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  • Attentats de Tunis : la Bête progresse

    Guillaume Faye, sur son blog, analyse la "progression de la bête" islamiste. Partant de l'attentat de Tunis la semaine dernière, il élargit son analyse à la présence djihadiste en France :

    [...]"Complètement aveuglés, nos dirigeants parlent de ”terrorisme”, sans oser nommer ou comprendre ce qu’il y a derrière : une stratégie de conquête et d’instauration de la chariatotalitaire islamique. 3.000 combattants musulmans venus des rangs des immigrés en Europe sont partis rejoindre Daech. 600 sont déjà revenus (il y a un sinistre ”turn over”) et vivent comme des poissons dans l’eau ici même, dans un milieu qui épouse leur cause, les protège et leur sert de logistique et de base de recrutement.

    Dans une note confidentielle, le Service central de renseignement territorial (SCRT) observe un« repli communautaire plus marqué depuis les attaques contre Charlie Hebdo et l’HyperCacher  ».[...]

    Donc les attentats de janvier 2015 ont encore accru l’hostilité envers la France et l’attachement au djihad.On mesure la naïveté sidérante des manifestations ”Je suis Charlie”. Les jeunes musulmans y ont d’ailleurs très peu participé, beaucoup approuvant les attentats.Le SCRT a noté « une faible représentation de la communauté musulmane à Marseille » à ces manifestations. Ils ont moins manifesté que les musulmans à Tunis, après l’attaque du musée !Preuve que la radicalisation des musulmans issus de l’immigration en France (notamment les jeunes), comme en Belgique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni est plus forte que celle des musulmans de Tunisie ![...]

    Sans mâcher ses mots,Yves de Kerdrel écrit :« Notre démocratie, baignée d’angélisme et gangrénée par des élites qui préfèrent le multiculturalisme à la nation, a bien du mal à s’adapter à cette guerre de religion ». Puis il ose cette comparaison :«  Les jeunes filles qui vont à l’université coiffées d’un voile le font pour revendiquer une identité. Elles le font par soumission aux règles des cités où elles résident et aux lois des ”grands frères ” qui y sèment la terreur. Ce n’est pas seulement un refus d’intégration, c’est une forme de racisme anti-français. Et toutes proportions gardées, il n’y a pas de différence entre ce gamin de 12 ans qui part de son collège à Toulouse pour mener des exécutions de sang-froid et ces jeunes filles qui revendiquent le port du voile à l’université avec l’encouragement de professeurs aveuglés par le démon du multiculturalisme ». (Valeurs Actuelles, 19-25/03/2015).[...]

    Le 10 mars, une vidéo diffusée par EI/ Daech sur Internet montrait en effet un garçon de 12 ans en djellaba qui abattait puis achevait au pistolet un Arabe israélien soupçonné d’être un agent du Mossad, au cri de« Allah Akbar ! »Il s’agit de Rayan, un jeune maghrébin de nationalité française, scolarisé à Toulouse et parti en Syrie.[...]

    Ces vidéos de propagande ne peuvent que se multiplier et inonder la Toile. Elles sont un puissant facteur de recrutement et de fanatisation, notamment en France. La technique psychologique utilisée contre les ennemis (dans le monde musulman et maintenant en France et en Europe) est celle de la sidération par la terreur, en vue d’obtenir la soumission, si possible sans combattre vraiment, par intimidation. Avec le binôme : attentats et grignotage démographique. [...]

    Dans deux ou trois ans, en France, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas , en Espagne et dans d’autres pays de l’UE, on vivra peut-être au rythme d’un massacre par jour ou de plusieurs simultanés, alternant bombes, tueurs suicidaires, attaques au fusil d’assaut et à l’arme de guerre. Les forces de sécurité et de renseignement sont déjà débordées.[...]

    La guerre est chez nous et c’est là qu’il faut combattre et se défendre. Cette guerre larvée qui commence a déjà un coût, non seulement financier mais surtout psychologique. Cette stratégie de la tension plombe le moral de la nation, en diffusant un sentiment de méfiance, d’insécurité, de pessimisme.  Nous sommes en proie à une invasion par le bas, à une guerre d’un type nouveau, à la fois démographique, criminogène, ethno-culturelle et religieuse, et terroriste. Nous ne la gagnerons qu’en changeant radicalement de méthodes et de paradigme, c’est-à-dire en prenant le problème à  bras-le-corps, en s’attaquant à la cause centrale : l’immigration."

    Marie Bethanie  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Elevée par deux lesbiennes qu’elle aime, elle s’oppose désormais au « mariage » homosexuel

    A mesure que les idées portées par le lobby LGBT sont imposées partout dans le monde, les témoignages de la souffrance d’adultes élevés par des paires homosexuelles et opposés à la légalisation du « mariage » homosexuel se multiplient. L’Américaine Heather Barwick vient de livrer le sien, particulièrement puissant. Elevée par deux lesbiennes, elle ne s’est jamais rebellée contre ces deux femmes. En réalité, elle éprouve un amour profond et sincère pour celles qui l’ont élevée et soutenait même le « mariage » homosexuel lorsqu’elle était encore jeune.
    C’est après s’être mariée elle-même et avoir découvert l’amour que son mari porte à leurs quatre enfants qu’elle a réalisé sa souffrance, et le fait que les deux sont nécessaires : un père et une mère.
    C’est en se mariant que Heather Barwick a découvert la souffrance liée à l’absence d’un père

    Le 17 mars, elle livrait son témoignage au site américain The Federalist :
    « Vous souvenez-vous du livre Heather avait deux mamans ? C’était moi. Ma mère, sa partenaire et moi vivions dans une adorable petite maison dans une banlieue située dans une région très libérale et ouverte d’esprit. La partenaire de ma mère m’a toujours traitée comme sa propre fille. Avec elle, j’ai également hérité de leur communauté très soudée d’amis lesbiennes ou homosexuels. Ou peut-être ont-ils hérité de moi ? (…) »


    « Je vous écris (à la communauté homosexuelle) parce que je me suis rendue compte de ceci : je ne soutiens pas le mariage gay. Mais ce n’est sans doute pas pour les raisons que vous imaginez.
    Ce n’est pas parce que vous êtes gays. Je vous aime tant ! C’est à cause de la nature de la relation homosexuelle elle-même. »

    En voyant l’amour de son mari pour ses enfants, Heather Barwick s’est opposée au mariage homosexuel

    Heather Barwick raconte qu’elle soutenait le « mariage » gay lorsqu’elle avait 20 ans, avant que son mari et ses enfants ne lui permettent de « voir la beauté et la sagesse du mariage traditionnel et du fait d’être parents ».
     Elle affirme que les défenseurs du mariage homosexuel privent l’enfant d’un père ou d’une mère, sous le prétexte que cela ne fait pas de différence. Elle affirme fortement que c’est faux et lance un message aux homosexuels : « Un grand nombre d’entre nous, un grand nombre de vos enfants souffrent. L’absence de mon père a créé un grand vide en moi, et ce manque de père, je le ressens chaque jour… Une autre mère ne pourra jamais remplacer le père que j’ai perdu. »
    Elevée par deux lesbiennes, Heather Barwick n’a jamais cessé de chercher son père

    Pendant que les femmes de sa vie refusaient d’avoir un homme, la petite Heather Barwick n’a jamais cessé de chercher « désespérément » un père : c’est un désir qu’elle décrit comme « inextinguible ».
    Heather Barwick reconnaît que certains couples composés d’un homme et d’une femme sont malheureux et que beaucoup divorcent, causant de nombreuses souffrances à leurs enfants, mais vivre avec des parents de même sexe est pour elle la pire des souffrances qui puisse être imposée à un enfant.
    D’autant plus, précise-t-elle, qu’un enfant adopté, ou un enfant de divorcés a le droit de dire qu’il souffre : « Pas nous », confie cette jeune femme.
    « La structure familiale la plus fructueuse est celle dans laquelle les enfants sont élevés tant par leur mère que par père » : elle l’a appris dans sa chair.« Le mariage gay ne redéfinit pas seulement le mariage, mais également la parenté », ose-t-elle dire.
    Heather Barwick regrette que la souffrance des enfants élevés par des homosexuels soit niée

    Pourquoi ? Parce que « cela promeut et normalise une structure familiale qui nous prive de quelque chose de précieux et de fondamental. Cela nous prive de quelque chose dont nous avons besoin, alors que l’on nous répète que nous n’avons pas besoin de ce que nous désirons naturellement et profondément. On nous répète que ça va aller. Mais ce n’est pas vrai, nous souffrons », explique Heather Barwick.

    Un témoignage plus désarmant encore pour les activistes LGBT que ne le sont certains témoignages plus virulents, écrits par des adultes conscients de leur souffrance depuis l’enfance…
    Certains d’entre eux ont d’ailleurs été obligés d’écrire sous pseudonyme, craignant ou subissant déjà les représailles d’activistes homosexualistes, qui ont décidément une définition bien à eux de la « tolérance » et de la « liberté » : la souffrance de ces enfants n’a que peu d’importance…

    Source

    http://www.contre-info.com/elevee-par-deux-lesbiennes-quelle-aime-elle-soppose-desormais-au-mariage-homosexuel#more-37317