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  • Massacre programmé de la vallée de la Gartempe (Vienne) par des parcs éoliens

    Trouvé sur le site de la Société pour la protection des paysages et de l’esthétique de la France :

    « Aux confins de la Haute-Vienne et de la Vienne, entre Saint-Remy et Plaisance, c’est un coin de terre sauvage et paisible qui, du Saut de la Brame au Roc d’Enfer, n’a pas changé de mémoire d’homme. Connu des promeneurs, des randonneurs et des rêveurs, c’est un rendez-vous pour les amateurs de kayak et d’escalade. 820 hectares de ce territoire exceptionnel ont été dûment protégés par un classement ou une inscription au titre des sites et zone Natura 2000 (voir cartes) !

    Les gorges de la Gartempe à Lathus
    Le Roc d’Enfer

    Seulement, voilà : les promoteurs éoliens sont venus, ici comme ailleurs, avec leurs projets, leurs promesses…

    http://www.contre-info.com/massacre-programme-de-la-vallee-de-la-gartempe-vienne-par-des-parcs-eoliens

  • Christophe Castaner doit démissionner !

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    Le bidonnage des chiffres de la manifestation d’hier est le dernier scandale qui agite la place Beauvau. Mais celui sur l’identité de Mickaël Harpon, le terroriste infiltré dans la police, agite toutes les rédactions :

    Après un hiver et un printemps marqué par les polémiques autour de son incapacité à maintenir un ordre public bousculé par les Gilets Jaunes, puis autour de la violence de la répression policière, y compris à Nantes dans l’affaire Steve Maia Caniço, voici une nouvelle épine dans le pied du gouvernement. Un attentat islamiste vient d’être commis dans les locaux de la Préfecture de police, par un fonctionnaire informaticien affectée à la direction du renseignement… Or, peu de temps après l’attentat, à l’unisson de la communication gouvernementale hasardeuse sur l’affaire Lubrizol, Christophe Castaner expliquait la bouche en coeur que rien ne permettait d’anticiper l’attentat.

    Jeudi, peu après les faits, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmait que l’adjoint administratif n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale », ni « le moindre signe d’alerte ».

    Malheureusement pour lui, la vérité est très différente.

    Assez rapidement, les informations ont filtré sur le véritable profil de Mickaël Harpon, très éloigné de l’image rassurante que Castaner en a dressée.

    Ainsi, dès le lendemain de l’attentat, le Parisien donnait des détails instructifs sur le mode opératoire du terroriste et surtout sur les signalements dont il avait fait l’objet de la part de ses collègues:

    Sur procès-verbal lors des premières investigations, un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ». Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ». Pour autant, il restait inconnu des services de renseignement, ces alertes n’étant apparemment pas remontées.

    Certes, on veut bien qu’il n’y ait pas plus mal chaussé qu’un cordonnier. Mais quand même… Que les services de renseignement soient si mal renseignés sur un informaticien dont il est précisé qu’il a « accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical », ça pose un petit problème.

    Dès samedi, le procureur anti-terroriste donnait une conférence de presse précisant le profil du terroriste:

    Les premières investigations ont relevé son «approbation de certaines exactions commises au nom de cette religion», «son souhait de ne plus avoir certains contacts avec des femmes», «sa justification» des attentats de Charlie Hebdo en 2015, «son changement d’habitude vestimentaire depuis quelques mois», a déclaré le procureur antiterroriste lors d’une conférence de presse.

    Progressivement, on comprend que le discret informaticien était en contact par Telegram avec trois djihadistes dont on ne sait où ils se trouvent. Le ministère prend donc peu à peu conscience de la présence d’une taupe de Daesh dans ses rangs.

    Toute la question est de savoir, comme Christophe Castaner et Laurent Nunez l’ont affirmé devant les caméras de télévision, pourquoi les signalements émis par les collègues d’Harpon n’ont pas été « remontés ». Sur ce point, qui risque de s’envenimer dans les jours à venir (Castaner sera auditionné mardi au Parlement, et cette audition vaudra son pesant de cacahuètes), il existe aujourd’hui un grand flou. Selon Laurent Nunez, interviewé ce midi sur BFM TV, la hiérarchie directe des policiers aurait refusé de faire « remonter » leur signalement. Selon Christophe Castaner, les deux collègues de Harpon ont refusé de faire le signalement:

    Selon Christophe Castaner, «deux collègues de l’assaillant auraient, en juillet 2015, fait état d’un comportement anormal et d’un problème suite à l’attentat de Charlie Hebdo. Ils auraient décidé de ne pas faire de signalement, après avoir discuté avec leur collègue chargé des radicalisations». Selon le ministre de l’Intérieur, qui a déploré qu’aucun signalement ne soit remonté, «le dysfonctionnement se fait à ce moment-là». (…)

    Deux mois plus tard, les mêmes collègues ont maintenu leur volonté de ne pas faire de signalement, arguant «ça va, on va gérer», toujours selon les propos de Christophe Castaner.

    On ne sait pas encore tout des circonstances qui ont amené les collègues de Mickaël Harpon à ne pas formaliser leur signalement. De nouvelles péripéties sont sans doute à attendre sur ce sujet. D’ici là, on est bien obligé de mettre bout à bout les relations complexes de la Préfecture de Police avec le pouvoir exécutif.

    Tout commence avec l’affaire Benalla. Selon ce qui ressort du dossier, ce sont des policiers gradés de la Préfecture de Police qui proposent à Alexandre Benalla de jouer au CRS, en dehors de toute couverture hiérarchique explicite, selon ce que l’on sait aujourd’hui. Lorsqu’une enquête parlementaire interroge Alain Gibelin, le directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC), on découvre qu’un policier de ce rang peut publiquement fragiliser la version de l’Élysée. Selon le Préfet de police, lui aussi auditionné, des fonctionnaires de la DOPC prennent des décisions sans en référer à leur hiérarchie.

    Quelques mois plus tard, le préfet de police est poussé à la démission au vu des désordres qui règnent dans Paris chaque samedi. Il prétend alors que les ordres qu’il donne ne sont pas appliqués dans les services. Une fois de plus, la police parisienne apparaît en roue libre.

    On comprend progressivement que, avec l’arrivée de Macron au pouvoir, et plus singulièrement avec l’arrivée de Castaner à Beauvau, les policiers parisiens prennent seuls des décisions politiques qui concurrencent directement l’autorité des ministres. Jusqu’à considérer qu’ils n’ont pas à respecter des consignes de prévention du terrorisme sur leurs propres bancs. Ils forment un gouvernement profond qui s’émancipe de l’autorité démocratique. Visiblement, ceux-là ont poussé l’ambition jusqu’à mettre en danger leurs effectifs. La démocratie peut-elle tolérer longtemps ce genre d’écart ? La balle est dans le camp de Macron et de Castaner.

    La peur du procès en islamophobie nous coûte des vies : on n’ose plus éloigner les islamistes des professions à risques. Nous sommes en présence d’une cinquième colonne, infiltrée dans nos rangs. C’est la rançon de l’idéologie du “vivre-ensemble”. Quand Eric Zemmour dénonce l’islamisme, l’idiot dénonce Zemmour. Nos 4 policiers ont perdu la vie car les bien-pensants ont perdu la raison.

    Source: Le Salon Beige

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/07/christophe-castaner-doit-demissionner-6181155.html

  • Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois – journal du lundi 7 octobre 2019

    1) Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois

    4 jours après l’attaque terroriste à la préfecture de police de Paris, un rapport de service atteste des multiples signaux de radicalisation de l’assaillant. L’Etat se retrouve donc confronté à son propre échec et Christophe Castaner est en première ligne.

    2) Pari réussi pour les opposants à la PMA

    Dimanche, à l’appel d’un collectif d’une vingtaine d’associations dont La Manif Pour tous, une grande manifestation a défilé dans les rues de Paris. Un pari réussi qui prouve que la mobilisation pro-famille n’a pas pris une ride depuis 2013.

    3) Immigration : faux débat et vrai manœuvre politique

    L’immigration est de retour dans le débat politique français ! Une volonté du président de la République qui s’inscrit dans une démarche électorale à quelques mois seulement des prochaines élections municipales.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attaque-a-la-prefecture-de-police-des-renseignements-aux-abois-journal-du-lundi-7-octobre-2019

  • Rouen : de 5.253 tonnes de produits chimiques incendiés on passe à 9.050 ! Etonnez-vous qu'on soit inquiet...

    La Préfecture de Seine maritime avait bien publié une liste de produits chimiques incendiés, évalués à 5.253 tonnes.

    Voilà que, vendredi soir, ce chiffre était augmenté de... 9.050 tonnes (excusez du peu !), car on s'est rendu compte, après coup, que l'usine Lubrizol stockait des marchandises chimiques "type Seveso" dans trois hangars de l'entreprise voisine, Normandie Logistique.

    Sur ces trois hangars, un a été détruit intégralement, un deuxième à soixante pour cent environ, le troisième à environ vingt pour cent...

    La Préfecture a manifestement mal géré l'information : elle a soit parlé trop vite, soit dit trop peu... Résultat : l'inquiétude, et plus, persiste et s'accroît...

    (lire ou relire notre note du 5 octobre dernier : envoi de lecteur rouennais)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/07/rouen-de-5-253-tonnes-de-produits-chimiques-incendies-on-pas-6180881.html

  • La France a « loupé l’intégration de ses immigrés », estime Christophe Castaner

    Le ministre de l’Intérieur a jugé que l’opposition entre la droite et la gauche sur la question de l’immigration avait fait « oublier l’essentiel ».

    La France a « loupé ces dernières années l’intégration » de ses immigrés, a estimé le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner ce lundi, au moment où s’ouvre à l’Assemblée nationale un débat hautement sensible sur le sujet, voulu par Emmanuel Macron.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-france-a-loupe-lintegration-de-ses-immigres-estime-christophe-castaner

  • L’Etat gangrené par l’islamisme radical

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    Le billet de Patrick Parment

    C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. L’assassinat de quatre fonctionnaires de police au sein même de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) par l’un des leurs, au nom d’un islamisme radical, dépasse, sans l’absoudre, l’incompétence du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner. Car c’est tout notre système  sécuritaire et son fonctionnement qui est en cause. Concernant le ministre de l’Intérieur – dont ce n’est pas la première bourde -, le fait qu’il ait été mal informé de la part de ses servies démontre qu’il ne tient pas sa boutique. N’a-t-il pas commencé par nous dire  que cet attentat n’avait rien d’islamique ! Sauf qu’on a fini par s’apercevoir que le roi était nu.

    L’auteur de cet attentat – quatre personnes tuées avec un couteau qui n’était pas en céramique comme avancé -, est un Martiniquais de 45 ans, marié à une Marocaine et converti depuis de nombreuses années à l’islam. L’homme et la femme étant par ailleurs tous deux malentendants, ce qui les a réuni.

    Or, il appert que cette conversion à l’islam était connue de son service. Mickaël Harpon est un informaticien habilité secret défense qui a été embauché en 2003 au service de maintenance technique de la DRPP dont l’une des priorités est justement le terrorisme islamique radical. La première question qui vient à l’esprit est : a-t-il siphonné durant des années les informations au profit d’une nébuleuse djihadiste ? Auquel cas, on serait bel et bien face à un problème sécuritaire et politique majeur. Car, au-delà du cas Castaner qui n’est jamais qu’un pion sur l’échiquier du pouvoir, c’est toute la hiérarchie et le fonctionnement de la lutte antiterroriste qui est en cause et donc à revoir. Cela laisse supposer également que ce n’est peut-être pas la seule institution étatique gangrené par l’hydre islamique et qu’un état des lieux s’impose. Il va falloir sortir de l’angélisme et arrêter de nous enfumer avec un l’islam doucereux impacté par les droits de l’homme si chers à nos universalistes francs-macs.

    Macron et sa clique ne sont donc pas différents de nos politiques d’hier. Ils sont de la même eau. Et il est désormais bien inutile d’accuser sans cesse l’extrême-droite de tous les maux puisqu’elle est la seule, toutes tendances confondues, à avoir dénoncé le laxisme de la droite, de la gauche et des pouvoirs publics face au danger que représentent l’immigration et l’islam.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/07/l-etat-gangrene-par-l-islamisme-radical-6181064.html

  • Ils nous refont le coup des chiffres minorés

    Ils nous refont le coup des chiffres minorés

    Finalement la Préfecture de police a annoncé 42 000 manifestants hier à Paris, ce qui a fait réagir La Manif Pour Tous :

    Les équipes techniques de La Manif Pour Tous demandent à avoir accès aux vidéos de la préfecture de police sur l’ensemble des itinéraires de la manifestation « Marchons Enfants ! » L’estimation donnée ce soir par les autorités est manifestement déraisonnable et en contradiction avec les échanges opérationnels entre le poste de commandement de la manifestation et la Préfecture de Police.

    De fait, la tête de cortège est arrivée sur la place du 18 juin alors que la place de départ était encore saturée ! La Préfecture a demandé en catastrophe l’ouverture d’un itinéraire de délestage pour désengorger la place de départ…

    Occurrence, le cabinet soi-disant indépendant qui a comptabilisé 74500 participants à la Manifestation Marchons Ensemble est accusé de connivence avec La REM. Il appartient à
    Assael Adary, qui a prêté allégeance à Aurore Bergé pour ses combats politiques :

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  • YVAN BENEDETTI INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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  • Attentat de la préfecture de police : souvenons-nous des promesses de l’État islamique

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    Le profil de l’assassin de la préfecture de police de Paris se précise : islam radical, accointances avec une organisation terroriste, opération préméditée. L’assassinat est désormais un attentat. Le terroriste une taupe ?

    Souvenons-nous des promesses de l’État islamique. C’était encore l’époque où on l’appelait par son nom : État islamique en Irak et au Levant. Ce n’était pas encore le Califat, et on n’utilisait pas encore l’acronyme arabe de Daech pour rendre moins évident à l’oreille française son caractère religieux et prophétique. À cette époque, l’État islamique inondait Twitter, Facebook et YouTube de ses clips de propagande, de ses visuels imitant les jeux vidéo, de ses citations coraniques et des numéros de sa revue, Dabiq, qui a, depuis, changé de titre et de format.

    Alors qu’il consolidait ses conquêtes en Irak et en Syrie, l’État islamique avait un slogan principal : « Dawlat-al-Islam baqiya ! » ou, plus simplement, « Baqiya ! » (« L’État islamique restera ! »). Il avait un slogan secondaire abondamment relayé sur les réseaux sociaux : « We are coming, o Rome! » Il promettait l’accomplissement de la prophétie sunnite selon laquelle les cavaliers aux étendards noirs prendraient le Levant et soumettraient la capitale de la chrétienté, établissant la domination de l’islam sur le monde.

    Mais pour conquérir Rome, il faut d’abord passer sur le corps de la France, protectrice de la papauté depuis le règne de Pépin le Bref et considérée comme telle par l’État islamique. Le numéro 15 de Dabiq, publié à la suite des attentats de Paris en 2015, illustrait son dossier « Pourquoi nous vous haïssons » par une photographie de la messe traditionnelle ad orientem.

    Attentats des marchés de Noël, attentat de Charlie Hebdo, attentats de Paris, attentat de Nice, attentat des Champs-Élysées… L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait. L’État islamique avait appelé ses fidèles à tuer les Français partout, tout le temps, au couteau, par le poison, sous les roues des voitures… et les égorgements, renommés « coups de couteau à la gorge », partout ont fleuri.

    À cette époque, l’État islamique avait aussi promis de déstabiliser l’Europe en la submergeant sous une vague de millions de réfugiés, parmi lesquels ses fidèles se cacheraient comme des loups au milieu du troupeau. L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait.

    L’État islamique a été fondé par d’anciens cadres des renseignements irakiens qui ont mis leurs compétences au service de cette organisation. Pour faire tomber la Syrie, ils avaient placé ou retourné des hommes dans chaque ville et chaque village. Au moment opportun, ceux-ci avaient su indiquer sur qui s’appuyer, qui arrêter, qui exécuter.

    Le terroriste de la préfecture de police de Paris avait accès, par son accréditation secret défense, à des données sensibles du renseignement antiterroriste. On ne sait pas encore s’il a prêté allégeance à l’État islamique, s’il a été retourné pour devenir une source de renseignement… Étant donné le profil des fondateurs de cette organisation, c’est possible et il pourrait ne pas être le seul.

    Souvenons-nous que l’État islamique tient ses promesses. Sous-estimer un ennemi peut faire du bien au moral, mais cela ne fait pas gagner la guerre.

    Guillemette Pâris

    https://www.bvoltaire.fr/attentat-de-la-prefecture-de-police-souvenons-nous-des-promesses-de-letat-islamique/