Pour une transition écologique respectueuse de notre environnement, restauratrice de nos territoires, valorisante pour les emplois, protectrice de l'avenir... Dans son dernier ouvrage, "Comment réaliser la transition écologie - Un défi passionnant" l'économiste Philippe Murer propose dans un programme détaillé, loin du capitalisme vert comme du catastrophisme ambiant, une méthode simple, pleine de bon sens, avec des mesures concrètes à prendre immédiatement, à rebours de l'écologie telle qu'elle est matraquée dans les médias. Tout ce que les Verts ne sauront jamais faire...
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Coronavirus : Les leçons!
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La Royauté serait une dictature. Questions, réponses à cette objection stupide.
Source : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/
Certains de nos contradicteurs nous disent, sans complexe : « La Monarchie, c'est la dictature, tout le contraire de la République... ». Voici quelques éléments de réponse à cette affirmation absurde !
Dans l'histoire comme dans le projet contemporain, et c'est de la France dont il s'agit ici, la Monarchie n'est pas une dictature et n'a pas vocation à le devenir, même si la tentation d'un régime autoritaire a pu exister de la part de quelques royalistes lors du premier XXe siècle, furieux de la déliquescence d'une IIIe République qui laissait la voie ouverte à la puissance germanique.
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L’heure de faire les comptes est arrivée...
Editorial du n°54 (été 2020) de la revue Synthèse nationale
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
Tout avait pourtant bien commencé... Souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps de cela, au printemps 2017, la France légale traversait une véritable cure de jouvence. Le fringant Macron, premier de la classe, bon élève à l’ENA et fidèle toutou de la finance mondialiste, venait d’être élu président et son parti, fraîchement créé et curieusement intitulé « la République en marche », triomphait aux législatives. Ouf, la démocratie était sauvée... elle venait d’échapper à l’effroyable menace populiste alors incarnée par la « terrible Marine Le Pen ». La bobocratie en sortait rassurée et elle commençait à imaginer un monde parfait dans lequel « tout le monde il est gentil et tout le monde il consomme (sans rechigner) ».
Et « plouf », très vite le temps s’est gâté. L’état de grâce n’aura duré que quelques mois. Les belles illusions se sont transformées en un véritable cauchemar...
En fait, à son corps défendant, Macron s’est retrouvé dans une situation qu’il n’avait pas imaginée lorsqu’il était le candidat joker du Système. Il ne savait pas qu’il allait devoir gérer un paquet de factures à payer... factures que lui ont aimablement laissées ses prédécesseurs qui avaient la vue courte, qu’ils soient de « droite » ou de « gauche ».
Première facture : celle de la France des laissés pour compte du mondialisme...
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Logements sociaux : au mauvais endroit au mauvais moment
En lisant l’article de Loïc Mansard, « La haine, appelle la haine », je n’ai pu m’empêcher de penser que nous sommes de plus en plus nombreux à ne pas être au bon endroit au bon moment. Il y a quelques mois, Boulevard Voltaire avait accepté de se faire l’écho de la situation d’habitants d’immeubles privés rachetés par des bailleurs sociaux qui, à la suite de ce transfert de propriété, voyaient leur loyer s’envoler et, parfois, recevaient une sommation de déguerpir car leurs ressources excédaient les plafonds fixés par la réglementation des HLM.
La Cour de cassation, dans un arrêt du 28 mai dernier, vient confirmer l’absence de tout recours contre les suppléments de loyers et expulsions de locataires « achetés » avec l’immeuble qu’ils habitaient. En effet, elle déclare que la réglementation des logements sociaux s’applique aux locataires qui y résident alors même qu’ils avaient conclu un bail privé avec un propriétaire qui a ensuite vendu son bien occupé à un bailleur social.
En clair, pas de chance pour ces gens-là auxquels aucun logement social n’a jamais été attribué mais qui sont soumis aux règles s’appliquant aux habitants de logement social. Et, surtout, qu’ils ne s’amusent pas d’aller encombrer les tribunaux par des contestations ! Il en va du bien vivre ensemble et de la mixité sociale garante de la paix sociale. Mais à quel prix pour ceux qui la payent plein tarif !
Brigitte Gallay
https://www.bvoltaire.fr/logements-sociaux-au-mauvais-endroit-au-mauvais-moment/