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  • En attendant le krach, les banksters se gavent !

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    Pieter Kerstens

    Plus les mois passent et plus nombreuses sont les autorités financières qui mettent les gouvernements en garde contre une nouvelle crise qui sera bien plus dévastatrice que celle que nous avons connue en 2007/2008. Depuis janvier 2019, ce sont plus de 50.000 emplois qui ont été supprimés dans les banques européennes.

    Les médias et les politiciens nous parlent de « sauver la Planète » ou la forêt amazonienne, en ralliant la bannière du méchant petit troll nordique. Les mêmes monopolisent les antennes avec les dangers d’un Brexit, qui partage les actualités avec une guerre commerciale entre l’Asie et l’Occident, pimentée d’un risque de nouveau conflit au Moyen-Orient.

    Peu de choses en ce qui concerne les bourses surévaluées où l’économie réelle a cédé la place aux algorithmes et aux échanges à haute fréquence, capables de créer le chaos en quelques minutes, mais également d’enrichir en un clin d’œil les spéculateurs avides.

    Quelques rares esprits lucides, comme Nouriel Roubini, Georges Ugeux, Christine Lagarde, Charles Gave, Jean-Claude Trichet et certains autres tirent le signal d’alarme. Car il est faux de croire que les déficits des budgets successifs et la hausse des dettes publiques permettront la mise en œuvre des réformes structurelles indispensables à une bonne gestion des affaires.

    Pour ceux et celles qui en ont encore la possibilité et veulent se préparer à la pire crise financière en gestation, il y a lieu de réduire sa dépendance aux banques et à l’Euro. Comment ?

    • En possédant des espèces (de 3 à 6 mois) afin de couvrir ses dépenses courantes.
    • En convertissant son épargne en or (napoléons) ou en argent métal.
    • En se procurant diverses devises (telles que des francs suisses, des livres sterling, des couronnes norvégiennes ou des dollars)
    • Eventuellement en investissant dans l’économie réelle (immobilier, secteur alimentaire ou encore dans la production d’énergie).

    Les ennemis de l’Europe, les mondialistes, qui nous ont imposé le traité de Maastricht et qui rêvent d’un homo consuméris universel, nous traitent d’oiseaux de mauvais augure et tentent de convaincre les populations d’un risque zéro concernant les finances mondiales.

    Certes, certains secteurs d’activités ont permis une amélioration de notre niveau de vie ces dix dernières années, mais cela au prix de déficits des comptes publics, dont bien sûr nos enfants et petits-enfants vont hériter.

    Après 40 ans de gabegie, il est grand temps de tenir un langage de vérité et de restaurer des mesures de bon-sens. On ne peut pas éviter les problèmes en dépensant plus que l’on gagne. Et ce n’est pas non plus en matraquant les riches de taxes et d’impôts divers que l’on va aider les pauvres.

    Pour revenir à un équilibre sain des comptes publics, il faudra se serrer la ceinture, tout en travaillant plus et plus longtemps. Il y a 40 ans (avant Mitterrand) on pouvait travailler 40 heures/semaine et prendre sa retraite à 65 ans. Est-ce que les gens étaient plus malheureux pour cela ? Les élèves et les étudiants étaient-ils moins éduqués que maintenant ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/05/en-attendant-le-krach-les-banksters-se-gavent-6180746.html

  • Sarcelles : le lycéen qui a sauvagement agressé son professeur d’EPS est un migrant sans papiers

    La vidéo a tourné sur les réseaux sociaux, lancée par des élèves de la classe du jeune homme, trop contents de montrer l’un des leurs en découdre avec son professeur d’EPS qui lui avait demandé de retirer sa casquette. Et qui ne sont pas intervenus pour aider leur professeur à maîtriser leur camarade.

    La casquette. Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli. Donc, le règlement est strict : tout couvre-chef est interdit dans les bâtiments. Et nous rappelons tous les jours à certains que, dès qu’ils en franchissent les seuils, ils doivent la retirer. En général, cela se passe bien. Mais pas toujours, et pas partout, comme cette agression du lycée de la Tourelle, à Sarcelles, l’a montré. On vous laisse imaginer la scène et le cours si ce n’était pas son professeur d’EPS musclé mais la fluette professeur de lettres qui avait demandé à ce lycéen d’obtempérer, ou qui ne le lui aurait pas demandé.

    Avec la casquette, un autre objet occupe le même statut identitaire et conflictuel : le portable. Jeudi soir, à Osny, dans le Val-d’Oise, un autre lycéen, qui aurait fait tomber son professeur qui lui demandait son portable, a été placé en garde à vue. À l’Éducation nationale, les choses vont mal, même si beaucoup de collègues, par peur ou par idéologie, refusent de le reconnaître. Cette semaine, entre les suicides d’enseignants et les agressions, jusqu’au meurtre, vendredi, d’un jeune dans le 93, le bilan est terrible. Mais M. Blanquer essaie de passer entre les vagues, sauvé par les gros soucis que son collègue Castaner rencontre en ce moment à la préfecture de police de Paris.

    Mais revenons à la casquette de Sarcelles. Qui est ce lycéen rebelle, violent, capable de se battre avec son professeur ? Sa comparution immédiate nous en a appris un peu plus : d’après Le Parisien, il s’appelle Dio, il a 19 ans, il est arrivé clandestinement en France en 2013. Il a été condamné à huit mois de prison, dont quatre avec sursis. Mais il ne sera pas expulsé…

    Il paraît que l’enseignant agressé, qui a pourtant porté plainte, a tenté, lui, de minimiser les faits ! Croit-il que c’est ainsi qu’il combattra ce genre de comportements et qu’il aidera les collègues dans la même situation ? Sa réaction, pour étonnante qu’elle soit venant d’un homme qui a montré un réel courage physique, peut se comprendre quand on connaît les pressions multiples de l’administration dans ce genre de circonstances. Et la culpabilisation insidieuse qu’elle instille. Vous vous souvenez du mouvement #Pasdevagues ? C’était il y a un an.

    Faut-il rappeler que nos établissements scolaires, avec la complicité du ministère de l’Éducation nationale, et de multiples associations, comme RESF, accueillent des milliers de migrants sans papiers, parfois clandestinement, c’est-à-dire sans que l’autorité préfectorale ou judiciaire en soit informée, qu’il nous est parfois demandé de falsifier des bulletins, des résultats, pour que « le jeune » n’ait pas de problème, que cela ne va pas sans poser de nombreux autres problèmes, de discipline et de sécurité ?

    L’Éducation nationale, pour les migrants, est devenue une zone de non-droit. Avec la complicité de beaucoup trop d’enseignants. Complices. Et victimes.

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/sarcelles-le-lyceen-qui-a-sauvagement-agresse-son-professeur-deps-est-un-migrant-sans-papiers/