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  • Révélation sur le financement des syndicats, Nicolas Perruchot, dans GMB - 18/10

  • Carl Lang à Metz le 25 avril

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  • L’Intergroupe pro-famille constitué au Parlement européen

    Communiqué de la FAFCE (Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe) :

    "La semaine dernière, l’intergroupe sur les politiques en faveur de la famille, la solidarité intergénérationnelle et le vieillissement actif a été enregistré au Parlement européen. Cet intergroupe est composé de deux sous-groupes, l’un dédié au vieillissement actif, coordonné par l’eurodéputé Lambert Van Nistelrooij (PPE - Pays-Bas) et l’autre, coordonné par l’eurodéputé Anna Záborská (PPE - Slovaquie), dédié aux politiques en faveur de la famille. Le sujet de la solidarité intergénérationnelle sera traité autant par l’un que par l’autre sous-groupe, les questions qui s’y rapportent ayant un caractère transversal. La FAFCE se félicite de la reconstitution d’une structure officielle du Parlement européen dédiée aux politiques en faveur de la famille pour le nouveau mandat législatif de 2014-2019.

    Les Etats membres de l’Union Européennes et la communauté internationale ont commémoré  l’année dernière le 20ème anniversaire de la Journée Internationale de la Famille (1994-2014) et le 8ème mandat électoral est de ce fait une excellente opportunité pour mettre en pratique les conclusions de cet anniversaire au niveau européen et au sein des Etats membres.

    Pour y parvenir, l’intergroupe peut servir de plateforme permettant une étroite coopération entre les parties prenantes par le biais de réunions politiques, de colloques publics et aussi par la participation active à la rédaction de résolutions du Parlement européen. Fondé en 1999, l’Intergroupe Famille est aujourd’hui la seule structure au sein des institutions européennes qui soit centrée sur les besoins des familles. La FAFCE suit l’Intergroupe Famille depuis son commencement et est convaincue qu’un dialogue ouvert concernant les intérêts et les besoins des familles peut à terme rehausser la prise en compte de la famille en général."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jean-Marie Le Pen rencontre des nationalistes radicaux au Parlement européen.

    Parlement européen (Bruxelles). Alors que Jean-Marie Le Pen se trouve dans la tourmente suite à des interviews données à BFM TV et Rivarol, il  a rencontré ce lundi 13 avril 2015 le président de l’APF (Alliance pour la paix et la liberté) Roberto Fiore (Forza Nuova-Italie), Nick Griffin (Royaume-Uni) et le Député européen du parti ultranationaliste allemand NPD Udo Voigt.

    BXL

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/jean-marie-le-pen-rencontre-des-nationalistes-radicaux-au-parlement-europeen_133020.html#more-133020

  • Hausse (encore) des impôts en France et annulation (encore) d’une dette africaine

    « Les uns après les autres, les maires des grandes villes, qui avaient fait campagne sur la stabilité fiscale, renient leur promesse, quelle que soit leur couleur politique. Ils ont parfois la main leste: Toulouse, dirigée par l’UMP Jean-Luc Moudenc, a ainsi voté vendredi une hausse de 15 % de la taxe d’habitation et de la taxe foncière. Lundi, ce sont Bordeaux, Lille et Marseille qui ont alourdi la facture pour leurs administrés. Quant aux Lyonnais et aux Strasbourgeois, ils ne seront pas non plus épargnés. » (source et suite)

    Dans le même temps, on apprend que le ministre français des Finances Michel Sapin a informé le président malien Ibrahim Boubacar Keïta de l’annulation de 64,8 millions d’euros de la dette du Mali, comme l’ont affirmé vendredi les deux parties.  Et cela sans motif précis, si ce n’est une aide vague « aide à la lutte contre le terrorisme ».

    http://www.contre-info.com/

  • Avec Anne Hidalgo, le Conseil français du culte musulman paye un loyer de 100 €/an pour un local de 100 m2 à Paris

    La Ville de Paris va louer au Conseil français du culte musulman (CFCM) les locaux qu’il occupe actuellement pour un loyer symbolique de 100 euros par an, selon une délibération approuvée mardi par le Conseil de Paris.

    La délibération prévoit de louer au CFCM ses locaux de plus de 100m2 à l’angle de la rue de la Croix-Nivert et de la rue Lecourbe pour un loyer annuel hors charge de 100 euros par an, soit une aide en nature de 30.683,14 euros par an.
    Le CFCM se verra aussi remettre gracieusement 90% de la dette constituée par les redevances qu’il n’a pas été en mesure de régler, en 2013 et en 2014. Cette aide représente un montant de 49.216 euros.

    De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer cette décision. De son côté, Charles Beigbeder a pointé du doigt “le clientélisme de la mairie de Paris qui abaisse le loyer du CFCM de 28 000€ à 100€ et annule sa dette de 50 000€“.

    http://fr.novopress.info/185778/conseil-paris-offre-locaux-quasi-gratuits-conseil-francais-du-culte-musulman/#more-185778

  • Histoire : le rachat des esclaves chrétiens

    Lu ici :

    "il est un esclavage encore plus enfoui dans les tréfonds de la mémoire officielle. L’Histoire en fournit pourtant maint témoignages, comme cette lettre à la Reine datée de 1643 intitulée Les larmes et soupirs de deux milles François esclaves dans l’enfer d’Alger en Barbarie à la Reine régente, mère de Louis XIVDurant les siècles que dura cet esclavage, des Français organisèrent, au péril de leurs vies, des missions de sauvetage pour racheter la liberté de leurs compatriotes captifs, tenant à cette occasion des sortes de listes de Schindler : des litanies de noms, de prénoms, d’âges, d’années d’asservissement, de prix de rachat. Vous n’en avez probablement jamais entendu parler. Tellement  incorrectes, ces listes témoignent ligne après ligne de  vérités à contre-courant des priorités mémorielles de la doxa contemporaine.

    La plupart des listes qui suivent ont été rédigées par des Trinitaires, un ordre religieux  fondé à Cerfroid  (Picardie) en 1194 par les Français Jean de Matha et Félix de Valois. Le symbole des Trinitaires est une mosaïque datant de 1210 qui représente Jésus libérant deux captifs, un blanc et un noir. Un ordre similaire, fondé en 1218 à Barcelone par Pierre Nolasque, est celui des Mercédaires. Ces ordres dits de « rédemption des captifs » avaient pour mission de récolter des dons puis d’aller négocier le rachat des esclaves victimes de la traite arabo-musulmane et plus particulièrement les Français aux mains des Barbaresques en Afrique du Nord. Ces missions faisaient l’objet de compte-rendus dans lesquels apparaissaient les  listes dont certaines sont données ci-dessous. Les liens vers les documents originaux numérisés par la BNF (bibliothèque nationale de France) sont disponibles en fin d’article, ainsi que des témoignages d’époque" (suite).

    Lahire  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Toilettage à l’UMP : c’est qui, c’est quoi, « Les Républicains » ?

    Voilà donc levé le secret de Polichinelle : l’UMP fait son toilettage de printemps et change de nom. L’Union pour un mouvement populaire (UMP) s’appellera désormais « Les Républicains ».

    De retour aux manettes d’un parti surendetté, traînant à son derrière une batterie de casseroles tintinnabulantes, Nicolas Sarkozy décidait dès septembre dernier qu’il était urgent de changer d’image, histoire sans doute de crédibiliser auprès des Français l’idée – fort douteuse – que lui-même avait changé. « Impossible de vouloir tourner la page Bygmalion sans changer la marque », disaient alors ouvertement quelques cadres du parti. On me pardonnera la comparaison, mais cela me fait penser à ces commerçants du Sentier qui passent leur temps à changer d’enseigne pour planter leurs fournisseurs par des jeux de faillites bien huilés.

    Bref, on fait fuiter quelques noms dans la presse, histoire de tâter le terrain. On organise même une enquête (bidon ?) auprès des militants début février. Les adhérents de l’UMP voulaient, paraît-il, de la « France » et de la « République ». Nicolas Sarkozy a tranché, ce sera « Les Républicains ». Un faux suspense, là encore, puisque nom et logos ont été déposés à l’INPI dès octobre 2014 ! Mais à défaut de suspense, est-ce une bonne idée ?

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  • Crise au FN : les gagnants et les perdants

    Jérôme Sainte-Marie, diplômé de Sciences Po Paris et d’une licence d’histoire, Jérôme Sainte-Marie a travaillé au Service d’Information du Gouvernement et à l’institut Louis Harris. Il a ensuite dirigé ensuite BVA Opinion de 1998 à 2008 puis CSA Opinion de 2010 à 2013. Il a fondé en parallèle l’institut iSAMA en 2008.

    ♦ FIGAROVOX/ANALYSE – Face à la crise politique et familiale que traverse le Front national, Jérôme Sainte-Marie s’interroge sur le devenir du parti d’extrême droite: comment réussir sa normalisation tout en conservant ses spécificités?

    « L’avenir du parti de Marine Le Pen se joue sur sa capacité à accroître son agilité stratégique sans détruire sa spécificité.. »


    La crise que traverse le Front national a l’apparence de la rénovation, de l’aggiornamento, de ces phases de transition qui suscitent au premier abord une faveur générale mais s’achèvent parfois par la destruction du système que l’on s’était promis d’adapter aux temps nouveaux. De manière moins ambitieuse, et partant moins risquée, l’avenir du parti de Marine Le Pen se joue sur sa capacité à accroître son agilité stratégique sans détruire sa spécificité.

    En termes de mutation ratée, la référence à l’extrême-droite est constituée par le Mouvement Social Italien, dont l’héritage mussolinien a été liquidé par Gianfranco Fini, et qui, après avoir changé jusqu’à son nom, se perdra dans une alliance gouvernementale avec Berlusconi.

    Il est pourtant un autre exemple, beaucoup plus proche, celui du Parti communiste français. Ainsi, au cours des années 1970, il a mené un travail idéologique en profondeur, consistant à liquider un héritage léniniste qui, de fait, le plaçait en marge du système politique. Cette entreprise, achevée par Robert Hue sur un mode farce et sous les applaudissements des commentateurs médiatiques, a largement contribué à l’élimination presque complète d’un vote communiste qui concernait un Français sur cinq. Dès lors que toute spécificité idéologique était niée, et cela par ses propres dirigeants, le «parti de la classe ouvrière» devenant le «parti des gens», tout intérêt disparaissait pour ce vote. Le plus logique était de voter utile dès le premier tour, c’est à dire pour le Parti socialiste. Et le Parti communiste disparut pratiquement.

    En quoi ces exemples historiques nous informent-ils sur les risques courus par le Front national? Tout simplement par le caractère distinctif de l’expression électorale et de la participation militante. Pour ses électeurs, voter pour le Front national, c’est aujourd’hui se démarquer radicalement du reste de l’offre politique. La forme de dissidence pratiquée par Jean-Marie Le Pen a eu son utilité politique, mais toutes les études d’opinion montrent qu’elle est désormais massivement rejetée par les sympathisants frontistes. Ceux-ci ne souhaitent pas pour autant une mise en conformité avec les valeurs et les manières de l’UMP ou du Parti socialiste. Marine Le Pen profitait largement du partage des rôles avec son père, car ainsi elle pouvait manœuvrer sur des terres idéologiques nouvelles sans que soient rompus les liens avec le terreau d’extrême-droite. Désormais, il lui revient d’assumer l’ensemble de la doctrine frontiste.

    C’est là que surgit la difficulté. Il existe en France une fraction irréductible de l’électorat qui exprime son attachement aux valeurs traditionnelles et s’accommode mal de la neutralité en matière de mœurs. La mobilisation autour de la Manif pour tous -le «mai 68 conservateur» décrit par Gaël Brustier- a renforcé la conscience qu’elle avait de son existence. Les tensions culturelles, qui ne se réduisent pas dans l’opinion à la question de l’islam, ne font que se renforcer, à mesure qu’implose le projet de transformation sociale portée par la gauche.

    Le fatras idéologique qu’était le Front national de Jean-Marie Le Pen permettait paradoxalement d’attirer ces électeurs au moins épisodiquement. La convergence des électeurs de l’UMP et du FN sur l’immigration et l’islam, soulignée par un récent sondage Ifop publié par le Figaro Magazine, s’accompagnait, pour une partie moindre de chacune de ces deux ensembles, d’une vision commune de l’identité nationale. Cette dimension, qui ne se réduit pas à la préférence nationale défendue par Marine Le Pen en matière économique et sociale, risque de se trouver un peu orpheline avec la mise à l’écart de Jean-Marie Le Pen.

    Dès lors, et une fois mentionnés les gains d’image immédiats que devrait réaliser Marine Le Pen avec sa démonstration d’autorité, et les perspectives élargies de prise de pouvoir que cela signifie, un risque important doit être signalé. Les élections départementales ont montré l’élargissement géographique du Front national, s’étendant notamment vers l’Ouest. De manière parallèle, il s’est développé dans des catégories plus âgées, plus marquées par le catholicisme, ce qui lui est d’autant plus précieux qu’il s’agit de personnes moins vulnérables à l’abstention. Cette progression est fragile, et elle ne se fait pas sur les dossiers économiques, mais malgré les positions du Front national à ce sujet. Elle exprime une inquiétude, voire une colère, dont ce parti composite apparaissait jusqu’à présent comme le moins mauvais vecteur, et qui se jouent avant tout sur le terrain culturel.

    Un tour moderniste donné au discours du Front national serait certainement loué dans la sphère médiatique ; il serait pourtant préjudiciable à la fidélisation de ses gains récents tout autant qu’à la loyauté des soutiens les plus anciens. L’UMP ne paraît pas en position d’en profiter, n’exprimant pas de positions claires et constantes sur les enjeux culturels. Ceci ouvrirait donc un espace politique, à côté du Front national, centré sur les valeurs identitaires. L’agilité stratégique de Marine Le Pen n’en serait pas diminuée, et à condition de maintenir le caractère distinctif de son parti sur le thème central de la préférence nationale, qui offre quelques passerelles avec l’enjeu identitaire, elle pourrait y trouver son compte dans la perspective des seconds tours à venir.

    Jérôme Sainte-Marie13/05/2015

    Source : Le Figaro.fr

    http://www.polemia.com/crise-au-fn-les-gagnants-et-les-perdants/