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  • 7 octobre 1571 : Bataille de Lépante 4/10

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    Désastre de Varna et réorganisation de la Hongrie par Janos Hunyadi

    Pourtant une opération de cette ampleur s’avère nécessaire. Sans plus aucune bande hussite dans le dos, les Hongrois vont l’organiser, sous la houlette de leur nouveau roi polono-lithuanien, Vladislav Ier Jagellon (en hongrois : Ulàszlo Ier),un jeune homme de 16 ans, qui n’a pas l’aval des héritiers de Sigismond... Vladislav veut conjurer le danger turc qui menace en permanence les provinces méridionales slaves du royaume hongrois. Il attaque. Il arrive avec ses armées sur les côtes de la Mer Noire, à Varna en Bulgarie. Nouvelle défaite : l’armée hongroise, composée de magnats, de nobles et de féodaux, est écrasée le 10 novembre 1444 ; le jeune Vladislav Ier, âgé de 20 ans, tombe les armes à la main face aux armées du sultan. Un nouveau martyr sacrifié pour la défense de l’Europe. Il avait été trop impétueux, aveuglé par son idéalisme et sa jeunesse.

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  • République, Progrès, Démocratie : ces dieux qui ont failli - Patrick Buisson.

    L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson, démontre l'illégitimité du régime républicain et de la démocratie à partir de l'exemple du génocide vendéen. La République s'est en effet rendue coupable du premier populicide de l'histoire de France, avec plus de 200 000 victimes entre 1793 et 1795.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2021/02/18/republique-progres-democratie-ces-dieux-qui-ont-failli-patri-6298271.html

  • Loi sur le séparatisme : Darmanin oublie qu’au-dessus de la République, il y a la France…

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    Ça y est enfin. Ce 16 février, le monticule a accouché du souriceau attendu, avec le vote de la loi sur le « séparatisme », adoptée à l’Assemblée nationale. Il s’agit, à l’évidence, d’une motion « Nègre-Blanc », tel qu’on disait aux grandes heures d’une très laïque Troisième République, pas particulièrement tendre vis-à-vis de la nécessaire assimilation « républicaine » des immigrés, fussent-ils de vieille souche européenne. D’ailleurs, les Françaises de l’époque n’avaient même pas le droit de vote. C’est dire si cette République aimait plus ses fils que ses filles, ses voisins que ses voisines, pour paraphraser un autre « républicain » : Jean-Marie Le Pen.

     

     

     

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