Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • L’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros

    chez-les-republicains-le-cas-viktor-orban-pose-toujours-probleme-230x180.jpg

    George Soros avait publié un texte demandant à l’UE de faire plier la Pologne et à la Hongrie. Viktor Orbán a répondu :

    L’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros

    Réponse à l’article de George Soros

    Nombreux sont ceux qui pensent que le chef du gouvernement d’un pays n’a pas à débattre avec George Soros. Pour eux, Soros est un délinquant économique, qui a gagné son argent par la spéculation, par la ruine de millions de personnes, et même par le chantage exercé sur rien moins que des économies nationales. Tout comme les gouvernements ne peuvent pas discuter avec des terroristes, les chefs de gouvernement ne peuvent pas non plus débattre avec des délinquants économiques.

    Lire la suite

  • Héritage celtique

    FnIrbFNAdM9JeBJpXH0oZdYMw-g.jpgAnalyse : Ian BRADLEY, Der Keltische Weg, Knecht, Frankfurt am Main, 1996.

    L’engouement pour les matières celtiques est significatif en Allemagne aujourd’hui, dans la mesure où il est relativement récent, une trentaine d’années tout au plus, si l’on fait abstraction des travaux de philologues pointus ou d’une figure comme von Thevenar (mort en 1943), l’ami d’Olier Mordrel et le spécialiste du nationalisme breton… qui inspira un personnage d'un roman de Le Guillou. Dans l’historiographie allemande d’il y a quelques décennies, l'accent avait été mis essentiellement sur l’héritage germanique, opposé à l’apport romain par protestantisme anti-catholique (Los von Rom) ou par nationalisme nordicisant. La part celtique de l’héritage allemand, pourtant bien présente dans les provinces du sud du pays, restait la parente pauvre pour les littérateurs à la mode et les idéologues. Elle ne fut pas mobilisée pour enchanter les esprits et pour faire rêver les cœurs ardents, elle ne suscita ni engouement juvénile ni dynamique féconde.

    Lire la suite

  • I-Média n°324 – Loi sécurité, clandestins : les journalistes faux dissidents, vrais collabos

    02:03 L’image de la semaine

    Les journalistes français ont préféré se concentrer sur un détail esthétique plutôt que sur le fond de la conférence sur la fraude des avocats de Donald Trump.

    04:53 Loi sécurité, clandestins : les journalistes faux dissidents, vrais collabos

    Retour sur l’attitude des journalistes face à la loi sécurité globale et face à l’évacuation de la place de la République par la police. Les journalistes jouent aux révolutionnaires, influencés par l’extrême gauche.

    18:49 Revue de presse

    28:39 Macron : une allocution et des questions

    Pour la 6e fois depuis le début de la crise du Covid-19, Emmanuel Macron a longuement pris la parole. Un enfumage de plus ?


    https://www.tvlibertes.com/i-media-n324-loi-securite-clandestins-les-journalistes-faux-dissidents-vrais-collabos

     

  • Hold-up. Pierre Barnerias, l’auteur du documentaire, s’explique

    Hold-up - le documentaire

    Après le succès de Hold-Up, un documentaire sur le Covid, dont la version de travail a été diffusée en masse sur les réseaux sociaux malgré la censure de Facebook et de Vimeo, et la campagne de la presse mainstream – aussi unanime à descendre le film qu’elle l’a été pour louer le confinement – Breizh Info a interviewé le réalisateur Pierre Barnerias.

    Breizh Info : Comment avez-vous vécu cette campagne de presse orientée contre le film, taxé de « complotiste » et votre société de production ?

    Lire la suite

  • France 2 obligée d’annuler son émission politique en banlieue parisienne car « la police ne peut pas assurer la sécurité des équipes »

    Le jeudi 26 novembre, France 2 diffusait un nouveau numéro de son émission politique « Vous avez la parole », présentée par Léa Salamé et Thomas Sotto. Au cours de l’émission, un débat autour de la question « une crise de l’autorité ? » était organisé avec de nombreux invités, dont Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement.

    Le programme aurait dû se délocaliser à Grigny

    Le journaliste Thomas Sotto a révélé qu’initialement, le programme aurait dû se délocaliser à Grigny (Essonne). « C’était notre projet de départ. On nous a dit “On n’est pas sûr, on n’est pas capable de sécuriser les lieux”. Est-ce qu’aujourd’hui, en 2020 en France, ce n’est pas un problème de se dire qu’on ne peut pas faire une émission de télévision en banlieue parisienne en étant sécurisé ? Ce sont les forces de l’ordre qui nous ont dit ça », a-t-il expliqué.

    « Évidemment que c’est un problème. Mais vous êtes conscient que c’est un problème qui ne date pas d’aujourd’hui. Peut-être qu’on vous aurait apporté la même réponse il y a quelques années », a botté en touche Gabriel Attal.

    « L’État s’est désengagé »

    Participant au débat, le maire de Perpignan, Louis Aliot, a réagi vivement : « On peut être d’accord sur le constat, mais qu’est-ce qu’on fait ? L’État s’est désengagé… C’est extravagant, parce que si vous n’arrivez pas à tenir une émission du service public, somme toute assez conventionnelle, dans une ville comme Grigny, c’est que c’est à se désespérer de tout et que les politiques peuvent rentrer à la maison. »

    https://www.bvoltaire.fr/france-2-obligee-dannuler-son-emission-politique-en-banlieue-parisienne-car-la-police-ne-peut-pas-assurer-la-securite-des-equipes/