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  • Nos raisons pour la Monarchie :

    L’objet de cette analyse n’est nullement de démontrer ce que sera la monarchie de demain. Il est difficile de prévoir comment sera la future institution monarchique sachant qu’elle dépendra de la situation et des besoins du moment. Il ne s’agit pas non plus d’une proposition institutionnelle officiellement conforme à ce que pourrait souhaiter les Princes à ce jour. Cette institution monarchique proposée n’engage que le G.A.R. et n’est qu’une simple démonstration théorique, afin d’offrir une meilleure compréhension du type de système politique que nous proposons, justifiant ainsi notre rejet du système républicain. C'est en fait ce qui reste dans le domaine du possible suivant ce que l'histoire nous a laissé en héritage et ce que l'esprit institutionnel monarchique est capable d'engendrer par l'alternative qu'il proposerait...
    La seule chose que nous pouvons garantir c’est que dans tous les cas, le Roi sera indépendant, il sera au-dessus des lobbies et des partis. Qu'il reste un gouvernement humain avec ses qualités et ses défauts. La durée lui exige un sens aigu des responsabilités au risque d'une déstabilisation qui lui serait fatale comme ce fut le cas dans l'histoire. Le règne des partis disparaitra naturellement car son pouvoir, pour durer, devra reposer sur une représentation réelle de la nation, basé sur les familles et associations professionnelles, les villes et les provinces libérée du joug partisan... La monarchie sera toute à la fois active, "traditionnelle dans ses principes, moderne dans ses institutions".

     

  • Vincent Vauclin : « La jurisprudence Hollande »

    Le 30e dîner du CRIF aura été le théâtre d’un basculement sémantique lourd de significations.

    En qualifiant les auteurs de la profanation d’un cimetière selon leur identité ethnique, François Hollande, certainement emporté par quelque chose d’une jubilation secrète de pouvoir enfin se livrer à l’amalgame puisqu’il s’agissait – pour une fois – de « Français de souche », ne réalisait sans doute pas la portée de son propos et les implications de la parole présidentielle.

    Comment, en effet, nous empêcher d’user désormais d’une grille de lecture intégrant le paramètre ethnique ? Si l’on peut faire remarquer l’identité ethnique des auteurs de ces profanations (que nous condamnons sans réserve, est-il besoin de le préciser), nous devrions maintenant pouvoir le faire pour tout autre type de délinquance. Sauf à considérer que seuls les Français de souche doivent être l’objet d’une telle discrimination, ce qui serait un aveu flagrant d’iniquité entrant en contradiction avec les principes égalitaires chers à nos républicains patentés.

    Nous pouvons donc désormais, grâce à la jurisprudence Hollande du 23 février 2015, constater la flagrante surreprésentation des populations allogènes au sein des prisons françaises. Peut-être même pourrons-nous nous interroger, avec lucidité et sans langue de bois, sur les raisons qui sous-tendent cette surreprésentation, en posant la question du lien évident entre l’immigration et l’insécurité. Et de réclamer, dans le même temps, la révision du procès de M. Zemmour, par exemple, qui fut condamné, il y a quelques années, pour avoir constaté « que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes ».

    L’on croyait que les races n’existaient pas. François Hollande n’a pas l’air d’être de cet avis, et s’est maladroitement pris les pieds dans le tapis. On pourra toujours mettre cette « petite phrase » sur le compte d’un humour mal dosé, mais l’on ne nous ôtera pas de l’esprit qu’elle était loin d’être anodine, et révélait au contraire une tendance mortifère à l’ethnomasochisme, si répandue à gauche, et qui en dit long sur les motivations réelles des chantres du « vivre ensemble » et de la « politique de peuplement ».

    Vincent Vauclin,

    Pour Boulevard Voltaire

    http://la-dissidence.org/2015/02/27/vincent-vauclin-la-jurisprudence-hollande/

  • Ludovine de La Rochère dans le talk du Figaro

    Pour présenter le forum du 8 mars pour l'abolition de la GPA, à l'occasion de la journée de la femme.

    Michel Janva

  • Au secours ! Les Francs-Mac sont de sortie !

    Il faut le répéter sans jamais se lasser : les frères trois-points sont, par leur universalisme et leur antichristianisme rageux, les pires ennemis de la nation.

    Un Franc-Mac, me disait un vieil ami récemment, ça se reconnaît facilement : il rejette toute trace de christianisme par « laïcité » et valorise toute islamisation par « diversité » ; il explose de son rire gras devant les dessins de Charlie-Hebdo en éructant « Que c’est bon de pouvoir blasphémer ! » ; et parfois, mais juste parfois, il tente de bloquer en réseau une enquête pour proxénétisme autour du Carlton de Lille.

    Ne cherchez pas plus loin la source du soudain regain de républicanisme dans les rangs du gouvernement après les attentats de janvier. Chez ces gens-là, tout est d’équerre.

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  • Autorités chrétiennes de Syrie censurées ou diffamées par les médias

    Il est remarquable que les journalistes qui réalisaient ces interviews de complaisance, ou rédigeaient des articles à sa gloire, prenaient souvent soin de souligner que le point de vue du père Paolo dall’Oglio était très minoritaire, que les chrétiens de Syrie, majoritairement, ne souhaitaient pas le renversement du régime qu’ils considéraient comme un rempart contre les mercenaires extrémistes venus de l’étranger.

     

    On pouvait se demander alors : si l’opinion du père Paolo était à ce point minoritaire, pourquoi bénéficiait-elle d’une couverture médiatique aussi massive et diversifiée, alors qu’aucun autre témoignage de religieux connaissant bien la Syrie, y vivant, ou y ayant vécu, n’était jamais rapporté.

    Trois explications possibles à ce focus extraordinaire des médias sur ce personnage.

    1. Le père Paolo est l’un des seuls chrétiens lucides de Syrie. Tous les autres, comme il le soutient, sont intoxiqués par la propagande du « régime ». Les médias ont raison de relayer massivement et exclusivement ce témoignage 2. Le père Paolo est l’un des chrétiens les moins lucides de Syrie. Il ne comprend rien à ce qui se passe sur place, mais a choisi cette position tranchée en raison de l’immense amertume qu’il ressent d’avoir dû quitter un lieu sacré qu’il a contribué à redresser, et dans lequel il a vécu pendant 30 ans. 3 ; Le père Paolo dall’Oglio est tout à fait lucide ; quand il lance ses déclarations fracassantes et diffamatoires, il sait qu’il ment, il sait que ses incitations à la haine sont infondées et qu’en les proférant il trahit le Christ, il sait que son analyse de la situation est fausse et orientée, mais pour des raisons qui restent à éclaircir (et sans doute pas très catholiques), c’est la voie du mensonge et de la haine pour laquelle il a opté.

    J’ai déjà donné beaucoup d’éléments d’information en faveur de la 3ème explication, mais avant de trancher pour de bon, passons en revue quelques témoignages d’autorités chrétiennes qui, elles, n’ont bénéficié d’aucune couverture médiatique, ou ont été systématiquement caricaturées et diffamées dans les mêmes médias qui servaient la soupe au père Paolo dall’Oglio. En prenant connaissance de ce qu’ils disent, peut-être comprendrons nous mieux ce silence qui les environne, et le degré de supercherie qu’implique cette focalisation unique et martelée sur le père Paolo dall’Oglio. Donnons la parole à cinq personnalités religieuses syriennes ou très proches de la Syrie. [....]

    La suite sur Arrêt sur Info

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Autorites-chretiennes-de-Syrie