hargneuses, moches, c'est-à-dire pas féminines pour deux sous. Je n'ai jamais pu m'identifier en quoi que ce soit aux féministes.

    La gauche :

    "la gauche française est quand même la plus archaïque d'Europe, voir même du monde!". "L'obstination des responsables socialistes, souvent issus de la bourgeoisie, à dresser les classes populaires contre les classes plus favorisées est une forme de manipulation dont la facilité finit par irriter".

    François Hollande :

    "Je suis offusquée par ses fautes de français". "Il semblerait que plus une idée est politique, mieux l'électorat le gobe. L'une des belles idées de François Hollande en arrivant au pouvoir aura été la mutualisation de la dette au sein de l'Union européenne. Cela revenait à ce que les pays dits vertueux, ceux dont les citoyens avaient fait de gros efforts pour rester dans les limites imposées par les traités européens, paient pour ceux des pays irresponsables. N'importe quelle personne sensée se rendait compte de l'aberration d'une telle proposition…"

    Elle se déclare aussi clairement en faveur de l'euthanasie. Est-ce pour en finir plus rapidement avec les gauchistes cités ?

    Michel Janva

  • Ne gardons que les clandestins exemplaires : 14 par an ! (Présent 8308)

    Les immigrés clandestins sont des gens formidables. Des sortes de modèles. Et il faut que ça se sache. Ça fera plaisir à tous ceux qui respectent les lois et se crèvent à obtenir honnêtement la nationalité française. Après le héros de l’hypercasher et le super patriote à la tête des jeunes UMP, voici le menuisier aux mains d’argent, la toute dernière fable immigrationniste.

    Armando Curri, un Albanais de 19 ans sans papiers, a reçu mercredi sa médaille de « meilleur apprenti menuisier de France » sous les ors du Sénat, des mains de Carole Delga, secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Artisanat.

    Cette cérémonie lui avait dans un premier temps été refusée en raison de sa situation irrégulière qui est un délit. Mais sur pression médiatique et politique, notamment du sénateur communiste Cécile Cukierman, la préfecture de la Loire a indiqué que son OQTF (Obligation de quitter le territoire français) était dorénavant « abrogée » et qu’un titre de séjour de trois mois allait lui être délivré, « compte tenu des capacités d’intégration dont ce jeune homme a fait preuve ».

    « La République doit toujours donner sa chance à l’excellence, au mérite et à l’exemplarité », a doctement prêché Carole Delga.

    D’accord ! On fait comme ça. Vendu. On favorise l’intégration des plus méritants, des exemplaires, des champions et on les garde. Et seulement eux. Et on vire tous les autres. Les traîne-savate, les profiteurs du système, des allocs et de l’aide médicale gratuite, les centaines de milliers de Resat Dibrani (père de Léonarda) à qui tout est dû et qui le prennent de haut.

    Et là les courbes de l’immigration et les pompes aspirantes vont comme qui dirait sensiblement s’inverser (14 cas de régularisations pour « talent exceptionnel » ou « service rendu à la collectivité » en 2014 selon les chiffres de la Direction générale des étrangers en France). Chiche ! 14 par an.

     

    Et on verra si cette épatante régularisation chirurgicale au cas par cas et au mérite satisfait nos grandes consciences de gauche (la seule conscience digne de ce nom). S’ils vont accepter que la France puisse choisir les personnes qu’elle accepte de recevoir sur son territoire, et non pas les subir. C’est tout vu.

    Caroline Parmentier

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  • Eric Zemmour cite la Manif pour Tous pour expliquer que Juppé va échouer

    Dans sa chronique d'hier, Eric Zemmour cite la Manif pour Tous pour expliquer que Juppé va échouer :

    "C'est l'électorat modéré qui a fait le succès des Manifs pour Tous et révélé un retour des valeurs traditionnelles alors que Juppé a fait la une de la presse bien pensante en bénissant le mariage homosexuel."


    Alain Juppé : "La malédiction du 'meilleur d... par rtl-fr

    Michel Janva

  • Comme si nous souhaitions en finir avec la Russie…

    Nous n'aimons pas le peuple russe, ce peuple frère, parce que nous sommes américanisés et que les Américains souhaitent étendre leur empire et rencontrent une résistance du côté russe depuis toujours.

     

    Nous sommes une nation sans mémoire. Une nation qui, depuis le débarquement de Normandie, au mépris de l’Histoire, se range sur la doxa américaine, croyant dur comme fer que les Russes sont des ennemis. Nous n’avons pas compris que ces Américains ont déstabilisé l’Ukraine, dressant en somme des Russes contre d’autres Russes, et qu’ils continuent leur manège entamé il y a cinquante ans, provoquant coups d’État et révolutions de l’Amérique du Sud au Moyen-Orient, de l’Asie à l’Afrique, mettant tout en œuvre pour que leurs âmes damnées gouvernent comme des pantins dans les pays qui jusqu’alors n’étaient pas leurs vassaux serviles.

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