
Comme le disait Valérie Pécresse : « Les sondages, ça va, ça vient, comme la queue du chien ! » Pas faux. Les politiques les brandissent lorsque flatteurs, les raillent dans le cas contraire. Un peu comme ces horoscopes qu’on fait mine de ne pas regarder dans les journaux du week-end, mais sur lesquels on se précipite dès que les convives ont le dos tourné.
